Finalement, nous voilâmes à la veille de la fête de notre indépendance, au jour inoubliable et au carrefour de la barbarie, du raciste et de la honte génocidaire de notre jeune Etat. Difficile et même impossible pour la Mauritanie et le Mauritanien épris de justice d’oublier la triste date du 27 novembre, malgré le symbole fort du 28 Novembre.
La joie de la liberté au cœur et la honte de nos gouvernants à l’esprit, mon peuple est aujourd’hui encore divisé sur le sens à donner à un événement qui ailleurs fait la fierté des citoyens et amis. La noblesse bafouée, l’honneur souillé, l’ouïe occupé par les cris des orphelins et veuves de cette triste 27 Novembre.
La fraicheur matinale de la liberté apporte l’odeur piquante du sang des soldats pendus et des milliers de victimes de la dictature incarnée par Taya. Les regards sombres des opprimés invoquent l’avenir timide de cette nation. L’impunité et le silence complice rendent coupables et compliquent davantage la cohabitation de mon peuple.
Rien n’est plus triste que de savoir que son cœur et son esprit ne font plus un ou ne ressentent plus les événements de la même manière. C’est pourquoi justice doit être rendue, les coupables actifs ou passifs doivent être sanctionnés pour qu’afin mon peuple puisse regarder et ressentir la même chose. C’est un devoir citoyen car toute tare est une bombe à retardement qui finira par emporter le peuple qui en est victime.
On ne saurait terminer sans penser aux morts. Que nos âmes reposent en paix et que la gloire des combattants de l’indépendance éclaire nos vies pour une Mauritanie Nouvelle où il fera beau de fêter l’indépendance sans le triste souvenir du sang de l’indépendance ou du deuil de toute une nation.
source:Cissé Housseynou Birama
L’avocat du Peuple et le plus proche conseiller viasource;
source:Cissé Housseynou Birama viacridem.org
La joie de la liberté au cœur et la honte de nos gouvernants à l’esprit, mon peuple est aujourd’hui encore divisé sur le sens à donner à un événement qui ailleurs fait la fierté des citoyens et amis. La noblesse bafouée, l’honneur souillé, l’ouïe occupé par les cris des orphelins et veuves de cette triste 27 Novembre.
La fraicheur matinale de la liberté apporte l’odeur piquante du sang des soldats pendus et des milliers de victimes de la dictature incarnée par Taya. Les regards sombres des opprimés invoquent l’avenir timide de cette nation. L’impunité et le silence complice rendent coupables et compliquent davantage la cohabitation de mon peuple.
Rien n’est plus triste que de savoir que son cœur et son esprit ne font plus un ou ne ressentent plus les événements de la même manière. C’est pourquoi justice doit être rendue, les coupables actifs ou passifs doivent être sanctionnés pour qu’afin mon peuple puisse regarder et ressentir la même chose. C’est un devoir citoyen car toute tare est une bombe à retardement qui finira par emporter le peuple qui en est victime.
On ne saurait terminer sans penser aux morts. Que nos âmes reposent en paix et que la gloire des combattants de l’indépendance éclaire nos vies pour une Mauritanie Nouvelle où il fera beau de fêter l’indépendance sans le triste souvenir du sang de l’indépendance ou du deuil de toute une nation.
source:Cissé Housseynou Birama
L’avocat du Peuple et le plus proche conseiller viasource;
source:Cissé Housseynou Birama viacridem.org
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