Dans une sortie médiatique, le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz affirmait que la principale raison de la détérioration du système d’enseignement dans le pays, resulte du fait que plupart des jeunes ont choisi les disciplines littéraires et les études sociales.
Cette declaration a suscité une controverse dans les milieux culturels qui continue de se répandre pour sa troisième semaine.
Les poètes Mauritaniens ont répondu avec colère au président mauritanien à travers un bouquet de 200 quatrains , qu’ils ont appelé « bouquet de colère. »
Le président a déclaré , lors de la conférence de presse qu’il a tenue le 23 Mars dernier , que les universités mauritaniennes ont formé des milliers de poètes, écrivains et diplomés en sciences sociales , au point que cela est devienu un « fardeau pour le pays », et il a exhorté que l’on s’oriente vers les disciplines scientifiques.
Un certain nombre de poètes et écrivains, ont consideré que les déclarations Ould Abdel Aziz, sont « une avanie » délibérée à leur endroit , d’autant plus que c’est la deuxième fois que le president critique le grand nombre de poètes dans le pays, que l’on surnomme « le pays au million des poètes ».
Par le passé, le président mauritanien a critiqué en 2012 l’existence du grand nombre de poètes et d’écrivains dans le bled, et a averti que le pays restera loin du progrés tant que le pays ne parvienne à obtenir des diplômés de qualifications scientifiques et non des poètes et des écrivains.
Les poètes ont choisi de répondre au président par un « bouquet de colère », constitué de 200 quatrains co-écrit par un certain nombre de grands poètes nationaux.
Parmi les poètes qui ont participé à l’écriture de cette oeuvre : Mohamed Ould Idoumou, Eddie Ould Edouba, , Moulay Abdellah et Mohamed Lemine Ould Mustapha.
Sourcehttp://adrar-info.ne
Cette declaration a suscité une controverse dans les milieux culturels qui continue de se répandre pour sa troisième semaine.
Les poètes Mauritaniens ont répondu avec colère au président mauritanien à travers un bouquet de 200 quatrains , qu’ils ont appelé « bouquet de colère. »
Le président a déclaré , lors de la conférence de presse qu’il a tenue le 23 Mars dernier , que les universités mauritaniennes ont formé des milliers de poètes, écrivains et diplomés en sciences sociales , au point que cela est devienu un « fardeau pour le pays », et il a exhorté que l’on s’oriente vers les disciplines scientifiques.
Un certain nombre de poètes et écrivains, ont consideré que les déclarations Ould Abdel Aziz, sont « une avanie » délibérée à leur endroit , d’autant plus que c’est la deuxième fois que le president critique le grand nombre de poètes dans le pays, que l’on surnomme « le pays au million des poètes ».
Par le passé, le président mauritanien a critiqué en 2012 l’existence du grand nombre de poètes et d’écrivains dans le bled, et a averti que le pays restera loin du progrés tant que le pays ne parvienne à obtenir des diplômés de qualifications scientifiques et non des poètes et des écrivains.
Les poètes ont choisi de répondre au président par un « bouquet de colère », constitué de 200 quatrains co-écrit par un certain nombre de grands poètes nationaux.
Parmi les poètes qui ont participé à l’écriture de cette oeuvre : Mohamed Ould Idoumou, Eddie Ould Edouba, , Moulay Abdellah et Mohamed Lemine Ould Mustapha.
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