Cela n’est rien,
cela a toujours été, et cela sera toujours sous le pouvoir d’un maure. Le recrutement d’un seul Noir sur 55 officiers, le recrutement de deux hommes de troupes parmi 72 hommes de troupe. Dans un pays à écrasante majorité noire, le système de quotas existe pour les Noirs dans l’administration ! Mais, nous l’avons dans un sens voulu à cause de nos querelles internes, des querelles entre organisations ou entre communauté, les uns sont des Harratine, les autres sont des peulhs, les autres sont des soninkés, incapable d’être ce que nous sommes : DES NOIRS DANS UN PAYS DE HAINE D’UN REGIME ARABOBERBERE !
Ne serait-ce qu’un seul Hartani qui ne serait pas satisfait, si ce Hartani est vraiment engagé pour abattre l’esclavage et l’apartheid, toute la construction noire pour la révolution noire en Mauritanie tombera en ruine. Ne serait-ce qu’un seul halpular ou Soninké ou peuhl, pareil. Evitons donc la désaffection de la cause de la part d’un Négro-mauritanien. Aziz général au pouvoir, comme Taya, et leur père Daddah père et fils, c’est du pareil au même, ils sont ce qu’ils sont et le resteront des bédanes conditionnés dans leur race et tribu et n’en bougeront pas d’un pouce, si nous ne leur en faisons bouger ! Je, ou plutôt nous, appelons les jeunes qu’ils prennent la flamme de la cause nègre en Mauritanie. Nous déclarons la fin du passé pour la révolution noire, aux fins de justice pour tous. Vous pouvez réfléchir sous tous les auspices, religieux plus particulièrement qui scotchent bien de nos militants et intellectuels et politiques. Hélas, nous sommes sous l’emprise de la peur ! Mais ce qui est légal est légal dans la mesure où l’ensemble le décide. Donc décidons-le ensemble.
A ce propos, nous pouvons rendre grâce à un des nôtres qui a milité, qui milite, et n’arrêtera jamais de militer pour une cohésion de l’ensemble des Nègres mauritaniens dans un seul sens, un frère de Bamako qui offre jusqu’à l’assistance psychologique des noirs détraqués et devenus fous à force de contradictions et de révolte contre l’humiliation permanente des Noirs en Mauritanie. C’est dire que les éléments sont là, existent à l’intérieur comme à l’extérieur de la réaction qui s’impose à nous tous.
cela a toujours été, et cela sera toujours sous le pouvoir d’un maure. Le recrutement d’un seul Noir sur 55 officiers, le recrutement de deux hommes de troupes parmi 72 hommes de troupe. Dans un pays à écrasante majorité noire, le système de quotas existe pour les Noirs dans l’administration ! Mais, nous l’avons dans un sens voulu à cause de nos querelles internes, des querelles entre organisations ou entre communauté, les uns sont des Harratine, les autres sont des peulhs, les autres sont des soninkés, incapable d’être ce que nous sommes : DES NOIRS DANS UN PAYS DE HAINE D’UN REGIME ARABOBERBERE !
Ne serait-ce qu’un seul Hartani qui ne serait pas satisfait, si ce Hartani est vraiment engagé pour abattre l’esclavage et l’apartheid, toute la construction noire pour la révolution noire en Mauritanie tombera en ruine. Ne serait-ce qu’un seul halpular ou Soninké ou peuhl, pareil. Evitons donc la désaffection de la cause de la part d’un Négro-mauritanien. Aziz général au pouvoir, comme Taya, et leur père Daddah père et fils, c’est du pareil au même, ils sont ce qu’ils sont et le resteront des bédanes conditionnés dans leur race et tribu et n’en bougeront pas d’un pouce, si nous ne leur en faisons bouger ! Je, ou plutôt nous, appelons les jeunes qu’ils prennent la flamme de la cause nègre en Mauritanie. Nous déclarons la fin du passé pour la révolution noire, aux fins de justice pour tous. Vous pouvez réfléchir sous tous les auspices, religieux plus particulièrement qui scotchent bien de nos militants et intellectuels et politiques. Hélas, nous sommes sous l’emprise de la peur ! Mais ce qui est légal est légal dans la mesure où l’ensemble le décide. Donc décidons-le ensemble.
A ce propos, nous pouvons rendre grâce à un des nôtres qui a milité, qui milite, et n’arrêtera jamais de militer pour une cohésion de l’ensemble des Nègres mauritaniens dans un seul sens, un frère de Bamako qui offre jusqu’à l’assistance psychologique des noirs détraqués et devenus fous à force de contradictions et de révolte contre l’humiliation permanente des Noirs en Mauritanie. C’est dire que les éléments sont là, existent à l’intérieur comme à l’extérieur de la réaction qui s’impose à nous tous.
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