Ce vendredi 17 décembre 2010 dans l’après midi, j’ai pris les nouvelles de nos camarades qui sont arrêtés depuis le 13 décembre 2010 tout en espérant qu’elles seront bonnes où au moins elles me laisseront optimiste. On me révèle qu’au commissariat d’ARAAT1 une banlieue populaire de la capitale Nouakchott, les détenus étaient privés non seulement de soins, de la nourriture, mais aussi le commissaire les empêchait d’accomplir le devoir religieux c'est-à-dire interdiction totale de faire la prière. Dans quelle république islamique sommes-nous ? Selon la charia islamique, un condamné à mort a droit d’accomplir sa prière même avant son exécution alors que dans le cas précis de nos camarades détenus arbitrairement, la cruauté et l’immoralité des policiers Mauritaniens dépassent toutes les bornes. Beaucoup de personnes se posent des questions surtout celle là : comment cette affaire a atteint le degré tension non retour entre la police et les vaillants militants des droits de l’homme ?
Je vous relate les faits : les militants des droits humains ont constatés deux fillettes mineures en situation d’esclavage et d’exploitation par la nommée Mounounnine mint Bekkar Vall une employée de la Banque Centrale de Mauritanie en sachant que la Mauritanie a ratifiée tous les traités imaginales et inimaginables pour protéger les enfants sans oublier la récente loi incriminant l’esclavage en 2007. Ils se sont rendu auprès du préfet de la capitale Nouakchott, au début le préfet ne volait rien entendre ni comprendre, vu l’insistance des nos camarades, il finira par ordonner au commissaire d’ARAFAT1 de les faire accompagner par des policiers. Une fois au domicile de la maitresse des mineures, les policiers refusent l’accès aux militants des droits de l’homme pour libérer les deux victimes. Après vives protestations, la police cédera et ouvre la porte aux secouristes militants des droits humains. Les victimes sont embarquées direction commissariat d’arafat1, là encore les policiers recommencent leur cirque, tout le monde est bloqué devant l’entrée, le commissaire se fâche, des injures envers les militants abolitionnistes particulièrement Biram Ould Dah Ould Abeid président en exercice du FLERE pleuvent.
Les esprits se chauffent, puis soudain un policier Maure blanc gifle Biram Ould Dah, c’est le moment tant attendu, toute la brigade lui tombe dessus comme des fauves affamés qui déchiquètent une chaire fraiche. Le châtiment supprime est tellement disproportionné, surtout injustifié, les policiers se sont servis de tout l’arsenal de torture dans leurs locaux pour tabasser Biram Ould Dah. Des militants horrifiés par cette violence aveugle tentent en vain de s’interposer sans armes, rien qu’avec des bras, ils voulaient juste empêcher la mise à mort en directe de leur leader. Le boubou que portait Biram Ould Dah à voler en mille morceaux, l’un des bourreaux policiers l’étrangle avec le turban qu’il portait autour du cou pour l'empêcher de se protéger contre les coups. Le sang gicle partout, il est touché sévèrement à tête et aux jambes.
On peut dire que Biram Ould Dah doit la vie qu’aux militants qui étaient présents ce jour là devant le commissariat d’ARAFAT1. Avec les cris d’horreurs qu’ils poussaient, un impressionnant attroupement des habitants du quartier encercle le commissariat, la police utilisa des grenades lacrymogènes pour disperser la foule procédant plusieurs arrestations des militants qui étaient venus nombreux. C’est ainsi que commissaire les séquestra, aucune visite n’est autorisée, question d’orchestrée son faux rapport pour accabler ces proies. Une fois le fameux rapport a été monté de toute pièce, le commissaire se précipita vers le parquet.
On signifiera à Mr le commissaire son incompétence, surtout que son rapport était incohérent. Il manquait cruellement la version adverse alors à quoi sert la garde à vue si les accusés ne sont pas interrogés? Voila pourquoi la police a été dessaisie de l’affaire, elle est supposée être partie prenante dans l'événement, l’affaire a été confiée à la gendarmerie pour mener l’enquête. Les visites sont toujours interdites, les repas que ramènent les familles des détenus sont collectés à l’entrée des locaux de la gendarmerie. La manière dont les choses se déroulent actuellement, nous rappelle les arrestations arbitraires des initiateurs du manifeste négro-Mauritaniens accusés à tord d’avoir fomenté un coup d’état en 1986, 1987 jusqu’en 1989 ; les soldats ont été pendu et beaucoup de civiles sont morts de faim en prison.
Nous apprenons que le préfet soutient ces hommes, c'est-à-dire les policiers fauteurs de troubles. Ce qui est tout à fait normale, dès le début de l'affaire, il était contre la libération des deux filles mineures. Est-il nécessaire de vous rappeler, la majorité des hauts fonctionnaires Mauritaniens qui sont à tête des institutions dirigeantes du pays couvrent sans ambiguïtés les pratiques esclavagistes, ils possèdent eux-mêmes des esclaves en leur service.
Un sujet important : comment l’idée de toucher à un cheveu d’un homme en uniforme peut traverser l'esprit d’un mauritanien? Ce sont les hommes en uniformes qui terrorisent les citoyens pas le contraire dans le pays. Pour preuve, il suffit d’aller visité n’importe quel village à l’intérieur du pays, vous verrez des pères de familles qui se cachent par peur de la tenue alors comment Mr commissaire d’ARAFAT1 veut nous faire avaler la pilule coûte que coûte des policiers ont été agressé par les militants abolitionnistes? La peur est elle entrain de changer de can ?
