« Un oui n’a de sens que si l’on peut dire non ». Ainsi parlait M. El Houcein Dieng, Ex Secrétaire Général de l’IRA- Mauritanie. Un homme qui ne « mâche pas ses mots » et ose dire tout haut ce que les autres murmurent tout bas. Estiment certains de ses admirateurs.
Membre fondateur, il est le premier militant à dire non à Biram Dah Abeid en pleine assemblée avant de claquer la porte. Il ouvrait ainsi la voie à tous les autres qui décideront de dire non et de quitter le mouvement Ira.
Dans l’Entretien qu’il a accepté qu’il a accordé à l’Agence Tawary d’Information, le militant des droits de l’homme se prononce sur quelques grandes questions de l’heure.
Vous avez effectué deux visites marquées par une série de conférences de presse adoubée de marche de soutien aux acquis démocratiques et des droits de l'Homme aussi bien à Dakar qu'à Abidjan. Pouvez-vous nous faire l'économie de ces campagnes médiatiques, leurs raisons et objectifs?
Houcein Dieng: Vous me donnez l'occasion ici de transmettre au peuple mauritanien et à la communauté internationale mes vœux de bonne santé, de bonheur et de succès mais aussi et surtout des souhaits pour la fin des guerres et la réconciliation des esprits et des cœurs. Et que l'année 2017 soit meilleure.
En ce qui concerne votre question, les campagnes médiatiques orchestrées à l'extérieur du pays font partie des stratégies de communication, de rapprochement avec la diaspora et la communauté internationale qui semble méconnaitre les réalités des progrès en Mauritanie.
D’abord, il s'agit pour nous de mettre à niveau les ressortissants mauritaniens sur les acquis de la Mauritanie mais aussi sur les attentes et particulièrement en matière de droits humains et de la justice sociale. Ensuite, le mauritanien où il se trouve a besoin de suivre la marche de son pays. Le tissu ombilical qui le lie à sa nation doit être maintenu et protégé. Puis est important aussi de communiquer à l’extérieur. Enfin, il est aussi crucial de savoir que ces campagnes médiatiques ne sont dirigées contre aucune personne et encore moins contre des structures.
En plus, il est important de dire que nous comptons avec l'aide d’Allah de continuer à œuvrer pour une Mauritanie unie et égalitaire en mettant l'accent sur la nécessité de maintenir la stabilité et la sécurité. Nous avons des acquis qu'il faut jalousement garder grâce à nos forces armées et de sécurité sous la direction du président Mohamed Ould Abdel Aziz.
Votre départ de l'Ira a occasionné aujourd'hui plusieurs autres. Qu'est ce qui explique ces départs en cascade de cette initiative dont vous êtes le seul membre fondateur parmi tous ceux qui ont quitté?
Là, vous posez une question pertinente que d'ailleurs certaines organisations internationales partenaires à cette initiative se posent sans arriver à trouver la réponse. Autrement dit, qu'est ce qui ne va pas dans cette initiative qui était sensée être l'appropriation des ayants de droits de ce pays ?
C'est une association qui n'est pas démocratique car seule une personne fait et défait. Je parle sous le contrôle de ses dirigeants actuels avec qui j'ai flirté pour savoir qui est qui et qui peut faire quoi.
En dehors du climat non démocratique et mal saint ou chaque militant rouspète, la gestion du mouvement se fait avec les humeurs de son président qui prétend être le seul connaisseur.
L'improvisation est maitre mot sans oublier que c'est une structure qui développe un discours communautaire.
Au sein de cette initiative, vous avez un « ensemble rétréci » composé de son président et de quelques individus qui se partagent le gâteau au détriment des personnes qui sont souvent mobilisées et que vous voyez dans les rues.
Comment voulez vous exiger des autres, la démocratie et les droits de l'homme alors qu'au même moment vous outrepassez le minimum de ces notions.
