
Le chanteur sénégalais, Naby a été sélectionné parmi les trois finaliste du Prix Découvertes Rfi 2009, lit-on sur le site de la ‘radio mondiale’ (rfi.fr). Les deux autres finalistes de la compétition sont le Mauritanien Bakhan et la Camerounaise Kareyce Fotso. La finale aura lieu le 25 novembre prochain à Lomé au Togo.
Naby sort son premier album solo, Dem Naa, (‘Je suis parti’, en wolof) en 2008, produit par son propre label Demrek RecordZ. Naby s’est construit un univers à la fois très acoustique et dynamique. Il impose une musique africaine authentique, moderne et métissée, dotée d’une grande force de mélodie, lit-on sur le site de Radio france international. Né à Dakar, d’une mère malienne et d’un père guinéen, Naby a grandi à Mbour. Il est devenu, selon ses termes, ‘chanteur un peu par hasard’. Son style fortement basé sur le reggae est teinté de jazz, mais aussi de hip hop, de soul et de funk.
En 1996 il débute son parcours solo et sort ses premiers titres dans des compilations. Les rencontres les plus variées se multiplient notamment avec Duggy Tee ou Didier Awadi du Positive Black Soul. Le chanteur Bakhan (La bonté), de son vrai nom Cheikh Abdoulaye Ndiaye, a passé une partie de sa vie au Sénégal. Il est né en Mauritanie en 1981 et chante depuis l’âge de 10 ans. Il est issu d’une famille mauritanienne métissée (Wolof, Maures, Peuls et Soninké), un métissage qui conduit ses choix artistiques. Depuis toujours, son rêve est de parvenir à créer une musique mauritanienne moderne transcendant les barrières ethniques et les cloisonnements musicaux. Fuyant les violences de 1989 en Mauritanie, Bakhan et sa famille deviennent réfugiés politiques au Sénégal. De retour à Nouakchott en 1995, il se lance dans plusieurs aventures musicales, intègre un groupe de rap mauritanien, assure la direction musicale du projet Darna TV autour de voix de femmes.
Après être sorti major de promotion de l’Ecole Nationale des Arts de Dakar en 2008, il est sélectionné pour l’atelier de formation de recherches musicales Voix du Sahel mis en place par le Centre culturel français de Ndjamena et CulturesFrance, au Tchad. De retour à Nouakchott en 2009, il offre son album N’Daysan, résumé de ses expériences musicales de ces dernières années.
Kareyce Fotso complète le trio de finalistes. La Camerounaise est découverte par le grand public en 2000. Depuis, elle s'est imposée sur les scènes de son pays et d'Afrique. D'après la présentation que fait d’elle le site Rfi.fr, le parcours de Kareyce Fotso est très prometteur si l'on juge la qualité de ses prestations dans divers festivals au Cameroun, au Congo-Brazza, en Rdc, en Côte d'Ivoire, au Bénin, en France et même au Japon. Kareyce tire son inspiration et le fondement même de sa démarche des traditions bamilékés et des musiques de l'ouest du Cameroun. Elle est l'auteur d'un premier album solo Mulato. Le Prix Découvertes Rfi a été lancé en 1981. Il a contribué à l’émergence de nombreux artistes tels : Tiken Jah Fakoly (Côte d’Ivoire), Rokia Traoré (Mali), Didier Awadi(Sénégal), ou encore Amadou et Mariam (Mali)
Source: Riminfo
Naby sort son premier album solo, Dem Naa, (‘Je suis parti’, en wolof) en 2008, produit par son propre label Demrek RecordZ. Naby s’est construit un univers à la fois très acoustique et dynamique. Il impose une musique africaine authentique, moderne et métissée, dotée d’une grande force de mélodie, lit-on sur le site de Radio france international. Né à Dakar, d’une mère malienne et d’un père guinéen, Naby a grandi à Mbour. Il est devenu, selon ses termes, ‘chanteur un peu par hasard’. Son style fortement basé sur le reggae est teinté de jazz, mais aussi de hip hop, de soul et de funk.
En 1996 il débute son parcours solo et sort ses premiers titres dans des compilations. Les rencontres les plus variées se multiplient notamment avec Duggy Tee ou Didier Awadi du Positive Black Soul. Le chanteur Bakhan (La bonté), de son vrai nom Cheikh Abdoulaye Ndiaye, a passé une partie de sa vie au Sénégal. Il est né en Mauritanie en 1981 et chante depuis l’âge de 10 ans. Il est issu d’une famille mauritanienne métissée (Wolof, Maures, Peuls et Soninké), un métissage qui conduit ses choix artistiques. Depuis toujours, son rêve est de parvenir à créer une musique mauritanienne moderne transcendant les barrières ethniques et les cloisonnements musicaux. Fuyant les violences de 1989 en Mauritanie, Bakhan et sa famille deviennent réfugiés politiques au Sénégal. De retour à Nouakchott en 1995, il se lance dans plusieurs aventures musicales, intègre un groupe de rap mauritanien, assure la direction musicale du projet Darna TV autour de voix de femmes.
Après être sorti major de promotion de l’Ecole Nationale des Arts de Dakar en 2008, il est sélectionné pour l’atelier de formation de recherches musicales Voix du Sahel mis en place par le Centre culturel français de Ndjamena et CulturesFrance, au Tchad. De retour à Nouakchott en 2009, il offre son album N’Daysan, résumé de ses expériences musicales de ces dernières années.
Kareyce Fotso complète le trio de finalistes. La Camerounaise est découverte par le grand public en 2000. Depuis, elle s'est imposée sur les scènes de son pays et d'Afrique. D'après la présentation que fait d’elle le site Rfi.fr, le parcours de Kareyce Fotso est très prometteur si l'on juge la qualité de ses prestations dans divers festivals au Cameroun, au Congo-Brazza, en Rdc, en Côte d'Ivoire, au Bénin, en France et même au Japon. Kareyce tire son inspiration et le fondement même de sa démarche des traditions bamilékés et des musiques de l'ouest du Cameroun. Elle est l'auteur d'un premier album solo Mulato. Le Prix Découvertes Rfi a été lancé en 1981. Il a contribué à l’émergence de nombreux artistes tels : Tiken Jah Fakoly (Côte d’Ivoire), Rokia Traoré (Mali), Didier Awadi(Sénégal), ou encore Amadou et Mariam (Mali)
Source: Riminfo