Décidément, les leaders du Mouvement TPNM (Touche pas à ma nationalité) ne passent plus par quatre chemins pour dénoncer ce qu'ils appellent la "mauvaise foi" des autorités publiques depuis un certain temps.Dans un communiqué paru, hier, ils ne sont pas passés quatre chemins pour qualifier l'incarcération d'Abbas Kane d'"arbitraire".Si l'on en croit les informations données par les leaders de cette structure revendicative, Abbas Kane était venu accompagner à son père au Centre d'accueil de Kaédi, qui voudrait s'enrôler.
C'est ainsi donc qu'il y a eu une vive altercation verbale entre le jeune homme et le chef du centre. En effet, les éléments de la police, qui étaient pas loin des lieux, n'ont pas mis du temps pour intervenir en arrêtant Abbas Kane. Ensuite, ils l'ont manu militari conduit dans leurs locaux pour l'emprisonner sans même que les éléments de la police prennent la peine d'écouler sa version des faits. Comme en atteste le contenu du communiqué : "suite à une altercation avec le chef du centre d'accueil des citoyens de Kaédi, M. Abbas Kane, qui accompagnait son père venu s'enrôler, s'est retrouvé injustement emprisonné sans même sans même que la police et encore moins la justice n'aient pris la peine d'écouter sa version des faits. Cela en raison de la règle tacite qui dit que le noir a toujours tort". Pis, ils ont laissé entendre que l'emprisonnement d'Abbas Kane montre d'une manière évidente que la justice mauritanienne est inféodée à un pouvoir exécutif "raciste", qui est au service d'une seule et unique communauté.
Les cas de figures sont légions
En effet, les responsables du Mouvement TPMN ont énuméré d'autres cas de figures dont souffre leur communauté en disant que l'arrestation d'Abbas Kane vient s'ajouter à bien d'autres pour signifier que les vexations et les humiliations à l'égard "des noirs continuent de plus belle à la faveur de l'enrôlement. Car, les autorités, ayant la mauvaise foi, ont décidé à exclure les noirs". Chose que les jeunes leaders de TPMN sont en train de s'opposer.
Camara Mamady
C'est ainsi donc qu'il y a eu une vive altercation verbale entre le jeune homme et le chef du centre. En effet, les éléments de la police, qui étaient pas loin des lieux, n'ont pas mis du temps pour intervenir en arrêtant Abbas Kane. Ensuite, ils l'ont manu militari conduit dans leurs locaux pour l'emprisonner sans même que les éléments de la police prennent la peine d'écouler sa version des faits. Comme en atteste le contenu du communiqué : "suite à une altercation avec le chef du centre d'accueil des citoyens de Kaédi, M. Abbas Kane, qui accompagnait son père venu s'enrôler, s'est retrouvé injustement emprisonné sans même sans même que la police et encore moins la justice n'aient pris la peine d'écouter sa version des faits. Cela en raison de la règle tacite qui dit que le noir a toujours tort". Pis, ils ont laissé entendre que l'emprisonnement d'Abbas Kane montre d'une manière évidente que la justice mauritanienne est inféodée à un pouvoir exécutif "raciste", qui est au service d'une seule et unique communauté.
Les cas de figures sont légions
En effet, les responsables du Mouvement TPMN ont énuméré d'autres cas de figures dont souffre leur communauté en disant que l'arrestation d'Abbas Kane vient s'ajouter à bien d'autres pour signifier que les vexations et les humiliations à l'égard "des noirs continuent de plus belle à la faveur de l'enrôlement. Car, les autorités, ayant la mauvaise foi, ont décidé à exclure les noirs". Chose que les jeunes leaders de TPMN sont en train de s'opposer.
Camara Mamady
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