En Mauritanie, la situation des infrastructures routières est devenue critique, au point de mettre quotidiennement en danger la vie des citoyens. La route de l'Espoir, autrefois symbole de progrès et de développement, s'est transformée en un véritable cimetière. Chaque jour, des accidents mortels se produisent, et aucune solution durable n'a été mise en place par le ministère des Équipements et des Transports.
Les routes en Mauritanie sont dans un état déplorable, sans aucune limitation de vitesse ni panneaux de signalisation adéquats. Les conducteurs, souvent sans formation adéquate, circulent avec des permis de conduire obtenus de manière douteuse. Cette situation est exacerbée par l'absence criante de contrôle de la part des forces de l'ordre, que ce soit par la police ou la gendarmerie.
La corruption gangrène le système, rendant possible la conduite et le transport en commun sans véritable permis de conduire. Un simple billet de 200 Ouguiyas suffit à contourner les rares contrôles existants. Cette impunité généralisée souligne l'incapacité du ministre actuel à instaurer des réformes nécessaires et urgentes.
Face à cette crise, il est impératif que le ministre des Équipements et des Transports prenne ses responsabilités. Son incapacité à apporter des solutions concrètes et efficaces à ces problèmes urgents ne peut plus être tolérée. Pour le bien-être et la sécurité des citoyens mauritaniens, le ministre doit démissionner et laisser place à une nouvelle direction capable de relever ces défis avec détermination et transparence.
Abou SARR
Les routes en Mauritanie sont dans un état déplorable, sans aucune limitation de vitesse ni panneaux de signalisation adéquats. Les conducteurs, souvent sans formation adéquate, circulent avec des permis de conduire obtenus de manière douteuse. Cette situation est exacerbée par l'absence criante de contrôle de la part des forces de l'ordre, que ce soit par la police ou la gendarmerie.
La corruption gangrène le système, rendant possible la conduite et le transport en commun sans véritable permis de conduire. Un simple billet de 200 Ouguiyas suffit à contourner les rares contrôles existants. Cette impunité généralisée souligne l'incapacité du ministre actuel à instaurer des réformes nécessaires et urgentes.
Face à cette crise, il est impératif que le ministre des Équipements et des Transports prenne ses responsabilités. Son incapacité à apporter des solutions concrètes et efficaces à ces problèmes urgents ne peut plus être tolérée. Pour le bien-être et la sécurité des citoyens mauritaniens, le ministre doit démissionner et laisser place à une nouvelle direction capable de relever ces défis avec détermination et transparence.
Abou SARR