
La Mauritanie vit une situation trop difficile. En dehors de la crise politique voulue par certains de nos acteurs politiques, il y a une crise au niveau de l’approvisionnement de la capitale en eau, en électricité et la cherté de la vie.
Lors de sa prise du pouvoir le 06 août 2008, le général avait hérité de nombreux problèmes dont celui des réfugiés, celui du passif humanitaire, celui de la ville de Tintane, celui de l’eau potable, celui de la corruption et de la Somelec.
Tous ces problèmes sont le cumul de la mauvaise gestion du pays par les différents régimes qui se sont succédés à la tête du pays. On évoque aujourd’hui le cas de la Somelec, cette boite qui croupie sous un déficit de plusieurs dizaines de milliards d’ouguiyas.
Le cas de cette boite ne passe pas inaperçu pour la simple raison qu’il s’agit d’électricité, une chose qui remplie tous les foyers de la capitale et dont l’absence est remarquée à la première seconde.
Aujourd’hui le président Mohamed Ould Abdel Aziz se trouve confronté à la réalité. Une réalité crue et difficile, il doit se battre sur tous les fronts.
Dés sa prise du pouvoir l’homme s’était attaqué aux racines du mal que sont la gabegie et la corruption. Il en avait fait son cheval de bataille. La quasi-totalité des Mauritaniens était mise à l’écart et vivait en marge.
Les « Exclus » étaient nombreux et ils étaient considérés comme des exilés dans leur propre pays dont les richesses étaient partagées par une minorité.
Le président du HCE avait pris sur lui l’engagement de redresser la situation. Les fruits sont tombés, Hay Sakin, Kebat Marbatt et celle de Arafatt ont été attribués à leurs occupants.
Aujourd’hui le pays fait face au problèmes d’inondations qui ont touché les villes de Rosso et Nouakchott. La capitale du Trarza a depuis sa création été l’objet d’inondation, les habitant de cette ville citent toujours les inondations de leur localité comme référence dans le temps. Ils parlent de « Degdiguit Leg warib ».
Il ne se passe pas une année sans que les habitants de Satarra ne soient transférés au PK7. Ce qu’on appelle là bas « l’éternel recommencement ». A Nouakchott combien de fois les quartiers de Mellah et Basra ont été transférés ?
Des dizaines de fois sans doute. Cette situation donc est antérieure à l’arrivée du président Aziz au pouvoir. Tous les mauritaniens savent que Nouakchott n’a pas de plan urbain.
Les hommes construisent n’importe où et n’importe comment sans tenir compte des différentes instructions de l’état. Pour les Nouakchottois il ne pleut jamais dans cette ville.
Le plus important est que le pouvoir en place a pris le mal par le corps et est venu au secours des populations aux premières heures des inondations.
Le problème du passif humanitaire a été résolu par le président Aziz, Tintane est en pleine reconstruction, jeudi le président s’est rendu en personne à la centrale thermique pour s’enquérir de la situation de la société il a donné des instructions et les choses vont rentrer dans l’ordre les jours à venir.
Il faut reconnaître que le pays a été l’objet la mauvaise gestion des décennies durant et il est normal que cette situation explose un jour c’est ce qui est arrivé. Aujourd’hui le président prend les choses en main et va redresser la situation.
Actuellement l’opposition en place fait porter le pouvoir de Ould Abdel Aziz la responsabilité de la situation actuelle or cette dernière a une large responsabilité dans la situation que vivent les mauritaniens aujourd’hui.
En effet les hommes qui constituent l’opposition actuellement ont occupé de grands postes de responsabilités dans les gouvernements des régimes passés.
Pour trouver des solutions adéquates aux difficultés de l’heure, le président Aziz doit nécessairement s’entourer d’une équipe compétente et avoir le temps, la situation du pays ne peut être redressée qu’en un minimum de 10 ans soit deux mandat pour un président.
Lors de sa prise du pouvoir le 06 août 2008, le général avait hérité de nombreux problèmes dont celui des réfugiés, celui du passif humanitaire, celui de la ville de Tintane, celui de l’eau potable, celui de la corruption et de la Somelec.
Tous ces problèmes sont le cumul de la mauvaise gestion du pays par les différents régimes qui se sont succédés à la tête du pays. On évoque aujourd’hui le cas de la Somelec, cette boite qui croupie sous un déficit de plusieurs dizaines de milliards d’ouguiyas.
Le cas de cette boite ne passe pas inaperçu pour la simple raison qu’il s’agit d’électricité, une chose qui remplie tous les foyers de la capitale et dont l’absence est remarquée à la première seconde.
Aujourd’hui le président Mohamed Ould Abdel Aziz se trouve confronté à la réalité. Une réalité crue et difficile, il doit se battre sur tous les fronts.
Dés sa prise du pouvoir l’homme s’était attaqué aux racines du mal que sont la gabegie et la corruption. Il en avait fait son cheval de bataille. La quasi-totalité des Mauritaniens était mise à l’écart et vivait en marge.
Les « Exclus » étaient nombreux et ils étaient considérés comme des exilés dans leur propre pays dont les richesses étaient partagées par une minorité.
Le président du HCE avait pris sur lui l’engagement de redresser la situation. Les fruits sont tombés, Hay Sakin, Kebat Marbatt et celle de Arafatt ont été attribués à leurs occupants.
Aujourd’hui le pays fait face au problèmes d’inondations qui ont touché les villes de Rosso et Nouakchott. La capitale du Trarza a depuis sa création été l’objet d’inondation, les habitant de cette ville citent toujours les inondations de leur localité comme référence dans le temps. Ils parlent de « Degdiguit Leg warib ».
Il ne se passe pas une année sans que les habitants de Satarra ne soient transférés au PK7. Ce qu’on appelle là bas « l’éternel recommencement ». A Nouakchott combien de fois les quartiers de Mellah et Basra ont été transférés ?
Des dizaines de fois sans doute. Cette situation donc est antérieure à l’arrivée du président Aziz au pouvoir. Tous les mauritaniens savent que Nouakchott n’a pas de plan urbain.
Les hommes construisent n’importe où et n’importe comment sans tenir compte des différentes instructions de l’état. Pour les Nouakchottois il ne pleut jamais dans cette ville.
Le plus important est que le pouvoir en place a pris le mal par le corps et est venu au secours des populations aux premières heures des inondations.
Le problème du passif humanitaire a été résolu par le président Aziz, Tintane est en pleine reconstruction, jeudi le président s’est rendu en personne à la centrale thermique pour s’enquérir de la situation de la société il a donné des instructions et les choses vont rentrer dans l’ordre les jours à venir.
Il faut reconnaître que le pays a été l’objet la mauvaise gestion des décennies durant et il est normal que cette situation explose un jour c’est ce qui est arrivé. Aujourd’hui le président prend les choses en main et va redresser la situation.
Actuellement l’opposition en place fait porter le pouvoir de Ould Abdel Aziz la responsabilité de la situation actuelle or cette dernière a une large responsabilité dans la situation que vivent les mauritaniens aujourd’hui.
En effet les hommes qui constituent l’opposition actuellement ont occupé de grands postes de responsabilités dans les gouvernements des régimes passés.
Pour trouver des solutions adéquates aux difficultés de l’heure, le président Aziz doit nécessairement s’entourer d’une équipe compétente et avoir le temps, la situation du pays ne peut être redressée qu’en un minimum de 10 ans soit deux mandat pour un président.