Alger abritera le 16 mars prochain une rencontre des ministres des affaires étrangères des pays de l’espace Sahélo-saharien concernés par la lutte contre le terrorisme.
Ce sera l’occasion pour la Mauritanie, l’Algérie et le Mali de remettre leurs pendules à l’heure après les divergences nées de la libération unilatérale par le Mali de détenus salafistes réclamés par les justices de ses voisins.
Pour protester contre cet acte jugé inamical, la Mauritanie et l’Algérie avaient rappelé leurs ambassadeurs accrédités au Mali. Depuis, plus de contacts avec le pays d’Amadou Toumani Touré.
Toutefois, la semaine dernière, Moctar Ouane, le ministre malien des Affaires étrangères qui s’exprimait devant un parterre de diplomates en poste à Bamako déclarait : "Le gouvernement du Mali demeure profondément attaché aux relations séculaires de fraternité, d’amitié et de bon voisinage, en particulier avec la République algérienne démocratique et populaire et la République Islamique de Mauritanie"
Une perche que, visiblement, le Premier ministre mauritanien a saisie pour dire au cours d’une conférence de presse organisée jeudi dernier que « le Mali a fait un geste inamical en libérant, une seconde fois, un mauritanien présumé terroriste. Ce n’est pas bon ni pour notre sécurité, ni celle du Mali. Nous avons exprimé notre insatisfaction. On s’en tient là. Pour le reste, le Mali est un pays frère».
Voilà des propos de nature à dissiper les nuages qui ont failli assombrir le ciel des relations entre des pays condamnés par la force des choses à coopérer pour relever des défis majeurs de sécurité.
Source : ainrim.
Ce sera l’occasion pour la Mauritanie, l’Algérie et le Mali de remettre leurs pendules à l’heure après les divergences nées de la libération unilatérale par le Mali de détenus salafistes réclamés par les justices de ses voisins.
Pour protester contre cet acte jugé inamical, la Mauritanie et l’Algérie avaient rappelé leurs ambassadeurs accrédités au Mali. Depuis, plus de contacts avec le pays d’Amadou Toumani Touré.
Toutefois, la semaine dernière, Moctar Ouane, le ministre malien des Affaires étrangères qui s’exprimait devant un parterre de diplomates en poste à Bamako déclarait : "Le gouvernement du Mali demeure profondément attaché aux relations séculaires de fraternité, d’amitié et de bon voisinage, en particulier avec la République algérienne démocratique et populaire et la République Islamique de Mauritanie"
Une perche que, visiblement, le Premier ministre mauritanien a saisie pour dire au cours d’une conférence de presse organisée jeudi dernier que « le Mali a fait un geste inamical en libérant, une seconde fois, un mauritanien présumé terroriste. Ce n’est pas bon ni pour notre sécurité, ni celle du Mali. Nous avons exprimé notre insatisfaction. On s’en tient là. Pour le reste, le Mali est un pays frère».
Voilà des propos de nature à dissiper les nuages qui ont failli assombrir le ciel des relations entre des pays condamnés par la force des choses à coopérer pour relever des défis majeurs de sécurité.
Source : ainrim.
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