Le Syndicat des journalistes mauritaniens a organisé, dimanche, un débat autour du thème « la presse entre liberté et professionnalisme », au cours duquel des personnalités du monde des médias ont évoqué diverses expériences de presse vécues en Mauritanie.
Les participants à ce débat qui intervient la veille de la journée internationale de la presse( 3 mai) ont également fait état des principaux obstacles qui se dressent devant les journalistes dans l’accomplissement de leur devoir.
Le directeur du bureau d la chaîne qatarie « Aljazeera » M. Mohamedhin Baba Ould Etfagha a souligné, dans une intervention, à cette occasion, que le bureau d’Aljazeera à Nouakchott se trouve dans une situation privilégiée, par rapport aux bureaux implantés dans les pays de la sous-région, parce qu’il « dispose de ses propres moyens de retransmission, tout en étant à l’abri de toute censure ». Mais, a-t-il mentionné, cela peut changer d’un moment à l’autre, selon les décideurs politiques.
Ould Etfagha a, en outre, évoqué les tracasserie auxquelles le bureau de la chaîne qatarie est soumis de la part de certains leaders politiques , critiquant au passage l’attitude que ces derniers adoptent face à la presse en appliquant , comme l’ancien président américain George W. bush, le principe « qui n’est pas avec moi est contre moi ».
Pour sa part, le journaliste Abdellahi Ould Mohameddou a rappelé que la liberté sans professionnalisme n’a pas de valeur, tout comme le professionnalisme sans liberté n’en a point. Ila appelé les journalistes à se de faire de leurs conviction au cours de l’exercice de leur travail.
Ce débat a été l’occasion pour d’autres intervenants de mettre en exergue les obstacles qui se dressent devant la liberté de la presse.
Source: ANI
Les participants à ce débat qui intervient la veille de la journée internationale de la presse( 3 mai) ont également fait état des principaux obstacles qui se dressent devant les journalistes dans l’accomplissement de leur devoir.
Le directeur du bureau d la chaîne qatarie « Aljazeera » M. Mohamedhin Baba Ould Etfagha a souligné, dans une intervention, à cette occasion, que le bureau d’Aljazeera à Nouakchott se trouve dans une situation privilégiée, par rapport aux bureaux implantés dans les pays de la sous-région, parce qu’il « dispose de ses propres moyens de retransmission, tout en étant à l’abri de toute censure ». Mais, a-t-il mentionné, cela peut changer d’un moment à l’autre, selon les décideurs politiques.
Ould Etfagha a, en outre, évoqué les tracasserie auxquelles le bureau de la chaîne qatarie est soumis de la part de certains leaders politiques , critiquant au passage l’attitude que ces derniers adoptent face à la presse en appliquant , comme l’ancien président américain George W. bush, le principe « qui n’est pas avec moi est contre moi ».
Pour sa part, le journaliste Abdellahi Ould Mohameddou a rappelé que la liberté sans professionnalisme n’a pas de valeur, tout comme le professionnalisme sans liberté n’en a point. Ila appelé les journalistes à se de faire de leurs conviction au cours de l’exercice de leur travail.
Ce débat a été l’occasion pour d’autres intervenants de mettre en exergue les obstacles qui se dressent devant la liberté de la presse.
Source: ANI
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