Selon le porte-parole du ministère de la Défense, le capitaine Léon Alla, des éléments armés se réclamant du groupe du lieutenant Yéo Doh, ayant participé à la campagne militaire pour mettre fin à la crise postélectorale, s’étaient rendus « coupables d`exactions » et de « nombreux actes de racket » sur les populations ont été arrêtés et incarcérés par les Frci.
« En réaction à l’arrestation de ses hommes, Yéo Doh constitue un groupe armé qui prend d’assaut la base navale de Locodjro où ceux-ci étaient détenus, en vue de les libérer », a-t-il expliqué, notant que la réaction des Frci ne s’est pas fait attendre.
A l`issue de « tirs nourris à l`arme de guerre » vendredi en fin de matinée, les combattants de Yéo Doh ont perdu un homme et enregistré un blessé grave, cinq personnes ont arrêtées dont Yéo Doh. Aucune perte n’est à déplorer coté forces républicaines, selon la même source.
La Côte d’Ivoire tente de retrouver la normalité après la crise post-électorale aigüe qui a secoué le pays cinq mois. Depuis la formation du gouvernement, le Premier ministre Guillaume Soro mène une croisade contre certains éléments des Frci responsables de pillages massifs, de racket et parfois de représailles contre de présumés partisans du président déchu Laurent Gbagbo, arrêté le 11 avril.
Afriscoop
« En réaction à l’arrestation de ses hommes, Yéo Doh constitue un groupe armé qui prend d’assaut la base navale de Locodjro où ceux-ci étaient détenus, en vue de les libérer », a-t-il expliqué, notant que la réaction des Frci ne s’est pas fait attendre.
A l`issue de « tirs nourris à l`arme de guerre » vendredi en fin de matinée, les combattants de Yéo Doh ont perdu un homme et enregistré un blessé grave, cinq personnes ont arrêtées dont Yéo Doh. Aucune perte n’est à déplorer coté forces républicaines, selon la même source.
La Côte d’Ivoire tente de retrouver la normalité après la crise post-électorale aigüe qui a secoué le pays cinq mois. Depuis la formation du gouvernement, le Premier ministre Guillaume Soro mène une croisade contre certains éléments des Frci responsables de pillages massifs, de racket et parfois de représailles contre de présumés partisans du président déchu Laurent Gbagbo, arrêté le 11 avril.
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