L'Université de Nouakchott a rendu public lundi un communiqué dans lequel elle explique les tenants et aboutissants de l'arrestation d'un groupe d'individus qui ont agressé l'Université protestant contre le fait que celle-ci n'a pas admis leur insertion parmi ses collaborateurs et n'a pas accepté l'équivalence de leurs diplômes.
Huit personnes note le communiqué, ont été appréhendées hier, dimanche, à 16 heures. Ces personnes avaient auparavant déposé leurs dossiers pour être vacataires dans le cadre de plus de 900 postulants à cette collaboration avec l'Université.
Toutefois les résultats du dépouillement des dossiers et de leur notation supervisés par une commission du staff pédagogique en présence de représentants des postulants n'ont pas été favorables à ce groupe dont la vacation n'a pas été admise. Mais au lieu d'accepter la réalité, comme des centaines de leurs collègues dont les dossiers étaient plus étoffés et qui étaient plus expérimentés, ils ont opté pour le désordre et tenté d'imposer leur volonté avec la force de manière qui va à l'encontre des règles élémentaires de la civilité exploitant le climat de liberté qu'offre l'Université pour porter atteinte à la sérénité du campus.
Le communiqué souligne que les individus concernés ont assailli les bureaux administratifs de l'Université et arrêté le travail en son sein en usant de hauts parleurs, en frappant les gardiens et en les traitant de tous les mots.
Et de relever que la demande de ce groupe, s'agissant de l'équivalence de leurs diplômes, n'est pas de la compétence de l'Université mais une prérogative de la commission nationale des équivalences.
Le communiqué a enfin réaffirmé le droit de l'Université de poursuivre ce groupe en justice pour le préjudice corporel et moral subi par l'Université et ses travailleurs, suite à cette agression.
Source : ANI
Huit personnes note le communiqué, ont été appréhendées hier, dimanche, à 16 heures. Ces personnes avaient auparavant déposé leurs dossiers pour être vacataires dans le cadre de plus de 900 postulants à cette collaboration avec l'Université.
Toutefois les résultats du dépouillement des dossiers et de leur notation supervisés par une commission du staff pédagogique en présence de représentants des postulants n'ont pas été favorables à ce groupe dont la vacation n'a pas été admise. Mais au lieu d'accepter la réalité, comme des centaines de leurs collègues dont les dossiers étaient plus étoffés et qui étaient plus expérimentés, ils ont opté pour le désordre et tenté d'imposer leur volonté avec la force de manière qui va à l'encontre des règles élémentaires de la civilité exploitant le climat de liberté qu'offre l'Université pour porter atteinte à la sérénité du campus.
Le communiqué souligne que les individus concernés ont assailli les bureaux administratifs de l'Université et arrêté le travail en son sein en usant de hauts parleurs, en frappant les gardiens et en les traitant de tous les mots.
Et de relever que la demande de ce groupe, s'agissant de l'équivalence de leurs diplômes, n'est pas de la compétence de l'Université mais une prérogative de la commission nationale des équivalences.
Le communiqué a enfin réaffirmé le droit de l'Université de poursuivre ce groupe en justice pour le préjudice corporel et moral subi par l'Université et ses travailleurs, suite à cette agression.
Source : ANI
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