Ceci est un appel pressant aux épris de la justice, à la société mauritanienne dans son ensemble, aux institutions nationales et internationales, aux partis politiques, associations de défense des droits de l’homme, je leur dis le refus de cautionner cette injustice grave relève du devoir civique, morale et humaine.
Il y a urgence, agissons vite
Merci
Diko hanoune
Je vous relate les faits : les militants des droits humains ont constatés deux fillettes mineures en situation d’esclavage et d’exploitation par la nommée Mounounnine mint Bekkar Vall une employée de la Banque Centrale de Mauritanie en sachant que la Mauritanie a ratifiée tous les traités imaginales et inimaginables pour protéger les enfants sans oublier la récente loi incriminant l’esclavage en 2007. Ils se sont rendu auprès du préfet de la capitale Nouakchott, au début le préfet ne volait rien entendre ni comprendre, vu l’insistance des nos camarades, il finira par ordonner au commissaire d’ARAFAT1 de les faire accompagner par des policiers. Une fois au domicile de la maitresse des mineures, les policiers refusent l’accès aux militants des droits de l’homme pour libérer les deux victimes. Après vives protestations, la police cédera et ouvre la porte aux secouristes militants des droits humains. Les victimes sont embarquées direction commissariat d’arafat1, là encore les policiers recommencent leur cirque, tout le monde est bloqué devant l’entrée, le commissaire se fâche, des injures envers les militants abolitionnistes particulièrement Biram Ould Dah Ould Abeid président en exercice du FLERE pleuvent.
Les esprits se chauffent, puis soudain un policier Maure blanc gifle Biram Ould Dah, c’est le moment tant attendu, toute la brigade lui tombe dessus comme des fauves affamés qui déchiquètent une chaire fraiche. Le châtiment supprime est tellement disproportionné, surtout injustifié, les policiers se sont servis de tout l’arsenal de torture dans leurs locaux pour tabasser Biram Ould Dah. Des militants horrifiés par cette violence aveugle tentent en vain de s’interposer sans armes, rien qu’avec des bras, ils voulaient juste empêcher la mise à mort en directe de leur leader. Le boubou que portait Biram Ould Dah à voler en mille morceaux, l’un des bourreaux policiers l’étrangle avec le turban qu’il portait autour du cou pour l'empêcher de se protéger contre les coups. Le sang gicle partout, il est touché sévèrement à tête et aux jambes.
On peut dire que Biram Ould Dah doit la vie qu’aux militants qui étaient présents ce jour là devant le commissariat d’ARAFAT1. Avec les cris d’horreurs qu’ils poussaient, un impressionnant attroupement des habitants du quartier encercle le commissariat, la police utilisa des grenades lacrymogènes pour disperser la foule procédant plusieurs arrestations des militants qui étaient venus nombreux. C’est ainsi que commissaire les séquestra, aucune visite n’est autorisée, question d’orchestrée son faux rapport pour accabler ces proies. Une fois le fameux rapport a été monté de toute pièce, le commissaire se précipita vers le parquet.
On signifiera à Mr le commissaire son incompétence, surtout que son rapport était incohérent. Il manquait cruellement la version adverse alors à quoi sert la garde à vue si les accusés ne sont pas interrogés? Voila pourquoi la police a été dessaisie de l’affaire, elle est supposée être partie prenante dans l'événement, l’affaire a été confiée à la gendarmerie pour mener l’enquête. Les visites sont toujours interdites, les repas que ramènent les familles des détenus sont collectés à l’entrée des locaux de la gendarmerie. La manière dont les choses se déroulent actuellement, nous rappelle les arrestations arbitraires des initiateurs du manifeste négro-Mauritaniens accusés à tord d’avoir fomenté un coup d’état en 1986, 1987 jusqu’en 1989 ; les soldats ont été pendu et beaucoup de civiles sont morts de faim en prison.
Nous apprenons que le préfet soutient ces hommes, c'est-à-dire les policiers fauteurs de troubles. Ce qui est tout à fait normale, dès le début de l'affaire, il était contre la libération des deux filles mineures. Est-il nécessaire de vous rappeler, la majorité des hauts fonctionnaires Mauritaniens qui sont à tête des institutions dirigeantes du pays couvrent sans ambiguïtés les pratiques esclavagistes, ils possèdent eux-mêmes des esclaves en leur service.
Un sujet important : comment l’idée de toucher à un cheveu d’un homme en uniforme peut traverser l'esprit d’un mauritanien? Ce sont les hommes en uniformes qui terrorisent les citoyens pas le contraire dans le pays. Pour preuve, il suffit d’aller visité n’importe quel village à l’intérieur du pays, vous verrez des pères de familles qui se cachent par peur de la tenue alors comment Mr commissaire d’ARAFAT1 veut nous faire avaler la pilule coûte que coûte des policiers ont été agressé par les militants abolitionnistes? La peur est elle entrain de changer de can ?
Ceci est un appel pressant aux épris de la justice, à la société mauritanienne dans son ensemble, aux institutions nationales et internationales, aux partis politiques, associations de défense des droits de l’homme, je leur dis le refus de cautionner cette injustice grave relève du devoir civique, morale et humaine.
Il y a urgence, agissons vite
Merci
Diko hanoune
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