L'année qui commence intervient après une année 2010 qui s'est caractérisée par un ensemble de réalisations incontestables en matière d'infrastructures (bitumes, trottoirs, Eclairages publics, extension de la distribution électrique à Nouakchott, mais également dans le milieu semi-rural poussant un peu plus le taux de desserte vers un niveau plus ou moins acceptable.
La politique énergétique, naguère délaissée dans la stratégie de développement du pays jusqu'ici, vient de connaître un tournant décisif par la création d'une Agence Nationale du Développement de l'Energie Renouvelable qui sera fortement sollicitée pour apporter une valorisation efficiente de notre potentiel gigantesque en solaire, éolien et autres sources renouvelables.
Les résultats obtenus par des pays voisins qui ont réussi à relever de façon spectaculaire, le taux de desserte électrique en milieu rural dans un laps de temps très court nous encourage à accorder une attention particulière pour le démarrage des activités de cette institution en vue d'en tirer le meilleur profit le plus rapidement possible.
La Mauritanie a réussi au cours de l'année précédente à faire émerger le Méga projet d'Aftout Essahli pour assurer une sécurité d'alimentation de la capitale en eau potable à l'horizon 2020.
Mais ce grand effort en matière d'infrastructures financées en grande partie sur des ressources propres au cours de 2010 a contrasté avec celui déployé en 2009 pour soutenir la consommation des produits de première nécessité que les pauvres ont particulièrement apprécié de telle sorte qu'ils se sont installés durablement dans cette confortable position pourvu que ça dure !
Mais hélas, ça ne peut pas durer pour la simple raison que ce sont des politiques conjoncturelles. Les prix ,pour des raisons multiples ,ont repris leur hausse soutenue de plus belle depuis le deuxième trimestre 2010.
Cette situation ,quelque soit l'explication qui en sera faite ,recèlera des motifs de frustration qu'il faut savoir juguler bien avant que cela ne déborde dans une période de risque caractérisée par les nombreux choix authentiques et audacieux de politiques dont les effets positifs ne seront visibles qu’ à long ou moyen terme.
Est ce que nos éminents stratèges chargés de conduire notre politique économique sont suffisamment interconnectés pour nous éviter le pire..en conseillant, par exemple, une augmentation progressive des salaires des travailleurs dont la valeur du panier des produits de première nécessité se situerait à plus de 60 %.
En tous cas nous demandons une solution qui ne favorise pas une hémorragie liée à un différentiel de prix entre pays susceptible de favoriser une recrudescence de contre bande coûteuse pour notre économie réputée très fragile, extravertie et disposant d'un marché très restreint
source:cridem.org
La politique énergétique, naguère délaissée dans la stratégie de développement du pays jusqu'ici, vient de connaître un tournant décisif par la création d'une Agence Nationale du Développement de l'Energie Renouvelable qui sera fortement sollicitée pour apporter une valorisation efficiente de notre potentiel gigantesque en solaire, éolien et autres sources renouvelables.
Les résultats obtenus par des pays voisins qui ont réussi à relever de façon spectaculaire, le taux de desserte électrique en milieu rural dans un laps de temps très court nous encourage à accorder une attention particulière pour le démarrage des activités de cette institution en vue d'en tirer le meilleur profit le plus rapidement possible.
La Mauritanie a réussi au cours de l'année précédente à faire émerger le Méga projet d'Aftout Essahli pour assurer une sécurité d'alimentation de la capitale en eau potable à l'horizon 2020.
Mais ce grand effort en matière d'infrastructures financées en grande partie sur des ressources propres au cours de 2010 a contrasté avec celui déployé en 2009 pour soutenir la consommation des produits de première nécessité que les pauvres ont particulièrement apprécié de telle sorte qu'ils se sont installés durablement dans cette confortable position pourvu que ça dure !
Mais hélas, ça ne peut pas durer pour la simple raison que ce sont des politiques conjoncturelles. Les prix ,pour des raisons multiples ,ont repris leur hausse soutenue de plus belle depuis le deuxième trimestre 2010.
Cette situation ,quelque soit l'explication qui en sera faite ,recèlera des motifs de frustration qu'il faut savoir juguler bien avant que cela ne déborde dans une période de risque caractérisée par les nombreux choix authentiques et audacieux de politiques dont les effets positifs ne seront visibles qu’ à long ou moyen terme.
Est ce que nos éminents stratèges chargés de conduire notre politique économique sont suffisamment interconnectés pour nous éviter le pire..en conseillant, par exemple, une augmentation progressive des salaires des travailleurs dont la valeur du panier des produits de première nécessité se situerait à plus de 60 %.
En tous cas nous demandons une solution qui ne favorise pas une hémorragie liée à un différentiel de prix entre pays susceptible de favoriser une recrudescence de contre bande coûteuse pour notre économie réputée très fragile, extravertie et disposant d'un marché très restreint
source:cridem.org
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