L'otage espagnole, Alicia Gamaz, est de retour en Espagne après sa libération de 101 jours de captivité par le groupe terroriste Al Qaïda.
Mme Gamaz a été enlevée avec deux collègues de l'organisation caritative « Accio Solidaria » basée à Barcelone en novembre en Mauritanie.
Elle a effectué le retour en Espagne à bord d'un avion militaire espagnol, qui a décollé du Burkina Faso, mais ses premières pensées ont été à ses compagnons, Roque Pascual et Albert Viralta, qui sont toujours détenus par Al Qaïda.
« Je suis très heureuse d'être de retour à la maison et ma joie sera complète quand Albert et Roque seront de retour », a-t-elle expliqué.
« Pour le moment, je veux être avec ma famille et j'espère que les gens respecteront cela pendant que nous attendons tous la libération rapide de mes compagnons », a-t-elle ajouté.
La vice-présidente espagnole, Matia Teresa Fernandez de la Vega, a insisté par ailleurs que l'Espagne n'a pas versé de rançon pour libérer son citoyen.
« C'est le résultat du travail des services diplomatiques et de renseignements et de l'aide de plusieurs autres pays », a-t-elle souligné.
La famille de Mme Gamez s'est dite ravie de la revoir saine et sauve, bien qu'elle ait été affectée par l'expérience et ait perdu du poids.
Source : ani.
Mme Gamaz a été enlevée avec deux collègues de l'organisation caritative « Accio Solidaria » basée à Barcelone en novembre en Mauritanie.
Elle a effectué le retour en Espagne à bord d'un avion militaire espagnol, qui a décollé du Burkina Faso, mais ses premières pensées ont été à ses compagnons, Roque Pascual et Albert Viralta, qui sont toujours détenus par Al Qaïda.
« Je suis très heureuse d'être de retour à la maison et ma joie sera complète quand Albert et Roque seront de retour », a-t-elle expliqué.
« Pour le moment, je veux être avec ma famille et j'espère que les gens respecteront cela pendant que nous attendons tous la libération rapide de mes compagnons », a-t-elle ajouté.
La vice-présidente espagnole, Matia Teresa Fernandez de la Vega, a insisté par ailleurs que l'Espagne n'a pas versé de rançon pour libérer son citoyen.
« C'est le résultat du travail des services diplomatiques et de renseignements et de l'aide de plusieurs autres pays », a-t-elle souligné.
La famille de Mme Gamez s'est dite ravie de la revoir saine et sauve, bien qu'elle ait été affectée par l'expérience et ait perdu du poids.
Source : ani.
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