Jamais les indicateurs socio-économiques et politiques de la Mauritanie n’ont été aussi rouges. Le recensement annoncée et entamée continue timidement dans les centres d’état civil dans une atmosphère indigne d’un pays qui ose prononcer les mots « démocratie » et « unité nationale ».
Beaucoup de voix individuelles ou collectives se sont élevées pour alerter les autorités en charge mais aucune mesure visant à résoudre cet épineux problème n’a été prise. Le débarquement de toute l’équipe chargée des opérations et son remplacement par une autre vue la non urgence du recensement serait un signe fort de la part des autorités et les blanchira car il est très répandu et surtout dans l’opinion negro-mauritanienne que son objectif final est de la priver purement et simplement son droit le plus fondamental c'est-à-dire le droit d’acquisition des papiers d’état civil.
Cette composante ethnique qui a participe corps et âme dans la construction de la Mauritanie ne mérite pas d’avoir ce sentiment d’exclusion mais elle se sent de plus en plus écartée des positions de prises de décisions et même leur entrée dans la fonction publique ne cesse de se raréfier.
Tout cela parce qu’elle a ose réclamer son droit le plus absolu, le droit d’être mauritaniens a part entière et non des citoyens de seconde zone. Le changement politique de 2008 avait projeté une petite lueur d’espoir dans les perceptions des negro-mauritaniens par rapport a une petite justice sociale, espoir qui risque de dissiper si des reformes en profondeur ne sont pas entamées dans l’immédiat.
S’il y a quelqu’un qui pense que cette communauté peut être écartée pour toujours vit dans des illusions et doit revoir sa copie pour ne pas être rattrapé par l’histoire. Le rapport de force changera un jour sans que cette communauté ait recours à des moyens non pacifiques. L’histoire nous réserve beaucoup de surprises. L’ignorance continue a faire penser a certains que la diversité est une faiblesse à éradiquer plutôt qu’une richesse à cultiver.
Certes, le pouvoir actuel a fait beaucoup de réalisations visibles et très utiles a long terme et continue de moderniser notre armée qui commence a engloutir toutes les dividendes de l’exploitation de nos ressources soient halieutiques, minières et énergétiques. Paradoxalement la grogne sociale motivée principalement par la hausse des prix de denrées de première nécessité est devenu du quotidien pendant que les autorités maintiennent leur discours de la disponibilité des fonds nationaux pour engager de grands ouvrages.
Si le pays regorge de richesses, elles doivent avoir des retombées immédiates sur les populations qui ne demandent pas l’amélioration de son quotidien mais juste maintenir le cap de la survie. Les autorités doivent méditer s’il faut suivre le libéralisme a outrance ou injecter une forte dose du socialisme pour éviter les remous sociaux.
Le dialogue politique est entrain de se transformer à une stratégie de tuer le temps jusqu'à la veille des élections municipales et législatives. Le dialogue est inévitable mais il y a des lignes rouges a ne pas franchir. Si les questions de la prise du pouvoir par des moyens anticonstitutionnels, la place de l’armée dans une démocratie ne sont pas abordées le reste ne sera que du déjà vu.
C’est une très bonne stratégie de la part du président Mohamed Ould Abdel Aziz de moderniser et équiper notre armée pour se mettre à l’ abri des menaces extérieures et après avoir rempli cette mission céder le pouvoir éviterait au pays le chaos. Il a débarrassé la Mauritanie du Sanguinaire Maouya donc, il peut tout faire pour le bien des mauritaniens.
Source : TufndePinal
Beaucoup de voix individuelles ou collectives se sont élevées pour alerter les autorités en charge mais aucune mesure visant à résoudre cet épineux problème n’a été prise. Le débarquement de toute l’équipe chargée des opérations et son remplacement par une autre vue la non urgence du recensement serait un signe fort de la part des autorités et les blanchira car il est très répandu et surtout dans l’opinion negro-mauritanienne que son objectif final est de la priver purement et simplement son droit le plus fondamental c'est-à-dire le droit d’acquisition des papiers d’état civil.
Cette composante ethnique qui a participe corps et âme dans la construction de la Mauritanie ne mérite pas d’avoir ce sentiment d’exclusion mais elle se sent de plus en plus écartée des positions de prises de décisions et même leur entrée dans la fonction publique ne cesse de se raréfier.
Tout cela parce qu’elle a ose réclamer son droit le plus absolu, le droit d’être mauritaniens a part entière et non des citoyens de seconde zone. Le changement politique de 2008 avait projeté une petite lueur d’espoir dans les perceptions des negro-mauritaniens par rapport a une petite justice sociale, espoir qui risque de dissiper si des reformes en profondeur ne sont pas entamées dans l’immédiat.
S’il y a quelqu’un qui pense que cette communauté peut être écartée pour toujours vit dans des illusions et doit revoir sa copie pour ne pas être rattrapé par l’histoire. Le rapport de force changera un jour sans que cette communauté ait recours à des moyens non pacifiques. L’histoire nous réserve beaucoup de surprises. L’ignorance continue a faire penser a certains que la diversité est une faiblesse à éradiquer plutôt qu’une richesse à cultiver.
Certes, le pouvoir actuel a fait beaucoup de réalisations visibles et très utiles a long terme et continue de moderniser notre armée qui commence a engloutir toutes les dividendes de l’exploitation de nos ressources soient halieutiques, minières et énergétiques. Paradoxalement la grogne sociale motivée principalement par la hausse des prix de denrées de première nécessité est devenu du quotidien pendant que les autorités maintiennent leur discours de la disponibilité des fonds nationaux pour engager de grands ouvrages.
Si le pays regorge de richesses, elles doivent avoir des retombées immédiates sur les populations qui ne demandent pas l’amélioration de son quotidien mais juste maintenir le cap de la survie. Les autorités doivent méditer s’il faut suivre le libéralisme a outrance ou injecter une forte dose du socialisme pour éviter les remous sociaux.
Le dialogue politique est entrain de se transformer à une stratégie de tuer le temps jusqu'à la veille des élections municipales et législatives. Le dialogue est inévitable mais il y a des lignes rouges a ne pas franchir. Si les questions de la prise du pouvoir par des moyens anticonstitutionnels, la place de l’armée dans une démocratie ne sont pas abordées le reste ne sera que du déjà vu.
C’est une très bonne stratégie de la part du président Mohamed Ould Abdel Aziz de moderniser et équiper notre armée pour se mettre à l’ abri des menaces extérieures et après avoir rempli cette mission céder le pouvoir éviterait au pays le chaos. Il a débarrassé la Mauritanie du Sanguinaire Maouya donc, il peut tout faire pour le bien des mauritaniens.
Source : TufndePinal
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