Enfin, il y'a des questions qui ne trouveront jamais de réponse dans cette initiative qui diabolise son pays telles que: d’où viennent les fonds avec lesquels les éléments du comité de paix sont payés? Qui sont les partenaires officiels de cette initiative ? Sur quelle base est reçu celui qui se dit « président » au terme de ses tournées? Quelles sont les personnalités du monde, organisations et institutions qui se cachent derrière ces audiences que ce monsieur arrive à réaliser?
De quoi les pauvres populations surtout Haratines qui sont particulièrement dans les grandes agglomérations ont-ils bénéficié de l'Ira?
Et la grande question qui se pose est-ce Ira a une seule fois réalisée un projet en Mauritanie?
Pour conclure cette réponse, nous savons tous qu’Ira n'est qu’un tremplin politique pour certains individus.
Quant au tintamarre sur la collection des prix enregistrés au niveau international est-ce que cela a eu un impact sur la vie du mauritanien ou du haratin qu’on prétend défendre?
Que vous inspirent les invitations de l'Elysée, du gouvernement anglais et bien d'autres institutions non moins importantes à l'endroit du défenseur des droits de l'homme Biram Dah Abeid qui sont considérés comme des succès diplomatiques enregistrés par le mouvement Ira?
A savoir que toutes les audiences et rencontres accordées à ce monsieur qui dirige cette initiative sont minutieusement préparées par des hommes et des femmes qui cherchent à ternir l’image du pays.
Il y'a des manœuvres qui sont en train d'être commanditées pour soutenir un chaos dans le pays. Ce qui dit que ces alliances contre nature sont l'objet d'une concomitance entre des citoyens mauritaniens opposants au régime qui ont commencé à dévoiler leurs visages par des actes qu'ils posent un peu partout.
Ce qui se forme contre la Mauritanie est très dangereux et les propos tenus récemment par un parti politique marocain montrent la gravité de la situation. De ce fait, on peut dire que des multinationales travaillent même contre le gouvernement.
Toutes ces audiences entrent dans ce cadre pour déstabiliser un pouvoir démocratiquement élu et un peuple uni.
Quelle appréciation faites-vous de la situation des droits humains et de la lutte contre les séquelles de l’esclavage sur le terrain, en tant que militant avisé ?
Le rôle d'une organisation des droits de l'homme est de reconnaitre et d'encourager les pouvoirs publics quand ceux-ci affichent des réalisations d’ailleurs saluées un peu partout dans le monde mais aussi de tirer sur la sonnette d'alarme à chaque fois qu'un recul est observé en matière des libertés individuelles et collectives.
Nous vivons en Mauritanie une démocratie appréciable ou le droit à l'expression est garanti et aucun prisonnier politique ne figure dans le registre des prisons.
L'analyse objective voir satisfaisante et les conclusions combien encourageantes de la délégation de la commission Africaine des droits de l'homme et des peuples qui vient de séjourner dans le pays en disent long sur la situation des droits de l'homme.
Il y'a cependant un processus irréversible qui suivra son cours normal comme dans tous les pays pour créer le même niveau de droits de l'homme et de démocratie que les autres puissances dans le monde. La marche sera longue, mais elle portera ses fruits et ce sera dans l'intérêt supérieur de la nation.
Nous avons la chance d’avoir un Commissaire aux droits de l’homme et à l’action humanitaire, juriste de formation en l’occurrence M. Cheikh Tourad Ould Abdel Maleck qui a dix sept ans d’expérience et d’expertise en matière de droits humains qui se déploie corps et âme pour la promotion, la protection et la défense des droits humains depuis qu’il est à la tête du commissariat.
Les autorités du pays vont-elles vraiment dans le sens souhaité par le peuple, dans la mesure où elles font l’objet de critiques pas moins acerbes de la part de certaines organisations des droits de l’homme et de l’opposition dite radicale?
