Et ces maures là ricanent comme des canards.
D'où la nécessité de ranger les pusillanimes dans le sac qui leur convient, toute cette longue racaille la race du Nègre tortionnaire Dieng contre les Noirs de Mauritanie, ils appartiennent à la secte des opportunistes qui ont besoin de leurs maures pour exister. Nous devons ranger logiquement dans cette catégorie les négociateurs et caravaniers de la santé, et le reste dont l'histoire nous renseigne
Ce qui noud fit comprendre depuis longtemps deux choses.
1. Nous attaquons le fondement ultime de l'esclavage. Nous savons qu'il procède de la part des esclavagistes d'une conception religieuse des rapports Noirs-Blancs, cela est vrai dans les temps anciens concernant la traite négrière comme la traite transaharienne. De tous les temps la caste esclavagiste européenne et arabe s'est sanctifiée en fils de Dieu ou en entité de pur esprit contre le Noir. Lev racisme et l'apartheid procède de cette conception et tous les combats qui ont déconstruit intellectuellement ou physiquement cet entendement ont commencé par démystifier le caractère outrageusement sacré de la race maure, disons-nous dans le cas de la Mauritanie qui nous concerne. Pour cette raison, il est seulement intolérable que des frères Noirs veulent se faire de la dignité en collaborant à l'injure des Négro-mauritaniens au nom du caractère sacerdotal et sacré arabo-berbère : ou ces Noirs n'y comprennent rien ou ils sont de vrais salauds.
2. Nous devons poser la question de la valeur minable de ces mollahs et imams salariés du système pour son maintien, puisque nous ne pouvons pas évoluer sans dépasser mentalement le mal-fondé religieux de l'esclavage et l'apartheid, l'oppression de la majorité par le privilège insolent et insane et révoltant d'une extrême minorité blanche. Musulmans soucieux de son paradis ne signifie pas renoncement à son devoir de s'attaquer à cet esprit servile, cela ne signifie en rien hypothéquer son au-delà, il ne suffit pas d'égrener son chapelet et trouver là une assurance d'une vie après la mort tout en se prostituant avec les esclavagistes et oppresseurs : c'est un sacrilège et un mépris de la vérité et de al conséquence de l'objectivité de la vérité.
3. C'est de rester dans le moule général, dans l'apparence du combat, seulement l'apparence par l'occupation d'un poste dans un système criminel responsable du génocide noir en Mauritanie et des déportations, et encore de l'occultation des élémentaires d'une couche précise et de leurs moyens primaires monopolisés suite à une longue relégation en dehors des affaires publiques. La fin de l'injustice suppose certainement une position critique ouverte dans le sens de l'opposition vigoureuse sans concession aucune à la domination raciale sous quelque prétexte que ce soit.
4. La centralisation du combat sur la période de Taya est l'un des signes de renoncement et de tricheries de certains de nos frères Noirs et de l'imposture des compatriotes arabo-berbères oeuvrant à berner les premiers négro-collabos, pendant que son régime fondateur du système se perpétue sous l'actuel régime qui en est le même. La preuve en est toutes ces plaintes déposées en Occident contre les Taya, Ely, et autres, ces plaintes ne trouvent aucune actualisation en tant qu'information (périodique) à la mémoire et la gouverne des jeunes générations, c'est à se demander où se cachent et à quoi s'occupent les auteurs de ces plaintes, alors que ces criminels infestent partout sur le territoire et dans les rangs de la direction du pays ! Les auteurs de ces plaintes ont désormais tendance à parler du « règlement de passif humanitaire », sachant l'impossibilité qui habite tel règlement à quoi s'oppose le fondement esclavagiste et discriminatoire de l'ensemble.
Source: Fall Moctar
D'où la nécessité de ranger les pusillanimes dans le sac qui leur convient, toute cette longue racaille la race du Nègre tortionnaire Dieng contre les Noirs de Mauritanie, ils appartiennent à la secte des opportunistes qui ont besoin de leurs maures pour exister. Nous devons ranger logiquement dans cette catégorie les négociateurs et caravaniers de la santé, et le reste dont l'histoire nous renseigne
Ce qui noud fit comprendre depuis longtemps deux choses.
1. Nous attaquons le fondement ultime de l'esclavage. Nous savons qu'il procède de la part des esclavagistes d'une conception religieuse des rapports Noirs-Blancs, cela est vrai dans les temps anciens concernant la traite négrière comme la traite transaharienne. De tous les temps la caste esclavagiste européenne et arabe s'est sanctifiée en fils de Dieu ou en entité de pur esprit contre le Noir. Lev racisme et l'apartheid procède de cette conception et tous les combats qui ont déconstruit intellectuellement ou physiquement cet entendement ont commencé par démystifier le caractère outrageusement sacré de la race maure, disons-nous dans le cas de la Mauritanie qui nous concerne. Pour cette raison, il est seulement intolérable que des frères Noirs veulent se faire de la dignité en collaborant à l'injure des Négro-mauritaniens au nom du caractère sacerdotal et sacré arabo-berbère : ou ces Noirs n'y comprennent rien ou ils sont de vrais salauds.
2. Nous devons poser la question de la valeur minable de ces mollahs et imams salariés du système pour son maintien, puisque nous ne pouvons pas évoluer sans dépasser mentalement le mal-fondé religieux de l'esclavage et l'apartheid, l'oppression de la majorité par le privilège insolent et insane et révoltant d'une extrême minorité blanche. Musulmans soucieux de son paradis ne signifie pas renoncement à son devoir de s'attaquer à cet esprit servile, cela ne signifie en rien hypothéquer son au-delà, il ne suffit pas d'égrener son chapelet et trouver là une assurance d'une vie après la mort tout en se prostituant avec les esclavagistes et oppresseurs : c'est un sacrilège et un mépris de la vérité et de al conséquence de l'objectivité de la vérité.
3. C'est de rester dans le moule général, dans l'apparence du combat, seulement l'apparence par l'occupation d'un poste dans un système criminel responsable du génocide noir en Mauritanie et des déportations, et encore de l'occultation des élémentaires d'une couche précise et de leurs moyens primaires monopolisés suite à une longue relégation en dehors des affaires publiques. La fin de l'injustice suppose certainement une position critique ouverte dans le sens de l'opposition vigoureuse sans concession aucune à la domination raciale sous quelque prétexte que ce soit.
4. La centralisation du combat sur la période de Taya est l'un des signes de renoncement et de tricheries de certains de nos frères Noirs et de l'imposture des compatriotes arabo-berbères oeuvrant à berner les premiers négro-collabos, pendant que son régime fondateur du système se perpétue sous l'actuel régime qui en est le même. La preuve en est toutes ces plaintes déposées en Occident contre les Taya, Ely, et autres, ces plaintes ne trouvent aucune actualisation en tant qu'information (périodique) à la mémoire et la gouverne des jeunes générations, c'est à se demander où se cachent et à quoi s'occupent les auteurs de ces plaintes, alors que ces criminels infestent partout sur le territoire et dans les rangs de la direction du pays ! Les auteurs de ces plaintes ont désormais tendance à parler du « règlement de passif humanitaire », sachant l'impossibilité qui habite tel règlement à quoi s'oppose le fondement esclavagiste et discriminatoire de l'ensemble.
Source: Fall Moctar
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