Le président du Parti de l’Alliance Démocratique (PAD), Mohamed Abdallahi Ould Taleb Ethmane, déplore « l’absence totale » de contrôle de l’Etat sur les flux migratoires, surtout pour le cas des ressortissants du Maghreb, « bénéficiaires de facilité indues », selon ses propres termes.
Le président du PAD observe avec inquiétude la gestion « laxiste » de nos frontières « ouvertes à tous les vents et devenues de véritables passoires ». Une brèche dans laquelle s’engouffre « une immigration sauvage en provenance des pays du Maghreb. Des individus qui arrivent, s’installent et exercent dans plusieurs d’activités au mépris de toutes les lois et réglementations, agissant comme dans un territoire conquis, avec une absence totale de l’Etat ». Pour illustrer cette triste réalité, Ould Taleb Ethmane cite la forte présence des ressortissants et sociétés de ces pays dans le secteur des transports aériens et celui des télécommunications.
Il dénonce également le monopole de la boucherie et de la distribution des produits alimentaires de manière générale.
Un constat en net décalage avec la réalité de la situation des mauritaniens dans ces différents pays. Nos compatriotes arrivant difficilement à obtenir le moindre permis de séjour. Un acte délivré chez nous contre « le paiement d’une modique somme de 25.000 UM ».
Quant à l’autorisation d’exercer une quelconque activité pour les mauritaniens chez nos ‘amis’’ maghrébins, «elle relève de l’impossible », soutient le président du PAD.
Pour toutes ces raisons, il exige de l’Etat des mesures concrètes en vue de mettre fin à une situation « anormale, une véritable pagaille ». Histoire pour les mauritaniens de ne pas continuer à vivre sous une colonisation éternelle.
En réaction à l’interview de Kane Hamidou Baba, parue la semaine dernière dans Le Calame, il considère que le président du MPR est mal placé pour juger Ahmed Ould Daddah qui a fait de lui ce qu’il est actuellement. ‘’Tout le monde a encore en mémoire les préparatifs pour la confection des listes du RFD pour les législatives de 2006, lorsqu’il a fait des pieds et des mains pour être en tête de liste nationale et être sûr de devenir député alors qu’il était pressenti pour Rosso. Comment peut-il ensuite dire du mal de celui à qui il est redevable de tout ?’’, s’est interrogé le président du PAD
Source: Calame
Le président du PAD observe avec inquiétude la gestion « laxiste » de nos frontières « ouvertes à tous les vents et devenues de véritables passoires ». Une brèche dans laquelle s’engouffre « une immigration sauvage en provenance des pays du Maghreb. Des individus qui arrivent, s’installent et exercent dans plusieurs d’activités au mépris de toutes les lois et réglementations, agissant comme dans un territoire conquis, avec une absence totale de l’Etat ». Pour illustrer cette triste réalité, Ould Taleb Ethmane cite la forte présence des ressortissants et sociétés de ces pays dans le secteur des transports aériens et celui des télécommunications.
Il dénonce également le monopole de la boucherie et de la distribution des produits alimentaires de manière générale.
Un constat en net décalage avec la réalité de la situation des mauritaniens dans ces différents pays. Nos compatriotes arrivant difficilement à obtenir le moindre permis de séjour. Un acte délivré chez nous contre « le paiement d’une modique somme de 25.000 UM ».
Quant à l’autorisation d’exercer une quelconque activité pour les mauritaniens chez nos ‘amis’’ maghrébins, «elle relève de l’impossible », soutient le président du PAD.
Pour toutes ces raisons, il exige de l’Etat des mesures concrètes en vue de mettre fin à une situation « anormale, une véritable pagaille ». Histoire pour les mauritaniens de ne pas continuer à vivre sous une colonisation éternelle.
En réaction à l’interview de Kane Hamidou Baba, parue la semaine dernière dans Le Calame, il considère que le président du MPR est mal placé pour juger Ahmed Ould Daddah qui a fait de lui ce qu’il est actuellement. ‘’Tout le monde a encore en mémoire les préparatifs pour la confection des listes du RFD pour les législatives de 2006, lorsqu’il a fait des pieds et des mains pour être en tête de liste nationale et être sûr de devenir député alors qu’il était pressenti pour Rosso. Comment peut-il ensuite dire du mal de celui à qui il est redevable de tout ?’’, s’est interrogé le président du PAD
Source: Calame
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