Monsieur Le représentant du Commissariat aux Droits de l’homme
Mr Le Président de la communauté urbaine de Nouakchott
Mr le représentant de l’Union Européenne
Mmes/Mrs les Parlementaires et élus locaux
Honorables personnalités religieuses
Mmes/Mrs les experts
Chers acteurs (trices) de la société civile
Mesdames, messieurs
Honorables invités :
C’est pour moi un grand honneur, et à la fois un réel plaisir de vous compter parmi nous, à cette importante rencontre.
Je tiens ainsi à rappeler que nous sommes réunies ici pour débattre de la question du respect des droits humains en tant qu’enjeu essentiel dans la consolidation de l’unité nationale dans notre pays qui a été sérieusement écornée il y a quelques années.
Cette cérémonie vient couronner plusieurs activités entreprises depuis le mois d’août 2010 dans le cadre d’un projet réalisé en partenariat avec le Don Japonais, le Commissariat aux Droits de l’Homme et la Banque Mondiale visant à renforcer les capacités de la société civile pour mieux appuyer les populations les plus pauvres pour l’accès à la justice.
L’une des cibles essentielle du projet a été les ex-réfugiés au Sénégal de la localité de Dar es salam dans la moughataa de Boghé où un grand meeting culturel réunissant ex-réfugiés peuls et populations maures résidentes a été organisé visant à jeter les bases de nouvelles retrouvailles et à rappeler le socle sur lequel était bâtie l’unité séculaire de nos populations.
Une formation a été dispensée aux femmes des deux communautés autour des thèmes : droits humains et citoyenneté avec un accent particulier donné au Code de Statut Personnel permettant ainsi à ces dernières de mieux maitriser leurs droits dans la famille.
Le CSVVDHM a aussi tenu, pour mieux raffermir l’unité et la cohésion des femmes des deux communautés à mettre sur pied un microcrédit pour financer des petites activités génératrices de revenus entreprises en commun pour lutter contre la pauvreté au sein de cette couche.
La rencontre d’aujourd’hui qui a été précédée par l’organisation d’un atelier de formation au profit des élus locaux et de la société civile des moughataas de Sebkha , El Mina et Riyad la semaine dernière ne traduit que notre volonté de contribuer à travers des activités d’information, d’éducation et de communication (IEC) mais aussi d’appui et de conseils à l’ancrage d’une culture du respect du droit et de la justice seul gage d’un développement humain durable, ce qui explique le choix de la diversité des opinions qui se rencontrent ici.
Au nom du CSVVDH que je représente ici, je vous remercie d’avoir voulu honorer de votre présence, à cette importante activité et cela en dépit de vos nombreuses occupations. Votre présence témoigne de l’importance que vous accordez à l’ancrage d’une société juste et égalitaire, où les droits humains sont respectés et la culture citoyenne promue.
Le respect du droit et de la justice est le seul gage d’une société développée où règnent les principes d’égalité et d’équité. Ce qui demande que toutes les personnes soient informées et connaissent de leurs droits, car la première source de discrimination résulte de la méconnaissance de ses droits et devoirs, et en définitive la méconnaissance des mécanismes permettant de recouvrer ces droits.
Les éminents communicateurs que nous avions pressentis pour introduire et animer ce sujet notamment l’Administrateur, juriste et sociologue Isselmou Ould Abdel Kader et le Professeur émérite Birane Hamat Wane, vont, de par leur expérience et de leur connaissance de la sociologie mauritanienne, évoquer toutes les ressources que recèlent la société plurielle mauritanienne pour édifier un Etat de droit garantissant l’égalité de chances pour tous seule voie pour raffermir et consolider l’unité nationale.
Mmes, Mrs, chers invités.
Il est du devoir de chacun de nous ici présent ; administration centrale, élus locaux, parlementaires, personnalités religieuses, société civile de s’investir pour que les concepts du droit et de la justice soient de règle et une réalité dans nos comportements de tous les jours. Sachez que, sans notre bonne volonté, notre engagement et notre détermination, nous ne saurions arriver aux résultats escomptés.
Je ne saurai terminer sans adresser mes remerciements à nos partenaires le gouvernement du Japon, le Commissariat aux droits de l’homme, la Banque Mondiale pour le soutien apporté et qui a permis la tenue de cette rencontre d’une si grande portée.
