Le litige actuel porte sur un conflit foncier objet de trois jugements judiciaires, en 1981, en 2009 et en 2011. Le premier jugement, celui de 1981 avait donné raison au clan adverse au président de l’UPR. Celui-ci attendra le retournement de situation survenu en 2009 après l’accession de Mohamed Ould Abdel Aziz au pouvoir pour obtenir un jugement qui lui donnait raison. Mais le dernier jugement, celui de 2011 annulait la décision prise en 2009.
Pour les adversaires du président de l’UPR, ce dernier aurait joué de son influence politique, pour s’accaparer du domaine foncier qui serait selon lui revendiqué par des opposants au régime. Dans une plainte adressée à la presse, les spoliés affirment que le ministre de la Justice aussi bien que le ministre de l’Intérieur ont déclaré n’être pas concernés par cette affaire, alors que selon leur déclaration, la justice continue à ne prendre en considération que le jugement rendu en 1981.
Battues, emprisonnées et bombardées de gaz lacrymogènes, disent-elles, quand elles ont porté leur ressentiment devant les autorités administratives de leur région, après la décision de l’administration de les déposséder de leur terre au profit du président de l’UPR, les femmes en sit-in permanent devant les grilles de la présidence de la République, s’en réfèrent aujourd’hui à l’arbitrage du Président de la République pour retrouver leur droit. Elles portent également plainte contre les exactions que la gendarmerie nationale leur a fait subir à Doueïrara.
Ahmed. B
Lauthentique
Pour les adversaires du président de l’UPR, ce dernier aurait joué de son influence politique, pour s’accaparer du domaine foncier qui serait selon lui revendiqué par des opposants au régime. Dans une plainte adressée à la presse, les spoliés affirment que le ministre de la Justice aussi bien que le ministre de l’Intérieur ont déclaré n’être pas concernés par cette affaire, alors que selon leur déclaration, la justice continue à ne prendre en considération que le jugement rendu en 1981.
Battues, emprisonnées et bombardées de gaz lacrymogènes, disent-elles, quand elles ont porté leur ressentiment devant les autorités administratives de leur région, après la décision de l’administration de les déposséder de leur terre au profit du président de l’UPR, les femmes en sit-in permanent devant les grilles de la présidence de la République, s’en réfèrent aujourd’hui à l’arbitrage du Président de la République pour retrouver leur droit. Elles portent également plainte contre les exactions que la gendarmerie nationale leur a fait subir à Doueïrara.
Ahmed. B
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