Le 30 juin 2024, le peuple mauritanien s'est rendu aux urnes pour élire son nouveau président. Selon les procès-verbaux et les résultats officiels, le candidat Biram Dah Abeid a remporté les élections avec un écart écrasant. Cependant, des allégations graves de fraude électorale pèsent sur la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), accusée d'avoir mis en place un logiciel pour manipuler les résultats et attribuer la victoire à Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, le président sortant.
Les résultats initiaux montrent une large victoire pour Biram Dah Abeid, un militant des droits de l'homme et leader charismatique. Cependant, la CENI aurait utilisé un logiciel pour inverser les résultats en faveur de Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, un candidat largement rejeté par la population mauritanienne.
La révélation de cette manipulation a déclenché une vague d'indignation à travers le pays. Biram Dah Abeid a fermement mis en garde la CENI et a appelé la France et l'Espagne à ne pas soutenir ce coup d'État électoral. Il a également exhorté Mohamed Ould Cheikh Ghazouani à reconnaître sa défaite et à quitter le pouvoir dignement pour éviter de plonger le pays dans une crise politique.
Biram Dah Abeid s'est exprimé publiquement pour dénoncer cette fraude et a demandé le soutien de la communauté internationale pour garantir que la volonté du peuple mauritanien soit respectée. Il a insisté sur l'importance de la transparence et de l'intégrité du processus électoral pour maintenir la stabilité et la paix en Mauritanie.
La situation en Mauritanie est à un tournant critique. Le peuple a clairement exprimé sa volonté de changement en élisant Biram Dah Abeid, mais les manœuvres de la CENI et de l'entourage de Mohamed Ould Cheikh Ghazouani menacent de voler cette victoire. La communauté internationale et les organismes de surveillance électorale sont appelés à intervenir pour garantir que la démocratie et la justice prévalent en Mauritanie.
Abou SARR
Les résultats initiaux montrent une large victoire pour Biram Dah Abeid, un militant des droits de l'homme et leader charismatique. Cependant, la CENI aurait utilisé un logiciel pour inverser les résultats en faveur de Mohamed Ould Cheikh Ghazouani, un candidat largement rejeté par la population mauritanienne.
La révélation de cette manipulation a déclenché une vague d'indignation à travers le pays. Biram Dah Abeid a fermement mis en garde la CENI et a appelé la France et l'Espagne à ne pas soutenir ce coup d'État électoral. Il a également exhorté Mohamed Ould Cheikh Ghazouani à reconnaître sa défaite et à quitter le pouvoir dignement pour éviter de plonger le pays dans une crise politique.
Biram Dah Abeid s'est exprimé publiquement pour dénoncer cette fraude et a demandé le soutien de la communauté internationale pour garantir que la volonté du peuple mauritanien soit respectée. Il a insisté sur l'importance de la transparence et de l'intégrité du processus électoral pour maintenir la stabilité et la paix en Mauritanie.
La situation en Mauritanie est à un tournant critique. Le peuple a clairement exprimé sa volonté de changement en élisant Biram Dah Abeid, mais les manœuvres de la CENI et de l'entourage de Mohamed Ould Cheikh Ghazouani menacent de voler cette victoire. La communauté internationale et les organismes de surveillance électorale sont appelés à intervenir pour garantir que la démocratie et la justice prévalent en Mauritanie.
Abou SARR