Je vous remercie, et vous souhaite une agréable soirée
Source : Mamouny Ould Mocta rvia cridem.org
Mr Le Président de la communauté urbaine de Nouakchott
Mr le représentant de l’Union Européenne
Mmes/Mrs les Parlementaires et élus locaux
Honorables personnalités religieuses
Mmes/Mrs les experts
Chers acteurs (trices) de la société civile
Mesdames, messieurs
Honorables invités :
C’est pour moi un grand honneur, et à la fois un réel plaisir de vous compter parmi nous, à cette importante rencontre.
Je tiens ainsi à rappeler que nous sommes réunies ici pour débattre de la question du respect des droits humains en tant qu’enjeu essentiel dans la consolidation de l’unité nationale dans notre pays qui a été sérieusement écornée il y a quelques années.
Cette cérémonie vient couronner plusieurs activités entreprises depuis le mois d’août 2010 dans le cadre d’un projet réalisé en partenariat avec le Don Japonais, le Commissariat aux Droits de l’Homme et la Banque Mondiale visant à renforcer les capacités de la société civile pour mieux appuyer les populations les plus pauvres pour l’accès à la justice.
L’une des cibles essentielle du projet a été les ex-réfugiés au Sénégal de la localité de Dar es salam dans la moughataa de Boghé où un grand meeting culturel réunissant ex-réfugiés peuls et populations maures résidentes a été organisé visant à jeter les bases de nouvelles retrouvailles et à rappeler le socle sur lequel était bâtie l’unité séculaire de nos populations.
Une formation a été dispensée aux femmes des deux communautés autour des thèmes : droits humains et citoyenneté avec un accent particulier donné au Code de Statut Personnel permettant ainsi à ces dernières de mieux maitriser leurs droits dans la famille.
Le CSVVDHM a aussi tenu, pour mieux raffermir l’unité et la cohésion des femmes des deux communautés à mettre sur pied un microcrédit pour financer des petites activités génératrices de revenus entreprises en commun pour lutter contre la pauvreté au sein de cette couche.
La rencontre d’aujourd’hui qui a été précédée par l’organisation d’un atelier de formation au profit des élus locaux et de la société civile des moughataas de Sebkha , El Mina et Riyad la semaine dernière ne traduit que notre volonté de contribuer à travers des activités d’information, d’éducation et de communication (IEC) mais aussi d’appui et de conseils à l’ancrage d’une culture du respect du droit et de la justice seul gage d’un développement humain durable, ce qui explique le choix de la diversité des opinions qui se rencontrent ici.
Au nom du CSVVDH que je représente ici, je vous remercie d’avoir voulu honorer de votre présence, à cette importante activité et cela en dépit de vos nombreuses occupations. Votre présence témoigne de l’importance que vous accordez à l’ancrage d’une société juste et égalitaire, où les droits humains sont respectés et la culture citoyenne promue.
Le respect du droit et de la justice est le seul gage d’une société développée où règnent les principes d’égalité et d’équité. Ce qui demande que toutes les personnes soient informées et connaissent de leurs droits, car la première source de discrimination résulte de la méconnaissance de ses droits et devoirs, et en définitive la méconnaissance des mécanismes permettant de recouvrer ces droits.
Les éminents communicateurs que nous avions pressentis pour introduire et animer ce sujet notamment l’Administrateur, juriste et sociologue Isselmou Ould Abdel Kader et le Professeur émérite Birane Hamat Wane, vont, de par leur expérience et de leur connaissance de la sociologie mauritanienne, évoquer toutes les ressources que recèlent la société plurielle mauritanienne pour édifier un Etat de droit garantissant l’égalité de chances pour tous seule voie pour raffermir et consolider l’unité nationale.
Mmes, Mrs, chers invités.
Il est du devoir de chacun de nous ici présent ; administration centrale, élus locaux, parlementaires, personnalités religieuses, société civile de s’investir pour que les concepts du droit et de la justice soient de règle et une réalité dans nos comportements de tous les jours. Sachez que, sans notre bonne volonté, notre engagement et notre détermination, nous ne saurions arriver aux résultats escomptés.
Je ne saurai terminer sans adresser mes remerciements à nos partenaires le gouvernement du Japon, le Commissariat aux droits de l’homme, la Banque Mondiale pour le soutien apporté et qui a permis la tenue de cette rencontre d’une si grande portée.
Je vous remercie, et vous souhaite une agréable soirée
Source : Mamouny Ould Mocta rvia cridem.org
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