...le favoritisme, le clientélisme, le népotisme et le clanisme ?
De mon lit de malade, je me force aujourd’hui à mettre fin au congé que j’avais pris de vous.
Même sans force et tant qu’il nous restera un mot, nous n’aurons jamais le droit de laisser ce dont nous aurions toujours le droit et le devoir. L’actualité de la semaine a été pour nous une dose fatale et même mortelle car composée d’intox, de propagande et d’oubli essentiel du vrai problème de la Mauritanie.
Par ce débat d’une portée symbolique, les détenteurs de notre souveraineté sautent du coq à l’âne en évitant de parler des maux de notre société. Et pourtant c’est le vécu quotidien des Mauritaniens. Chacun croise presque tous les jours le ségrégationnisme, le favoritisme, le clanisme, le népotisme et le tribalisme.
Combien d’hommes compétents servent aujourd’hui l’étranger ?
Combien d’incompétents sont à la solde de l’Etat ?
Pourquoi nos étudiants veulent à tout prix partir ?
Pourquoi le forcing politique ?
A quand les états généraux de l’éducation ?
Comment voulons-nous que demain soit ?
Pourquoi certains parlent encore d’esclavagisme ?
Pourquoi par la couleur ou la famille certaines portes s’ouvrent ou se ferment?
Pourquoi la pauvreté mine encore notre peuple ?
Pourquoi la composition extrémiste et favorite de nos administrations ?
Que devons-nous faire pour une Mauritanie Nouvelle ?
La nouvelle réforme de l’état civil ne conduit pas à une situation d’apatride ?
????????????????????????????????? De son lit d’hospitalisation, la Mauritanie nous invite à nous revoir et à discuter des vrais problèmes pour afin trouver de véritables solutions. Le temps est aux urgences car notre pays va très mal.
Cissé Housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseiller
Source : Cissé Housseynou Birama
De mon lit de malade, je me force aujourd’hui à mettre fin au congé que j’avais pris de vous.
Même sans force et tant qu’il nous restera un mot, nous n’aurons jamais le droit de laisser ce dont nous aurions toujours le droit et le devoir. L’actualité de la semaine a été pour nous une dose fatale et même mortelle car composée d’intox, de propagande et d’oubli essentiel du vrai problème de la Mauritanie.
Par ce débat d’une portée symbolique, les détenteurs de notre souveraineté sautent du coq à l’âne en évitant de parler des maux de notre société. Et pourtant c’est le vécu quotidien des Mauritaniens. Chacun croise presque tous les jours le ségrégationnisme, le favoritisme, le clanisme, le népotisme et le tribalisme.
Combien d’hommes compétents servent aujourd’hui l’étranger ?
Combien d’incompétents sont à la solde de l’Etat ?
Pourquoi nos étudiants veulent à tout prix partir ?
Pourquoi le forcing politique ?
A quand les états généraux de l’éducation ?
Comment voulons-nous que demain soit ?
Pourquoi certains parlent encore d’esclavagisme ?
Pourquoi par la couleur ou la famille certaines portes s’ouvrent ou se ferment?
Pourquoi la pauvreté mine encore notre peuple ?
Pourquoi la composition extrémiste et favorite de nos administrations ?
Que devons-nous faire pour une Mauritanie Nouvelle ?
La nouvelle réforme de l’état civil ne conduit pas à une situation d’apatride ?
????????????????????????????????? De son lit d’hospitalisation, la Mauritanie nous invite à nous revoir et à discuter des vrais problèmes pour afin trouver de véritables solutions. Le temps est aux urgences car notre pays va très mal.
Cissé Housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseiller
Source : Cissé Housseynou Birama
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