"Un autre round de combat avec les autorités qui continuent à se murer dans le négationnisme sera le cas de Said et son frère, (12 et 13 ans environs) que nous allons présenter à la brigade des mineurs… »
Ainsi a encore parlé Biram Ould Abeid au cours d’une conférence de Presse tenue dimanche 17 avril 2011 au siège de la Rencontre Citoyenne de Nouakchott.
Cheikh Brahim Ould Oudaa, président du bureau de l’IRA au Brakna, a présenté ce jeune enfant prénommé Said. « Le jeune Said a fui ses mitres qui l’ont mis avec les chameaux, battu et exposé à toutes sortes de sévices », a-t-il dit. Il y a deux nuits, à Lemden sa tante est venue avec lui pour se plaindre contre les maitres de Said basés à Boutilimit. »
Biram Ould Abeid a critiqué une émission de la TVM qui selon lui était une émission en vue de disculper des esclavagistes incarcérées et qui devaient être relaxées le lendemain.
« Ceux qui au cours de l’émission ont prétendu que nous commercialisons l’esclavage doivent savoir que ce sont eux les premiers à avoir échangé le sort des victimes contre des intérêts. « A dit le président de l’IRA avec forces arguments ; allant jusqu’à charger le Prsident de la Commission Ntaionale des Droits de l’Homme Koita Bamariam et le Député Sidi Mohamed Ould Maham. Accusant le premier d’avoir profité de toutes les occasions pour se faire un poste tout en niant l’existence de l’esclavage avant de finir par aller jusqu’en Gambie soutenir que l’esclavage a bel et bienexisté sous Ould Taya. Et le second, d’être un député à la solde d’Ould Abdel Aziz qui a justifié toutes sortes de mauvaise pratiques.
Pa ailleurs à ceux qui « m’accusent de vouloir séparer les employeurs de leurs employés, je dis que personnellement j’ai une domestique que je paie mensuellement pour les travaux de la maison. Alors pourquoi devrais-je empêcher les boys et les bonnes de prêter leurs services. » A martelé Ould Abeid.
Biram Ould Abeid et des présidents d’ONG de droits humains avaient porté plainte contre des femmes présumées esclavagistes il y plusieurs semaines. Celles-ci ont été mises en détention avant de bénéficier d’un acquittement à la suit d’un procès. Les avocats de l’un de ces dames avaient organisé une conférence de presse pour justifier l’innocence de leurs clientes. Chose contre laquelle s’est élevé Biram pour qui cet « innocentement s’est terminé en beauté avec une émission télévisée montée d toute ^pièces pars les média public sous prétexte de débattre sur l’esclavage. » A-t-il dit, trouvant que le plateau était garni de laudateurs et de personnes envoyés par les dignitaires pour rejeter l’existence de l’esclavage.
Ould Abeid a en plus accusé les autorités d’envoyer des soi-disant ‘Biram dans des familles pour semer la zizanie afin de faire peur à ces familles.
Source: http://www.fr.essirage.net
Ainsi a encore parlé Biram Ould Abeid au cours d’une conférence de Presse tenue dimanche 17 avril 2011 au siège de la Rencontre Citoyenne de Nouakchott.
Cheikh Brahim Ould Oudaa, président du bureau de l’IRA au Brakna, a présenté ce jeune enfant prénommé Said. « Le jeune Said a fui ses mitres qui l’ont mis avec les chameaux, battu et exposé à toutes sortes de sévices », a-t-il dit. Il y a deux nuits, à Lemden sa tante est venue avec lui pour se plaindre contre les maitres de Said basés à Boutilimit. »
Biram Ould Abeid a critiqué une émission de la TVM qui selon lui était une émission en vue de disculper des esclavagistes incarcérées et qui devaient être relaxées le lendemain.
« Ceux qui au cours de l’émission ont prétendu que nous commercialisons l’esclavage doivent savoir que ce sont eux les premiers à avoir échangé le sort des victimes contre des intérêts. « A dit le président de l’IRA avec forces arguments ; allant jusqu’à charger le Prsident de la Commission Ntaionale des Droits de l’Homme Koita Bamariam et le Député Sidi Mohamed Ould Maham. Accusant le premier d’avoir profité de toutes les occasions pour se faire un poste tout en niant l’existence de l’esclavage avant de finir par aller jusqu’en Gambie soutenir que l’esclavage a bel et bienexisté sous Ould Taya. Et le second, d’être un député à la solde d’Ould Abdel Aziz qui a justifié toutes sortes de mauvaise pratiques.
Pa ailleurs à ceux qui « m’accusent de vouloir séparer les employeurs de leurs employés, je dis que personnellement j’ai une domestique que je paie mensuellement pour les travaux de la maison. Alors pourquoi devrais-je empêcher les boys et les bonnes de prêter leurs services. » A martelé Ould Abeid.
Biram Ould Abeid et des présidents d’ONG de droits humains avaient porté plainte contre des femmes présumées esclavagistes il y plusieurs semaines. Celles-ci ont été mises en détention avant de bénéficier d’un acquittement à la suit d’un procès. Les avocats de l’un de ces dames avaient organisé une conférence de presse pour justifier l’innocence de leurs clientes. Chose contre laquelle s’est élevé Biram pour qui cet « innocentement s’est terminé en beauté avec une émission télévisée montée d toute ^pièces pars les média public sous prétexte de débattre sur l’esclavage. » A-t-il dit, trouvant que le plateau était garni de laudateurs et de personnes envoyés par les dignitaires pour rejeter l’existence de l’esclavage.
Ould Abeid a en plus accusé les autorités d’envoyer des soi-disant ‘Biram dans des familles pour semer la zizanie afin de faire peur à ces familles.
Source: http://www.fr.essirage.net
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