Le dialogue politique, qui s’est tenu du 17 septembre au 19 octobre 2011, "n’a peut-être pas eu la dimension que tout le monde lui souhaitait mais la pertinence de ses résultats ne peut être occultée" a déclaré l'AJD-MR.
Dans un communiqué parvenu à Alakhbar, le parti présidé par Ibrahima Sarr a regretté l'absence d’une partie importante de l’opposition, ce qui a ôté au dialogue "une plus grande pluralité de vues dans les échanges".
L’AJD-MR déplore, selon le communiqué, cependant que certains points qui avaient fait l’objet d’accord entre les deux parties au niveau des commissions thématiques et avalisés par la commission de supervision sous la direction des deux présidents, aient été occultés dans le rapport final.
Il s’agit, précise le parti, de faire figurer dans la constitution "l’identité de la Mauritanie par ses composantes nationales mentionnées expressément, d’y mentionner la promotion et le développement des langues nationales en vue de leur officialisation".
Il s’agit aussi de la reprise des activités de l’Institut des Langues Nationales qui a été une revendication unanime des participants, selon le parti qui constate "avec une réelle satisfaction que les thèmes évoqués (langues nationales) ont été cette fois-ci défendus avec vigueur par d’autres personnalités qui n’étaient pas des locuteurs de ces langues, ce qui dénote qu’il faut faire confiance à notre peuple et à ses élites qui peuvent faire preuve de dépassement".
L’AJD-MR recommande, enfin, "pour les intérêts supérieurs de la Mauritanie (…) l’application stricte du résultat de ce dialogue. Les deux parties doivent mettre en œuvre les mécanismes prévus pour l’exécution des points de convergence".
Dans un communiqué parvenu à Alakhbar, le parti présidé par Ibrahima Sarr a regretté l'absence d’une partie importante de l’opposition, ce qui a ôté au dialogue "une plus grande pluralité de vues dans les échanges".
L’AJD-MR déplore, selon le communiqué, cependant que certains points qui avaient fait l’objet d’accord entre les deux parties au niveau des commissions thématiques et avalisés par la commission de supervision sous la direction des deux présidents, aient été occultés dans le rapport final.
Il s’agit, précise le parti, de faire figurer dans la constitution "l’identité de la Mauritanie par ses composantes nationales mentionnées expressément, d’y mentionner la promotion et le développement des langues nationales en vue de leur officialisation".
Il s’agit aussi de la reprise des activités de l’Institut des Langues Nationales qui a été une revendication unanime des participants, selon le parti qui constate "avec une réelle satisfaction que les thèmes évoqués (langues nationales) ont été cette fois-ci défendus avec vigueur par d’autres personnalités qui n’étaient pas des locuteurs de ces langues, ce qui dénote qu’il faut faire confiance à notre peuple et à ses élites qui peuvent faire preuve de dépassement".
L’AJD-MR recommande, enfin, "pour les intérêts supérieurs de la Mauritanie (…) l’application stricte du résultat de ce dialogue. Les deux parties doivent mettre en œuvre les mécanismes prévus pour l’exécution des points de convergence".
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