Il est nécessaire de comprendre que toutes les organisations internationales des droits de l'homme qui tirent sur la Mauritanie ne se sont jamais données la peine d'envisager de par leurs propres soins des enquêtes ou un travail de terrain en territoire mauritanien devant les permettre ou non d'épingler le pays. Ce sont des organisations qui se suffisent de déclarations fallacieuses et partisanes pour prendre position. La Mauritanie souhaiterait bien les accueillir sur son sol pour entreprendre avec elles tout ce qui est requis afin que leurs expériences et expertises soient complémentaires aux réalisations déjà acquises.
Ainsi, nous devons travailler pour soutenir un Etat de droit avec la réalisation d'institutions fortes et démocratiques pour choisir nos dirigeants pas sur la base de la couleur mais du patriotisme et des compétences. Les discours communautaires, véreux et racistes de tout bord ne seront entendus que par des oreilles distraites.
Votre organisation a reçu il y a quelques jours la visite d’une importante délégation de l’Ambassade des Etats Unis d’Amérique dans notre pays. Quels sont les secrets de cette rencontre ?
Cette visite entre dans le cadre d'une part de la demande d'audience que l'Initiative Mauritanienne des Droits de l'Homme avait adressé au Chef du département d'Etat Américain sortant et d’autres parts de la volonté des autorités de l’Ambassade de rencontrer les acteurs de la vie politique été de la société civile née de la vision de son Excellence Mr André Larry qui ne ménage aucun effort depuis son installation à parcourir tout le pays pour écouter tout le monde. A IMDH, nous saluons cette conception des choses. Néanmoins cette même demande sera réitérée pour le nouvel entrant.
Cette série de rencontres avec des dirigeants du monde est une stratégie de l'Initiative pour la mise à niveau mais aussi un besoin d'écoutes et de partages.
La rue mauritanienne réclame l’exécution de l’auteur de l’article blasphème. Votre commentaire là-dessus?
Il s'agit d'une demande populaire exprimée par des mauritaniennes et des mauritaniens dont le point de vue est à respecter.Il revient cependant à la justice de trancher.
Votre dernier mot
Au finish, je lance à toutes les composantes de la Mauritanie de s’unir davantage et de placer l’intérêt général au dessus de tout. En somme, nous devons avoir comme seul principe la Mauritanie d’abord.
Propos recueillis par A.SIDI
Source:http://tawary.com
Membre fondateur, il est le premier militant à dire non à Biram Dah Abeid en pleine assemblée avant de claquer la porte. Il ouvrait ainsi la voie à tous les autres qui décideront de dire non et de quitter le mouvement Ira.
Dans l’Entretien qu’il a accepté qu’il a accordé à l’Agence Tawary d’Information, le militant des droits de l’homme se prononce sur quelques grandes questions de l’heure.
Vous avez effectué deux visites marquées par une série de conférences de presse adoubée de marche de soutien aux acquis démocratiques et des droits de l'Homme aussi bien à Dakar qu'à Abidjan. Pouvez-vous nous faire l'économie de ces campagnes médiatiques, leurs raisons et objectifs?
Houcein Dieng: Vous me donnez l'occasion ici de transmettre au peuple mauritanien et à la communauté internationale mes vœux de bonne santé, de bonheur et de succès mais aussi et surtout des souhaits pour la fin des guerres et la réconciliation des esprits et des cœurs. Et que l'année 2017 soit meilleure.
En ce qui concerne votre question, les campagnes médiatiques orchestrées à l'extérieur du pays font partie des stratégies de communication, de rapprochement avec la diaspora et la communauté internationale qui semble méconnaitre les réalités des progrès en Mauritanie.
D’abord, il s'agit pour nous de mettre à niveau les ressortissants mauritaniens sur les acquis de la Mauritanie mais aussi sur les attentes et particulièrement en matière de droits humains et de la justice sociale. Ensuite, le mauritanien où il se trouve a besoin de suivre la marche de son pays. Le tissu ombilical qui le lie à sa nation doit être maintenu et protégé. Puis est important aussi de communiquer à l’extérieur. Enfin, il est aussi crucial de savoir que ces campagnes médiatiques ne sont dirigées contre aucune personne et encore moins contre des structures.
