Plusieurs organisations de défense des droits de l’homme, dont des Ong mobilisées dans le règlement du passif humanitaire et du devoir de mémoire envers les disparus des années de braise, ont livré collectivement ou de manière séparée leurs opinions sur la décision prise par les autorités de procéder à l’indemnisation des militaires disparus dans des conditions non élucidées depuis l’indépendance.Une démarche que le Covire vient de saluer de vive voie, estimant qu’elle s’inscrit dans un long processus qui évolue dans la bonne direction.
Réagissant à la récente décision des autorités relatives au règlement du dossier du Passif humanitaire des personnels des Forces Armées Nationales, en vue du marquage des sépultures non identifiées des victimes des différents régimes politiques depuis l’indépendance, le Collectif des Victimes de la Répression (Covire) estime qu’il s’agit d’une nouvelle phase qui emboîte le pas à celle prise quelques jours auparavant par le Ministre des affaires islamiques, sur instruction du Président de la République, félicitant à cette occasion Mohamed Ould Abdel Aziz pour « ces mesures courageuses dans l’œuvre de consolidation de l’unité nationale, d’instauration de la paix sociale et de la restauration de la confiance entre tous les segments de la population, indispensable pour un développement socio-économique harmonieux et durable » indique le comité. Par ailleurs, cette association dit rappeler sa disponibilité sans faille d’accompagner le Président de la République et son gouvernement pour la réussite de son programme « pour éradiquer toutes les formes d’injustice et d’inégalités qui ont fragilisé la construction d’un Etat moderne , et ce dans le respect des diversités culturelles, la tolérance , et le respect de la dignité de l’homme qui constitue le centre de tout projet de développement », réaffirment aussi « son souci, et sa demande constante d’être impliqué dans toutes les phases de règlement du passif humanitaire en adéquation avec sa contribution pour un règlement concerté et consensuel prenant en compte les droits imprescriptibles des victimes ». Le Covire conclut en encourageant le Président de la République « à poursuivre son œuvre salutaire de vider tous les différends causés par les régimes précédents, par un dialogue inclusif avec toutes les parties concernées ». (avec covire_com)
Source: Renovateur
Réagissant à la récente décision des autorités relatives au règlement du dossier du Passif humanitaire des personnels des Forces Armées Nationales, en vue du marquage des sépultures non identifiées des victimes des différents régimes politiques depuis l’indépendance, le Collectif des Victimes de la Répression (Covire) estime qu’il s’agit d’une nouvelle phase qui emboîte le pas à celle prise quelques jours auparavant par le Ministre des affaires islamiques, sur instruction du Président de la République, félicitant à cette occasion Mohamed Ould Abdel Aziz pour « ces mesures courageuses dans l’œuvre de consolidation de l’unité nationale, d’instauration de la paix sociale et de la restauration de la confiance entre tous les segments de la population, indispensable pour un développement socio-économique harmonieux et durable » indique le comité. Par ailleurs, cette association dit rappeler sa disponibilité sans faille d’accompagner le Président de la République et son gouvernement pour la réussite de son programme « pour éradiquer toutes les formes d’injustice et d’inégalités qui ont fragilisé la construction d’un Etat moderne , et ce dans le respect des diversités culturelles, la tolérance , et le respect de la dignité de l’homme qui constitue le centre de tout projet de développement », réaffirment aussi « son souci, et sa demande constante d’être impliqué dans toutes les phases de règlement du passif humanitaire en adéquation avec sa contribution pour un règlement concerté et consensuel prenant en compte les droits imprescriptibles des victimes ». Le Covire conclut en encourageant le Président de la République « à poursuivre son œuvre salutaire de vider tous les différends causés par les régimes précédents, par un dialogue inclusif avec toutes les parties concernées ». (avec covire_com)
Source: Renovateur
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