Quelques jours après le report des élections portant renouvellement du second tiers du sénat, les autorités pressent le pas pour sensibiliser au maximum sur leur ferme volonté d’ouverture sur tous les acteurs politiques et sociaux, en perspective du lancement d’un dialogue politique sincère et franc et l’amorce de négociations sociales avec les centrales syndicales, pour mieux affiner les politiques multidimensionnelles d’apaisement de la scène nationale.
C’est dans ce cadre que le Premier ministre Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf a reçu aujourd’hui dimanche à son bureau, après les audiences marathon de la semaine dernière des leaders politiques dont Boidel Ould Houmeid (El wiam), Jemil Mohamed Ould Mansour (Tawassoul) en vue de les informer amplement sur les vraies raisons qui ont conduit au report des échéances sénatoriales, initialement prévues le 24 avril courant.
D’autres réunions seront tenues également par le chef du gouvernement avec les secrétaires généraux des centrales syndicales, après cette volonté de lancer le dialogue social annoncée par le ministère de la fonction publique.
A ce rythme d’ouverture accéléré, la Mauritanie rompt avec l’unilatéralité de gestion qui est le principal mal dont peut souffrir lourdement les systèmes politiques.
Source : Le Véridique (Mauritanie)
C’est dans ce cadre que le Premier ministre Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf a reçu aujourd’hui dimanche à son bureau, après les audiences marathon de la semaine dernière des leaders politiques dont Boidel Ould Houmeid (El wiam), Jemil Mohamed Ould Mansour (Tawassoul) en vue de les informer amplement sur les vraies raisons qui ont conduit au report des échéances sénatoriales, initialement prévues le 24 avril courant.
D’autres réunions seront tenues également par le chef du gouvernement avec les secrétaires généraux des centrales syndicales, après cette volonté de lancer le dialogue social annoncée par le ministère de la fonction publique.
A ce rythme d’ouverture accéléré, la Mauritanie rompt avec l’unilatéralité de gestion qui est le principal mal dont peut souffrir lourdement les systèmes politiques.
Source : Le Véridique (Mauritanie)
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