
Le Parti républicain pour la démocratie et le renouveau (PRDR), au pouvoir en Mauritanie jusqu'au 3 août 2005, sous le nom de Parti républicain démocratique et social (PRDS), traverse actuellement une profonde crise, notent les observateurs.
Cette formation qui compte sept députés à l'Assemblée nationale (dont Qrini Ould Mohamed Vall qui dirige le parti), a soutenu activement la candidature de l'actuelle président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, à l'occasion de l'élection présidentielle du 18 juillet dernier. Cependant, dans le contexte politique post-présidentielle, le PRDR a été complètement oublié dans la composition du nouveau gouvernement.
Cette situation a créé de profondes frustrations parmi les responsables, cadres et militants. Certains dirigeants de la formation s'en rejettent la responsabilité, d'où les exclusions du président du Conseil national, Dahmoud Ould Merzough, et du Secrétaire général-adjoint, Bâ Sileye, pour avoir soutenu la candidature de l'ancien chef de l'Etat, Ely Ould Mohamed Vall, contre la ligne du parti.
En plus de ces exclusions de hauts responsables, la formation enregistre également la démission de Lalla Mint Hassena, députée, et d'autres défections pourraient suivre.
Toutefois, interrogé sur cette crise, Bâ Houdou Abdoul, haut responsable de la formation, a estimé que "la situation n'est pas aussi grave que certains l'affirment".
"Nous avons les moyens de dépasser ces petites querelles, qui peuvent arriver dans toutes les formations avec un réel fonctionnement du principe de démocratie interne", a-t-ajouté.
source: Taqadoumy
Cette formation qui compte sept députés à l'Assemblée nationale (dont Qrini Ould Mohamed Vall qui dirige le parti), a soutenu activement la candidature de l'actuelle président de la République, Mohamed Ould Abdel Aziz, à l'occasion de l'élection présidentielle du 18 juillet dernier. Cependant, dans le contexte politique post-présidentielle, le PRDR a été complètement oublié dans la composition du nouveau gouvernement.
Cette situation a créé de profondes frustrations parmi les responsables, cadres et militants. Certains dirigeants de la formation s'en rejettent la responsabilité, d'où les exclusions du président du Conseil national, Dahmoud Ould Merzough, et du Secrétaire général-adjoint, Bâ Sileye, pour avoir soutenu la candidature de l'ancien chef de l'Etat, Ely Ould Mohamed Vall, contre la ligne du parti.
En plus de ces exclusions de hauts responsables, la formation enregistre également la démission de Lalla Mint Hassena, députée, et d'autres défections pourraient suivre.
Toutefois, interrogé sur cette crise, Bâ Houdou Abdoul, haut responsable de la formation, a estimé que "la situation n'est pas aussi grave que certains l'affirment".
"Nous avons les moyens de dépasser ces petites querelles, qui peuvent arriver dans toutes les formations avec un réel fonctionnement du principe de démocratie interne", a-t-ajouté.
source: Taqadoumy