En plus, il est important de dire que nous comptons avec l'aide d’Allah de continuer à œuvrer pour une Mauritanie unie et égalitaire en mettant l'accent sur la nécessité de maintenir la stabilité et la sécurité. Nous avons des acquis qu'il faut jalousement garder grâce à nos forces armées et de sécurité sous la direction du président Mohamed Ould Abdel Aziz.
Votre départ de l'Ira a occasionné aujourd'hui plusieurs autres. Qu'est ce qui explique ces départs en cascade de cette initiative dont vous êtes le seul membre fondateur parmi tous ceux qui ont quitté?
Là, vous posez une question pertinente que d'ailleurs certaines organisations internationales partenaires à cette initiative se posent sans arriver à trouver la réponse. Autrement dit, qu'est ce qui ne va pas dans cette initiative qui était sensée être l'appropriation des ayants de droits de ce pays ?
C'est une association qui n'est pas démocratique car seule une personne fait et défait. Je parle sous le contrôle de ses dirigeants actuels avec qui j'ai flirté pour savoir qui est qui et qui peut faire quoi.
En dehors du climat non démocratique et mal saint ou chaque militant rouspète, la gestion du mouvement se fait avec les humeurs de son président qui prétend être le seul connaisseur.
L'improvisation est maitre mot sans oublier que c'est une structure qui développe un discours communautaire.
Au sein de cette initiative, vous avez un « ensemble rétréci » composé de son président et de quelques individus qui se partagent le gâteau au détriment des personnes qui sont souvent mobilisées et que vous voyez dans les rues.
Comment voulez vous exiger des autres, la démocratie et les droits de l'homme alors qu'au même moment vous outrepassez le minimum de ces notions.
Enfin, il y'a des questions qui ne trouveront jamais de réponse dans cette initiative qui diabolise son pays telles que: d’où viennent les fonds avec lesquels les éléments du comité de paix sont payés? Qui sont les partenaires officiels de cette initiative ? Sur quelle base est reçu celui qui se dit « président » au terme de ses tournées? Quelles sont les personnalités du monde, organisations et institutions qui se cachent derrière ces audiences que ce monsieur arrive à réaliser?
De quoi les pauvres populations surtout Haratines qui sont particulièrement dans les grandes agglomérations ont-ils bénéficié de l'Ira?
Et la grande question qui se pose est-ce Ira a une seule fois réalisée un projet en Mauritanie?
Pour conclure cette réponse, nous savons tous qu’Ira n'est qu’un tremplin politique pour certains individus.
Quant au tintamarre sur la collection des prix enregistrés au niveau international est-ce que cela a eu un impact sur la vie du mauritanien ou du haratin qu’on prétend défendre?
Que vous inspirent les invitations de l'Elysée, du gouvernement anglais et bien d'autres institutions non moins importantes à l'endroit du défenseur des droits de l'homme Biram Dah Abeid qui sont considérés comme des succès diplomatiques enregistrés par le mouvement Ira?
A savoir que toutes les audiences et rencontres accordées à ce monsieur qui dirige cette initiative sont minutieusement préparées par des hommes et des femmes qui cherchent à ternir l’image du pays.
Il y'a des manœuvres qui sont en train d'être commanditées pour soutenir un chaos dans le pays. Ce qui dit que ces alliances contre nature sont l'objet d'une concomitance entre des citoyens mauritaniens opposants au régime qui ont commencé à dévoiler leurs visages par des actes qu'ils posent un peu partout.
Ce qui se forme contre la Mauritanie est très dangereux et les propos tenus récemment par un parti politique marocain montrent la gravité de la situation. De ce fait, on peut dire que des multinationales travaillent même contre le gouvernement.
Toutes ces audiences entrent dans ce cadre pour déstabiliser un pouvoir démocratiquement élu et un peuple uni.
Quelle appréciation faites-vous de la situation des droits humains et de la lutte contre les séquelles de l’esclavage sur le terrain, en tant que militant avisé ?
