« Si Maouya a semé 20 de gabegie, Ould Abdel Aziz, lui, a fait reculer le pays de 20 ans en arrière». Le constat est fait par la député de l’UFP, Khadiata Malick Diallo, qui soutient que Aziz et son gouvernement «constituent un fléau qui menace notre démocratie».
« La Mauritanie vit une réelle famine qui ne distingue pas les personnes du bétail. Une étude de la PAM révèle, d’ailleurs, que 700.000 mauritaniens sont en état d’insécurité alimentaire » a ajouté la député qui intervenait lors d’un meeting de l’UFP, tenu vendredi après- midi à Atar.
De son côté, Mohamed Moustapha Ould Bedrdine, un autre député de l’UFP, a dressé un bilan sombre du pays, demandant à plus de méfiance du gouvernement de Ould Abdel Aziz dont «la parole s’oppose à l’acte», estime-t-il.
«Ce n’est pas seulement Adrar qui traverse des difficultés liées au tourisme dont les acteurs protestent, en vain, nuit et jour, et aux formations professionnelles dans les Mahdras (écoles coraniques). Tous les coins et recoins de la Mauritanie éprouvent des difficultés»
Et Ould Bedrdine d’enfoncer le clou : « La lutte contre la gabegie n’est enfin qu’un slogan que brandit le gouvernement. Ould Abdel Aziz a parlé de la construction d’une grande prison réservée au gabégistes. Mais qui y accroupissent finalement : Ould Dadde et Ould Arbi, accusés, à tort, de vol de deniers publics.
En réalité, ces deux font les frais de l’oppression et du clientélisme que prône le régime. Ce, à l’heure où Ould Abdel Aziz effectue de gros transferts d’argent du pays à son compte personnel, sur d’autres noms"conclut Ould Berdredine.
« La Mauritanie vit une réelle famine qui ne distingue pas les personnes du bétail. Une étude de la PAM révèle, d’ailleurs, que 700.000 mauritaniens sont en état d’insécurité alimentaire » a ajouté la député qui intervenait lors d’un meeting de l’UFP, tenu vendredi après- midi à Atar.
De son côté, Mohamed Moustapha Ould Bedrdine, un autre député de l’UFP, a dressé un bilan sombre du pays, demandant à plus de méfiance du gouvernement de Ould Abdel Aziz dont «la parole s’oppose à l’acte», estime-t-il.
«Ce n’est pas seulement Adrar qui traverse des difficultés liées au tourisme dont les acteurs protestent, en vain, nuit et jour, et aux formations professionnelles dans les Mahdras (écoles coraniques). Tous les coins et recoins de la Mauritanie éprouvent des difficultés»
Et Ould Bedrdine d’enfoncer le clou : « La lutte contre la gabegie n’est enfin qu’un slogan que brandit le gouvernement. Ould Abdel Aziz a parlé de la construction d’une grande prison réservée au gabégistes. Mais qui y accroupissent finalement : Ould Dadde et Ould Arbi, accusés, à tort, de vol de deniers publics.
En réalité, ces deux font les frais de l’oppression et du clientélisme que prône le régime. Ce, à l’heure où Ould Abdel Aziz effectue de gros transferts d’argent du pays à son compte personnel, sur d’autres noms"conclut Ould Berdredine.
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