La sensation d’être sous une dictature galopante qui monte en puissance chaque jour est plus forte que ma personne ; plus rien ne va dans ce pays depuis que cette armée de pacotille a pris le pouvoir en Mauritanie en l’an 1978. La Mauritanie s’écroulera sous la dictature d’une meute d’officiers immoraux, ils sont sans bagages intellectuels, entravent l’épanouissement et le développement du pays. Ils seront là tant que les bonnes volontés de tous bords ne se mettent pas à travailler ensemble pour se débarrasser définitivement de cette bande de corrompue soldatesque. Cette armée traine avec elle le carcan du pillage des ressources naturels, la corruption et les cargaisons de la drogue qui atterrissent jour et nuits dans le désert pour se remplir les poches au plus vite.
Par mépris à toute action dénonçant l’esclavage et le racisme d’état qui perdure en république islamique de Mauritanie depuis l’indépendance pardon plutôt la « dépendance dirai-je », le puissant gourou des généraux incompétents Mohamed Ould Abdel Aziz, son entourage ignorent complètement les aspects juridiques du pays. La solution trouvée consiste à mettre les citoyens en prison sans procès, le cas des militants abolitionnistes qui croupissent en taule depuis le 13 décembre 2010 sur des fausses accusations de la police pour blanchir une employée de la banque centrale prit en flagrant délit de pratique d’esclavage et d’exploitation sur deux filles mineures est très révélateur. Dans la réalité, le dossier en charge des militants de droits de l’homme est vide, le rapport de la gendarmerie et le montage du faux et usage de faux de la police ne tiennent pas debout. Ne sachant pas que faire de leur dossier, nos camarades risquent de rester longtemps en prison sans en être jugé. Toute la logistique du pouvoir veut discréditer nos actions en essayant de faire peur les militants afin qu’ils renoncent à dénoncer les pratiques esclavagistes et le racisme de certains hauts fonctionnaires de l’état qui font obstructions à l’application de la loi 2007 incriminant les pratiques de l’esclavage sur l’ensemble du territoire Mauritanien. L’inquiétude de Me Bilal Ould Dick est tout à fait justifier quand –t-il dit ceci :
« Et tout d’un coup, on s’est retrouvé devant deux tribunaux qui ont été institués par le dernier Conseil Supérieur de la Magistrature (réunis le 27 décembre 2010, Ndlr).
Avec l’institution d’un nouveau tribunal correctionnel, notre dossier s’est retrouvé dans une situation juridique non identifiée. On ne sait pas à qui on doit s’adresser. Cette situation est une situation extrêmement grave. On est dans une situation extrêmement grave sur le plan du droit et de la sauvegarde des droits.
Jusqu’au moment où je vous parle, on ne sait pas quel est le tribunal qui est compétent pour statuer sur cette affaire. On ne sait pas est-ce que l’affaire sera vidée l’année prochaine ou est-ce que c’est dans une semaine ou dans un mois. On ne sait pas »
Là vous comprenez qu’il y a réelle urgence d’agir vite pour dire non à cette injustice injustifiée et gratuite.
Merci pour votre compréhension
Diko hanoune
Par mépris à toute action dénonçant l’esclavage et le racisme d’état qui perdure en république islamique de Mauritanie depuis l’indépendance pardon plutôt la « dépendance dirai-je », le puissant gourou des généraux incompétents Mohamed Ould Abdel Aziz, son entourage ignorent complètement les aspects juridiques du pays. La solution trouvée consiste à mettre les citoyens en prison sans procès, le cas des militants abolitionnistes qui croupissent en taule depuis le 13 décembre 2010 sur des fausses accusations de la police pour blanchir une employée de la banque centrale prit en flagrant délit de pratique d’esclavage et d’exploitation sur deux filles mineures est très révélateur. Dans la réalité, le dossier en charge des militants de droits de l’homme est vide, le rapport de la gendarmerie et le montage du faux et usage de faux de la police ne tiennent pas debout. Ne sachant pas que faire de leur dossier, nos camarades risquent de rester longtemps en prison sans en être jugé. Toute la logistique du pouvoir veut discréditer nos actions en essayant de faire peur les militants afin qu’ils renoncent à dénoncer les pratiques esclavagistes et le racisme de certains hauts fonctionnaires de l’état qui font obstructions à l’application de la loi 2007 incriminant les pratiques de l’esclavage sur l’ensemble du territoire Mauritanien. L’inquiétude de Me Bilal Ould Dick est tout à fait justifier quand –t-il dit ceci :
« Et tout d’un coup, on s’est retrouvé devant deux tribunaux qui ont été institués par le dernier Conseil Supérieur de la Magistrature (réunis le 27 décembre 2010, Ndlr).
Avec l’institution d’un nouveau tribunal correctionnel, notre dossier s’est retrouvé dans une situation juridique non identifiée. On ne sait pas à qui on doit s’adresser. Cette situation est une situation extrêmement grave. On est dans une situation extrêmement grave sur le plan du droit et de la sauvegarde des droits.
Jusqu’au moment où je vous parle, on ne sait pas quel est le tribunal qui est compétent pour statuer sur cette affaire. On ne sait pas est-ce que l’affaire sera vidée l’année prochaine ou est-ce que c’est dans une semaine ou dans un mois. On ne sait pas »
Là vous comprenez qu’il y a réelle urgence d’agir vite pour dire non à cette injustice injustifiée et gratuite.
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Diko hanoune
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