Le rôle d'une organisation des droits de l'homme est de reconnaitre et d'encourager les pouvoirs publics quand ceux-ci affichent des réalisations d’ailleurs saluées un peu partout dans le monde mais aussi de tirer sur la sonnette d'alarme à chaque fois qu'un recul est observé en matière des libertés individuelles et collectives.
Nous vivons en Mauritanie une démocratie appréciable ou le droit à l'expression est garanti et aucun prisonnier politique ne figure dans le registre des prisons.
L'analyse objective voir satisfaisante et les conclusions combien encourageantes de la délégation de la commission Africaine des droits de l'homme et des peuples qui vient de séjourner dans le pays en disent long sur la situation des droits de l'homme.
Il y'a cependant un processus irréversible qui suivra son cours normal comme dans tous les pays pour créer le même niveau de droits de l'homme et de démocratie que les autres puissances dans le monde. La marche sera longue, mais elle portera ses fruits et ce sera dans l'intérêt supérieur de la nation.
Nous avons la chance d’avoir un Commissaire aux droits de l’homme et à l’action humanitaire, juriste de formation en l’occurrence M. Cheikh Tourad Ould Abdel Maleck qui a dix sept ans d’expérience et d’expertise en matière de droits humains qui se déploie corps et âme pour la promotion, la protection et la défense des droits humains depuis qu’il est à la tête du commissariat.
Les autorités du pays vont-elles vraiment dans le sens souhaité par le peuple, dans la mesure où elles font l’objet de critiques pas moins acerbes de la part de certaines organisations des droits de l’homme et de l’opposition dite radicale?
Il est nécessaire de comprendre que toutes les organisations internationales des droits de l'homme qui tirent sur la Mauritanie ne se sont jamais données la peine d'envisager de par leurs propres soins des enquêtes ou un travail de terrain en territoire mauritanien devant les permettre ou non d'épingler le pays. Ce sont des organisations qui se suffisent de déclarations fallacieuses et partisanes pour prendre position. La Mauritanie souhaiterait bien les accueillir sur son sol pour entreprendre avec elles tout ce qui est requis afin que leurs expériences et expertises soient complémentaires aux réalisations déjà acquises.
Ainsi, nous devons travailler pour soutenir un Etat de droit avec la réalisation d'institutions fortes et démocratiques pour choisir nos dirigeants pas sur la base de la couleur mais du patriotisme et des compétences. Les discours communautaires, véreux et racistes de tout bord ne seront entendus que par des oreilles distraites.
Votre organisation a reçu il y a quelques jours la visite d’une importante délégation de l’Ambassade des Etats Unis d’Amérique dans notre pays. Quels sont les secrets de cette rencontre ?
Cette visite entre dans le cadre d'une part de la demande d'audience que l'Initiative Mauritanienne des Droits de l'Homme avait adressé au Chef du département d'Etat Américain sortant et d’autres parts de la volonté des autorités de l’Ambassade de rencontrer les acteurs de la vie politique été de la société civile née de la vision de son Excellence Mr André Larry qui ne ménage aucun effort depuis son installation à parcourir tout le pays pour écouter tout le monde. A IMDH, nous saluons cette conception des choses. Néanmoins cette même demande sera réitérée pour le nouvel entrant.
Cette série de rencontres avec des dirigeants du monde est une stratégie de l'Initiative pour la mise à niveau mais aussi un besoin d'écoutes et de partages.
La rue mauritanienne réclame l’exécution de l’auteur de l’article blasphème. Votre commentaire là-dessus?
Il s'agit d'une demande populaire exprimée par des mauritaniennes et des mauritaniens dont le point de vue est à respecter.Il revient cependant à la justice de trancher.
Votre dernier mot
Au finish, je lance à toutes les composantes de la Mauritanie de s’unir davantage et de placer l’intérêt général au dessus de tout. En somme, nous devons avoir comme seul principe la Mauritanie d’abord.
Propos recueillis par A.SIDI
Source:http://tawary.com