La Conférence des présidents du Sénat a décidé d’interroger le premier ministre Yahya Ould Hademine demain mercredi à 16 heures de l’aprés midi.
Le questionnaire sera posé par le sénateur de Tidjikja Moustapha Sidatt , soutenu par certains sénateurs de la majorité presidentielle . Il porte sur les raiosons de l’usage et l’encouragement par le gouvernement des velleités et rivalités tribales et régionales .
les membres du sénat disent que la récente visite du Premier ministre dans l’Est du pays a fait ressortir les discenssions internes entre population et renforcer les considérations tribales, sapant ainsi les fondements de l’Etat moderne grâce à la renaissance du « concept de la tribu » et menaçant gravement la paix civile en Mauritanie.
La primature n’a pas , jusqu’ici , annoncé si le premier ministre Yahya Ould Hademine participera ou boycottera la session.
Ceci , au moment où des accusations sont adresées au president de la republique et ses collaborateurs qui cherchent a perturber le fonctionnement des institutions parlementaires , bien que ce sont ces institutions qu’ils ont utilisées en 2005 pour justifier le renversement du président démocratiquement élu , Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi.
Source: http://adrar-info.net
Le questionnaire sera posé par le sénateur de Tidjikja Moustapha Sidatt , soutenu par certains sénateurs de la majorité presidentielle . Il porte sur les raiosons de l’usage et l’encouragement par le gouvernement des velleités et rivalités tribales et régionales .
les membres du sénat disent que la récente visite du Premier ministre dans l’Est du pays a fait ressortir les discenssions internes entre population et renforcer les considérations tribales, sapant ainsi les fondements de l’Etat moderne grâce à la renaissance du « concept de la tribu » et menaçant gravement la paix civile en Mauritanie.
La primature n’a pas , jusqu’ici , annoncé si le premier ministre Yahya Ould Hademine participera ou boycottera la session.
Ceci , au moment où des accusations sont adresées au president de la republique et ses collaborateurs qui cherchent a perturber le fonctionnement des institutions parlementaires , bien que ce sont ces institutions qu’ils ont utilisées en 2005 pour justifier le renversement du président démocratiquement élu , Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi.
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