Le gouvernement de Laurent Gbagbo a annoncé jeudi le renvoi de Côte d'Ivoire des ambassadeurs britannique et canadien, première réplique à une communauté internationale qui reconnaît son rival Alassane Ouattara comme président légitime.
"Il est mis fin" aux accréditations des ambassadeurs britannique Nicholas James Westcott et canadienne Marie-Isabelle Massip, indique un communiqué lu dans la soirée par le porte-parole du gouvernement Ahoua Don Mello sur la télévision d'Etat RTI.
Ces décisions ont été prises "en application du principe de réciprocité régissant les relations diplomatiques", a-t-il expliqué.
La Grande-Bretagne et le Canada avaient retiré fin décembre 2010 les accréditations des ambassadeurs ivoiriens nommés par le président sortant Laurent Gbagbo et indiqué qu'ils reconnaîtraient les représentants nommés par M. Ouattara.
La communauté internationale, ONU et Union africaine en tête, reconnaît M. Ouattara comme le vainqueur de la présidentielle du 28 novembre, dont les résultats contestés ont plongé le pays dans une grave crise marquée par quelque 200 morts selon l'ONU.
"Il est mis fin" aux accréditations des ambassadeurs britannique Nicholas James Westcott et canadienne Marie-Isabelle Massip, indique un communiqué lu dans la soirée par le porte-parole du gouvernement Ahoua Don Mello sur la télévision d'Etat RTI.
Ces décisions ont été prises "en application du principe de réciprocité régissant les relations diplomatiques", a-t-il expliqué.
La Grande-Bretagne et le Canada avaient retiré fin décembre 2010 les accréditations des ambassadeurs ivoiriens nommés par le président sortant Laurent Gbagbo et indiqué qu'ils reconnaîtraient les représentants nommés par M. Ouattara.
La communauté internationale, ONU et Union africaine en tête, reconnaît M. Ouattara comme le vainqueur de la présidentielle du 28 novembre, dont les résultats contestés ont plongé le pays dans une grave crise marquée par quelque 200 morts selon l'ONU.
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