Des représentants d’organisations de droits de l’homme dans les pays de l’Union du Maghreb arabe (Maroc, Mauritanie, Algérie, Tunisie, Libye) se sont retrouvés samedi à Nouakchott pour discuter les thèmes relatifs à ce sujet, a constaté APA à Nouakchott.
Sur initiative de la Coordination maghrébine des droits de l’homme, les participants se sont réunis dans le cadre d’un colloque sur « les droits économiques, culturels et sociaux au Maghreb arabe : réalité et perspectives ».
Prenant la parole à cette occasion, Mariem Mint Neini, militante dans l’ONG mauritanienne « SOS Esclaves », a indiqué que la Mauritanie « se distingue des autres pays maghrébins par l’existence de couches encore marginalisées comme les esclaves qui ne possèdent pas les moindres ressources leur permettant de se passer des maîtres ».
Elle a appelé à prendre en compte ce phénomène et à lui trouver une solution.
Mint Neini a également souligné « la faiblesse de l’infrastructure économique » des déportés mauritaniens vers le Sénégal qui ont regagné récemment la Mauritanie.
Selon elle, ce sont des citoyens qui doivent obtenir les moyens leur permettant de vivre dans leur pays après l’expulsion et l’injustice dont ils ont été victimes pendant plus d’une décennie.
Elle a par ailleurs appelé à la protection des journalistes, à la libération de ceux d’entre eux qui sont en prison et à l’arrêt des poursuites pour leurs écrits.
Source: APA défenseurs de droits de l’homme du Maghreb réunis à Nouakchott
Sur initiative de la Coordination maghrébine des droits de l’homme, les participants se sont réunis dans le cadre d’un colloque sur « les droits économiques, culturels et sociaux au Maghreb arabe : réalité et perspectives ».
Prenant la parole à cette occasion, Mariem Mint Neini, militante dans l’ONG mauritanienne « SOS Esclaves », a indiqué que la Mauritanie « se distingue des autres pays maghrébins par l’existence de couches encore marginalisées comme les esclaves qui ne possèdent pas les moindres ressources leur permettant de se passer des maîtres ».
Elle a appelé à prendre en compte ce phénomène et à lui trouver une solution.
Mint Neini a également souligné « la faiblesse de l’infrastructure économique » des déportés mauritaniens vers le Sénégal qui ont regagné récemment la Mauritanie.
Selon elle, ce sont des citoyens qui doivent obtenir les moyens leur permettant de vivre dans leur pays après l’expulsion et l’injustice dont ils ont été victimes pendant plus d’une décennie.
Elle a par ailleurs appelé à la protection des journalistes, à la libération de ceux d’entre eux qui sont en prison et à l’arrêt des poursuites pour leurs écrits.
Source: APA défenseurs de droits de l’homme du Maghreb réunis à Nouakchott
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