La dernière session extraordinaire de l’Assemblée nationale s’est caractérisée par un très fort absentéisme des députés. L’hémicycle était, trop fréquemment, désert. Parmi les rares présents, il y avait ceux qui téléphonaient, ceux qui sombraient, entre sommeil ou méditation ; d’autres effectuaient des va-et-vient, comme de petits écoliers dans une classe.
On se croyait, aussi, dans une salle de cinéma où l’on aurait projeté un film ennuyeux. Heureusement qu’il y a des députés qui font la fierté des populations qui les envoyés dans l’«Auguste Assemblée». Parmi eux, on peut citer le timonier Bedredine, Kadiata Malick Diallo, Mint Bilal, Ould Mini, Ould Moine etc. En écoutant ces élus débattre, on sent qu’ils ont entrepris d’importantes investigations, pour défendre ou critiquer les textes soumis à leur approbation.
Si les députés disposent, ailleurs, de cabinets d’experts, très rares, en Mauritanie, sont ceux qui disposent d’un bureau personnel.
Et, sans le concours de ces experts et avec l’absence de volonté ou de conscience, on arrive à ce désolant spectacle, avec des questions pas du tout au niveau, des hors-sujets, des félicitations aux membres du gouvernement, avec au bout du bout, des votes par acclamation.
Dommage pour la démocratie. Pourtant et dès lendemain de la clôture de la session, les abonnés-absents ont été les premiers à taper à la porte du trésorier, pour encaisser leurs «émoluments»…
Le c alame
On se croyait, aussi, dans une salle de cinéma où l’on aurait projeté un film ennuyeux. Heureusement qu’il y a des députés qui font la fierté des populations qui les envoyés dans l’«Auguste Assemblée». Parmi eux, on peut citer le timonier Bedredine, Kadiata Malick Diallo, Mint Bilal, Ould Mini, Ould Moine etc. En écoutant ces élus débattre, on sent qu’ils ont entrepris d’importantes investigations, pour défendre ou critiquer les textes soumis à leur approbation.
Si les députés disposent, ailleurs, de cabinets d’experts, très rares, en Mauritanie, sont ceux qui disposent d’un bureau personnel.
Et, sans le concours de ces experts et avec l’absence de volonté ou de conscience, on arrive à ce désolant spectacle, avec des questions pas du tout au niveau, des hors-sujets, des félicitations aux membres du gouvernement, avec au bout du bout, des votes par acclamation.
Dommage pour la démocratie. Pourtant et dès lendemain de la clôture de la session, les abonnés-absents ont été les premiers à taper à la porte du trésorier, pour encaisser leurs «émoluments»…
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