Le chef de l’état, Mohamed Ould Abdel Aziz, a reçu en audience le bureau exécutif de la Coalition des Partis de la Majorité (CPM), lundi après midi au Palais de la République.
Plusieurs figures connues du paysage politique national étaient présentes à l’occasion de la rencontre, notamment le président de l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR), Sarr Ibrahima Moctar, Mintat Mint Hedeid, responsable du Parti Républicain pour la Démocratie et le Renouveau (PRDR), Sanghott Ousmane, vice président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès (UDP), qui conduisait la délégation en sa qualité de responsable du parti assurant la présidence tournante de la CPM.
Une audience marathon, qui aura duré 4 heures d’horloge et au cours de laquelle le président de la République a parlé des problèmes actuels du pays et sonné la mobilisation des troupes de la majorité pour une plus grande implication dans la mise en œuvre de son programme électoral. Cette rencontre s’est déroulée dans un contexte sous régional particulier dont la toile de fond est la révolte de la rue arabe et les risques de « contagion » en Mauritanie.
Ainsi, à l’occasion de l’audience, il a question des voies et moyens pour créer un climat politique apaisé.
Ce qui naturellement renvoie au nécessaire dialogue inclusif national.
Un examen de la situation actuelle assorti d’un constat : au sein de l’opposition certains responsables de partis tels que le président du Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD), Ahmed Ould Daddah, chef de file institutionnel de l’opposition et Mohamed Ould Maouloud, président de l’Union des Forces de Progrès (UFP), freinent des 4 fers l’élan du pouvoir pour une concertation constructive sur les grands problèmes nationaux.
Une attitude contraire à celle du leader de l’Alliance Populaire Progressiste (APP), Messaoud Ould Boulkheir, président de l’assemblée nationale et autre figure historique de l’opposition, dont les bonnes dispositions actuelles sont appréciées au plus haut point. Une chute qui montre que le dialogue inclusif en Mauritanie reste encore « hypothétique ». Pire, un vœu pieux du l’absence de confiance entre les différents acteurs dont certains craignent une fois de plus de se faire rouler dans la farine.
Source: Calame
Plusieurs figures connues du paysage politique national étaient présentes à l’occasion de la rencontre, notamment le président de l’Alliance pour la Justice et la Démocratie/Mouvement pour la Réconciliation (AJD/MR), Sarr Ibrahima Moctar, Mintat Mint Hedeid, responsable du Parti Républicain pour la Démocratie et le Renouveau (PRDR), Sanghott Ousmane, vice président de l’Union pour la Démocratie et le Progrès (UDP), qui conduisait la délégation en sa qualité de responsable du parti assurant la présidence tournante de la CPM.
Une audience marathon, qui aura duré 4 heures d’horloge et au cours de laquelle le président de la République a parlé des problèmes actuels du pays et sonné la mobilisation des troupes de la majorité pour une plus grande implication dans la mise en œuvre de son programme électoral. Cette rencontre s’est déroulée dans un contexte sous régional particulier dont la toile de fond est la révolte de la rue arabe et les risques de « contagion » en Mauritanie.
Ainsi, à l’occasion de l’audience, il a question des voies et moyens pour créer un climat politique apaisé.
Ce qui naturellement renvoie au nécessaire dialogue inclusif national.
Un examen de la situation actuelle assorti d’un constat : au sein de l’opposition certains responsables de partis tels que le président du Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD), Ahmed Ould Daddah, chef de file institutionnel de l’opposition et Mohamed Ould Maouloud, président de l’Union des Forces de Progrès (UFP), freinent des 4 fers l’élan du pouvoir pour une concertation constructive sur les grands problèmes nationaux.
Une attitude contraire à celle du leader de l’Alliance Populaire Progressiste (APP), Messaoud Ould Boulkheir, président de l’assemblée nationale et autre figure historique de l’opposition, dont les bonnes dispositions actuelles sont appréciées au plus haut point. Une chute qui montre que le dialogue inclusif en Mauritanie reste encore « hypothétique ». Pire, un vœu pieux du l’absence de confiance entre les différents acteurs dont certains craignent une fois de plus de se faire rouler dans la farine.
Source: Calame
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