Le président de l’IRA-Mauritanie, Biram Dah Abeid, a été arrêté ainsi qu’une trentaine de militants des droits de l’Homme, suite à la dénonciation d’un cas d’esclavage ignoble perpétré par une cadre de l’Etat mauritanien. Parmi les arrestations, on note :
- Balla Touré
- Ahmed Ould samba, membre de la HAPA et militant de l’APP a été arrêté
- Ould Samba, porte-parole de l’ancien président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, occupe actuellement la fonction de membre de la HAPA.
- Cherif (journaliste),
- Mariem Dieng,
- Mariem Fall
- Abeid Ould Imijin.
Le président Biram Dah Abeid serait sérieusement blessé à la tête et à la jambe. Sa santé fragile nécessite des soins alors que l’Etat le maintien en détention arbitraire et criminelle sans l’autorisation de suivi médical nécessaire au maintien de sa santé.
Le reproche le plus immédiat à leur encontre consiste en la dénonciation du cas d’esclavage perpétré par une mauresque (Arabo-berbère) sur deux mineures Harratin (esclaves de naissance ou par ascendance). La responsable de ce forfait, Mounimnine, cadre à la Banque Centrale de Mauritanie (BCM) n'a pas été inquiétée.
La justice esclavagiste et discriminatoire de la Mauritanie qui a aboli l’esclavage et criminalisé sa pratique attaque bestialement les militants anti-esclavagistes pendant que les esclavagistes maures notoires pavanent librement.
Toutefois le cas de ces deux jeunes esclaves rejoint les cas multiples d’esclavage indexés par les Abolitionnistes. Les Harratin subissent dans leur ensemble l’esclavage, et tous les Noirs sont victimes de l’apartheid.
L’Etat mauritanien reproche à l’IRA son projet général d’éradiquer les fléaux moyenâgeux que sont l’esclavage et l’apartheid. Le président Biram Dah Abeid a eu le courage, et l’Etat tient à lui faire payer le courage d’envisager : la déconstruction du système esclavagiste et discriminatoire taillé sur mesure au profit de la minorité de dix pour cent d’arabo berbères depuis l’indépendance. Avant celle-ci, les Noirs devenus esclaves étaient razziés et sont toujours maintenus dans l’horreur de l’esclavage. Combattre l’apartheid ici et maintenant est un crime aux yeux de l’Etat mauritanien et de la minorité maure.
L’esclavagiste mauresque Mounimnine qui était visée par les abolitionnistes, est l’un des multiples intéressés maures qui profitent du système esclavagiste, il s’agit de politiques, militaires, religieux, obscurantistes, cadres du clergé et de l’Etat !
L’IRA de France-Mauritanie lance un appel à la diaspora Négro-mauritanienne et à tous les fils de la Mauritanie épris de justice, ainsi qu’à la communauté internationale, à se joindre à leur condamnation de l’esclavagisme et l’apartheid d’Etat exercés en Mauritanie.
Toutes les bonnes volontés sont conviées à se mobilisées contre ces arrestations arbitraires qui risquent d’entraver le calme précaire de la Mauritanie.
Le président de l’IRA-FM
Fall Mauritanie
- Balla Touré
- Ahmed Ould samba, membre de la HAPA et militant de l’APP a été arrêté
- Ould Samba, porte-parole de l’ancien président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, occupe actuellement la fonction de membre de la HAPA.
- Cherif (journaliste),
- Mariem Dieng,
- Mariem Fall
- Abeid Ould Imijin.
Le président Biram Dah Abeid serait sérieusement blessé à la tête et à la jambe. Sa santé fragile nécessite des soins alors que l’Etat le maintien en détention arbitraire et criminelle sans l’autorisation de suivi médical nécessaire au maintien de sa santé.
Le reproche le plus immédiat à leur encontre consiste en la dénonciation du cas d’esclavage perpétré par une mauresque (Arabo-berbère) sur deux mineures Harratin (esclaves de naissance ou par ascendance). La responsable de ce forfait, Mounimnine, cadre à la Banque Centrale de Mauritanie (BCM) n'a pas été inquiétée.
La justice esclavagiste et discriminatoire de la Mauritanie qui a aboli l’esclavage et criminalisé sa pratique attaque bestialement les militants anti-esclavagistes pendant que les esclavagistes maures notoires pavanent librement.
Toutefois le cas de ces deux jeunes esclaves rejoint les cas multiples d’esclavage indexés par les Abolitionnistes. Les Harratin subissent dans leur ensemble l’esclavage, et tous les Noirs sont victimes de l’apartheid.
L’Etat mauritanien reproche à l’IRA son projet général d’éradiquer les fléaux moyenâgeux que sont l’esclavage et l’apartheid. Le président Biram Dah Abeid a eu le courage, et l’Etat tient à lui faire payer le courage d’envisager : la déconstruction du système esclavagiste et discriminatoire taillé sur mesure au profit de la minorité de dix pour cent d’arabo berbères depuis l’indépendance. Avant celle-ci, les Noirs devenus esclaves étaient razziés et sont toujours maintenus dans l’horreur de l’esclavage. Combattre l’apartheid ici et maintenant est un crime aux yeux de l’Etat mauritanien et de la minorité maure.
L’esclavagiste mauresque Mounimnine qui était visée par les abolitionnistes, est l’un des multiples intéressés maures qui profitent du système esclavagiste, il s’agit de politiques, militaires, religieux, obscurantistes, cadres du clergé et de l’Etat !
L’IRA de France-Mauritanie lance un appel à la diaspora Négro-mauritanienne et à tous les fils de la Mauritanie épris de justice, ainsi qu’à la communauté internationale, à se joindre à leur condamnation de l’esclavagisme et l’apartheid d’Etat exercés en Mauritanie.
Toutes les bonnes volontés sont conviées à se mobilisées contre ces arrestations arbitraires qui risquent d’entraver le calme précaire de la Mauritanie.
Le président de l’IRA-FM
Fall Mauritanie
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