L’ancienne maison de jeune a refusé du monde.
Jeudi 21 janvier, pour le lancement de son nouvel Album, Gonga, le groupe de rap Mauritanien, Jam Min Teki, a fait carton plein à l’ancienne maison des jeunes de Nouakchott. Avant l’arrivée des trois rappeurs du groupe, la grande salle était déjà pleine.
Des milliers de jeunes venant de Teyarett, Arafat, Dar Naim, Sebkha, El Mina, Tevragh Zeina… ont envahi la maison de jeunes et ses environs. Pour contenir la foule, il a fallu arrêter la vente des billets. Avant la prestation de Jam min Teki, plusieurs ténors du mouvement hip hop mauritaniens ont chauffé la salle.
Vers 23 heures, les trois rappeurs de Jam min tekki (Mar Ane et Ousmane) ont fait leur apparition dans la salle. Le ton de l’engagement a été tout de suite donné avec le titre « Ko min Sekk mbe » qui veut dire « nous sommes en colère ». Colère contre une société avare en espace de liberté et d’expression pour les jeunes, surtout quand ils font du rap.
Source : cridem.
Jeudi 21 janvier, pour le lancement de son nouvel Album, Gonga, le groupe de rap Mauritanien, Jam Min Teki, a fait carton plein à l’ancienne maison des jeunes de Nouakchott. Avant l’arrivée des trois rappeurs du groupe, la grande salle était déjà pleine.
Des milliers de jeunes venant de Teyarett, Arafat, Dar Naim, Sebkha, El Mina, Tevragh Zeina… ont envahi la maison de jeunes et ses environs. Pour contenir la foule, il a fallu arrêter la vente des billets. Avant la prestation de Jam min Teki, plusieurs ténors du mouvement hip hop mauritaniens ont chauffé la salle.
Vers 23 heures, les trois rappeurs de Jam min tekki (Mar Ane et Ousmane) ont fait leur apparition dans la salle. Le ton de l’engagement a été tout de suite donné avec le titre « Ko min Sekk mbe » qui veut dire « nous sommes en colère ». Colère contre une société avare en espace de liberté et d’expression pour les jeunes, surtout quand ils font du rap.
Source : cridem.
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