En observant le comportement quotidien du gouvernement, on ne peut s'empêcher de faire deux constats contradictoires. Le Gouvernement travaille beaucoup, occupe tout l'espace médiatique par des séminaires, des actes de sensibilisation, par des textes législatifs nouveaux, par et par...
D'autre part, on ne voit pas d'impacts concrets sur l'espace public, sur le niveau de vie des citoyens.. Comment expliquer cela? Faut -t-il donner raison aux partis d'opposition qui estiment ( avec très peu de preuves concrètes) que le Gouvernement est démagogique et qu'il n'a ni la force ni les moyens intellectuels pour produire et le développement et la croissance?
On est quelque peu gêné par cette donne paradoxale, au moins mitigée, à propos de la gestion gouvernementale de la chose publique.
Pourtant, le Gouvernement a tous les moyens nécessaires pour agir efficacement et impulser la croissance. Mais tout se passe comme si le Gouvernement n'en fait jamais assez ou comme s'il en faisait toujours un peu trop.. Est-ce là donc que nous pouvons voir la faute? Ou trop faire ou trop peu faire par le gouvernement?
A mon avis, c'est un peu cela... Le Gouvernement agit en ordre dispersé comme si ses membres travaillaient chacun tout seul... Les membres du gouvernement ne semblent pas utiliser le temps à bon escient et tomber fatalement dans les ratés d'un moteur puissant à souhait mais mal réglé pour fonctionner correctement et amener tous les passagers à bon port et au bon moment!
La hausse des prix? Pas de stocks disponibles et il est nécessaire de boucler à la dernière minute des budgets de fortune pour faire face aux pénuries et à la spéculation! La santé publique? Hélas, les populations mourront en attendant que l'on se rende compte que les laboratoires nationaux ne peuvent faire face aux besoins techniques en Biologie.
En dernière minute, il faudra recourir aux voisins et aux fournisseurs. Pourtant , ce n'edt pas l'argent qui a manqué jusqu'ici! La sécurité routière? On comptabilisera tous les week-ends le lot habituel de morts et blessés en attendant que les textes en circulations ( les énièmes textes) soient validés ou les actions sécuritaires financées.
En réalité, la sécurité routière est à la fois l'affaire de tous et l'affaire de personne! La Police vous dira que c'est l'affaire de la Gendarmerie. La Gendarmerie vous dira que c'est l’affaire des militaires et vice-versa..
Le recasement des populations ? Trop tard ! Tout le monde a laissé faire le trop plein en gazras et toutes les meilleures volontés du monde ne peuvent aujourd’hui trouver suffisamment de place pour reloger tous les squatteurs enregistrés.
En somme, notre mécanique gouvernementale pêche par ce quelque chose qu’il est difficile à la fois de définir et de qualifier… Mais comble de la surprise, le gouvernement aura du mal à justifier aux yeux de l’opinion publique et du Président de la République le fait qu’on ait médiatisé à grands fonds et renforts publics la fameuse table ronde de Bruxelles au mois de juin dernier. A ce jour, c’est comme s’il ne s’était jamais rien passé faute de suivi et de sérieux dans le traitement quotidien de la chose publique et par conséquent des citoyens.
Alors, comment juger le Gouvernement et comment noter son action ? Les vraies questions sont là et elles méritent les vraies réponses.
source:cridem.org
D'autre part, on ne voit pas d'impacts concrets sur l'espace public, sur le niveau de vie des citoyens.. Comment expliquer cela? Faut -t-il donner raison aux partis d'opposition qui estiment ( avec très peu de preuves concrètes) que le Gouvernement est démagogique et qu'il n'a ni la force ni les moyens intellectuels pour produire et le développement et la croissance?
On est quelque peu gêné par cette donne paradoxale, au moins mitigée, à propos de la gestion gouvernementale de la chose publique.
Pourtant, le Gouvernement a tous les moyens nécessaires pour agir efficacement et impulser la croissance. Mais tout se passe comme si le Gouvernement n'en fait jamais assez ou comme s'il en faisait toujours un peu trop.. Est-ce là donc que nous pouvons voir la faute? Ou trop faire ou trop peu faire par le gouvernement?
A mon avis, c'est un peu cela... Le Gouvernement agit en ordre dispersé comme si ses membres travaillaient chacun tout seul... Les membres du gouvernement ne semblent pas utiliser le temps à bon escient et tomber fatalement dans les ratés d'un moteur puissant à souhait mais mal réglé pour fonctionner correctement et amener tous les passagers à bon port et au bon moment!
La hausse des prix? Pas de stocks disponibles et il est nécessaire de boucler à la dernière minute des budgets de fortune pour faire face aux pénuries et à la spéculation! La santé publique? Hélas, les populations mourront en attendant que l'on se rende compte que les laboratoires nationaux ne peuvent faire face aux besoins techniques en Biologie.
En dernière minute, il faudra recourir aux voisins et aux fournisseurs. Pourtant , ce n'edt pas l'argent qui a manqué jusqu'ici! La sécurité routière? On comptabilisera tous les week-ends le lot habituel de morts et blessés en attendant que les textes en circulations ( les énièmes textes) soient validés ou les actions sécuritaires financées.
En réalité, la sécurité routière est à la fois l'affaire de tous et l'affaire de personne! La Police vous dira que c'est l'affaire de la Gendarmerie. La Gendarmerie vous dira que c'est l’affaire des militaires et vice-versa..
Le recasement des populations ? Trop tard ! Tout le monde a laissé faire le trop plein en gazras et toutes les meilleures volontés du monde ne peuvent aujourd’hui trouver suffisamment de place pour reloger tous les squatteurs enregistrés.
En somme, notre mécanique gouvernementale pêche par ce quelque chose qu’il est difficile à la fois de définir et de qualifier… Mais comble de la surprise, le gouvernement aura du mal à justifier aux yeux de l’opinion publique et du Président de la République le fait qu’on ait médiatisé à grands fonds et renforts publics la fameuse table ronde de Bruxelles au mois de juin dernier. A ce jour, c’est comme s’il ne s’était jamais rien passé faute de suivi et de sérieux dans le traitement quotidien de la chose publique et par conséquent des citoyens.
Alors, comment juger le Gouvernement et comment noter son action ? Les vraies questions sont là et elles méritent les vraies réponses.
source:cridem.org
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