La Belgique a annoncé mardi avoir alloué 250.000 euros à la prévention du terrorisme au Burkina Faso et en Mauritanie. Les deux pays sahéliens bénéficieront ainsi de formations sur les techniques d'enquête et d'investigation, la coopération judiciaire et la lutte contre le financement du terrorisme.
"Le cadre pénal sera ainsi renforcé et les autorités seront mieux à même de répondre à la menace des groupes terroristes et des combattants étrangers en Afrique de l'Ouest", s'est réjoui dans un communiqué le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders. Des magistrats spécialisés travailleront à Ouagadougou et à Nouakchott, a-t-il précisé.
Les formations seront assurées par le Service de prévention du terrorisme de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). Il s'agit du département onusien qui a le mandat et l'expertise pour aider les pays dans les aspects législatifs et pénaux de la lutte contre le terrorisme.
L'ONUDC s'engage dans une approche globale contre les crimes tels que le terrorisme, la traite des êtres humains, le trafic de stupéfiants et d'autres formes de criminalité organisée.
M. Reynders a dit attacher une grande importance à la prévention de la radicalisation et de l'extrémisme violent par la construction et le renforcement de l'Etat de droit et par une approche globale, dans le respect des droits de l'Homme.
Pour lui, ces efforts doivent contribuer à une plus grande stabilité dans le Sahel, une région sensible aux phénomènes migratoires, ce qui est déterminant pour la stabilité du continent africain. La radicalisation, l'extrémisme violent et le terrorisme sont un obstacle à la perspective de stabilité et de développement.
Source:http://french.china.org.cn
"Le cadre pénal sera ainsi renforcé et les autorités seront mieux à même de répondre à la menace des groupes terroristes et des combattants étrangers en Afrique de l'Ouest", s'est réjoui dans un communiqué le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders. Des magistrats spécialisés travailleront à Ouagadougou et à Nouakchott, a-t-il précisé.
Les formations seront assurées par le Service de prévention du terrorisme de l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC). Il s'agit du département onusien qui a le mandat et l'expertise pour aider les pays dans les aspects législatifs et pénaux de la lutte contre le terrorisme.
L'ONUDC s'engage dans une approche globale contre les crimes tels que le terrorisme, la traite des êtres humains, le trafic de stupéfiants et d'autres formes de criminalité organisée.
M. Reynders a dit attacher une grande importance à la prévention de la radicalisation et de l'extrémisme violent par la construction et le renforcement de l'Etat de droit et par une approche globale, dans le respect des droits de l'Homme.
Pour lui, ces efforts doivent contribuer à une plus grande stabilité dans le Sahel, une région sensible aux phénomènes migratoires, ce qui est déterminant pour la stabilité du continent africain. La radicalisation, l'extrémisme violent et le terrorisme sont un obstacle à la perspective de stabilité et de développement.
Source:http://french.china.org.cn