La Mauritanie vient de fêter son cinquantenaire d’indépendance à l’instar des 14 pays africains anciennement sous domination française.
Un demi siècle est passé, est le pays demeure toujours secoué par des crises politiques, culturelles et identitaires.
Il faut dire que les différents régimes politiques qui se sont succédés ont mal géré ces crises, ils les ont même accentuées pour certains d’entre eux.
Il ne s’agira pas ici, de faire une genèse de ce demi siècle vue l’ampleur des questions à traiter et surtout, quand il s’agit d’une nation dont la construction est faite sur des bases fragiles.
Les différents évènements qu’a connu notre pays, sont fruit d’une politique partiale et partisane centrée sur la négation, le rejet, l’assimilation de toute une communauté.
Ce refus de reconnaître l’autre, dans ses particularités et l’obstination de faire de lui ce qu’il n’est pas, a crée un fossé entre ces deux composantes de la société mauritaniennes condamnée comme on le dit souvent à vivre ensemble.
C’est pas dans mon intention de dresser un tableau sombre de notre pays, mais la réalité n’a pas besoin de se démonter elle s’impose.
Les politiques discriminatoires inaugurées par les différents systèmes, ont conduit le pays dans une spirale de violence d’injustice, qui se manifeste dans tous les rouages de l’administration.
Il est grand temps que les autorités en place prennent leurs responsabilités.
Le pouvoir en place doit impérativement tirer des enseignements des systèmes politiques précédents afin de pouvoir prendre des mesures concrètes et précises allant dans le sens de l’unité nationale et la consolidation de la démocratie dans notre pays..
Ces actes une fois posés et entrepris militerons a coup sur à l’affirmation de notre unité nationale
Les efforts timides menés pour le règlement du passif humanitaire sont insuffisant, car la stratégie suivie n’est pas la meilleure.
A mon sens on peut pas soigner une plaie sans au préalable, la nettoyer et la désinfecter.
Les politiques menées pour venir au bout de cette question sont décevantes et ne prenant pas en compte les questions d ‘ordre juridictionnelles dans tous ses aspects civils et pénales
Cependant, je porte un grand espoir au présidant Mohamed Ould Abdel Aziz, parcequ'il est animé d' une sincère volonté de bien faire.
Les efforts qui il mène contre la gabegie la corruption et les réalisations dans le domaine socioéconomique, ces mêmes efforts doivent être à juste tire fournis pour le résolution définitive du passif humanitaire et de la question de l’esclavage.
La volonté du président à lever tout obstacle sur les chances du dialogue politique, constitue un geste significatif pour la décrispation de la scène politique mauritanienne .
cette main tendue doit aussi associer toutes les forces démocratiques aussi bien en Mauritanie que celles basées à l’étranger.
Cette disposition au dialogue comme il l’a bien mentionné dans son discours à l’occasion de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance reste je cite « le meilleur moyen de préservation de sécurité, de la paix sociale, de garantie de progrès et la prospérité pour notre peuple.
Orléans, le 16 Déc 2010
Un demi siècle est passé, est le pays demeure toujours secoué par des crises politiques, culturelles et identitaires.
Il faut dire que les différents régimes politiques qui se sont succédés ont mal géré ces crises, ils les ont même accentuées pour certains d’entre eux.
Il ne s’agira pas ici, de faire une genèse de ce demi siècle vue l’ampleur des questions à traiter et surtout, quand il s’agit d’une nation dont la construction est faite sur des bases fragiles.
Les différents évènements qu’a connu notre pays, sont fruit d’une politique partiale et partisane centrée sur la négation, le rejet, l’assimilation de toute une communauté.
Ce refus de reconnaître l’autre, dans ses particularités et l’obstination de faire de lui ce qu’il n’est pas, a crée un fossé entre ces deux composantes de la société mauritaniennes condamnée comme on le dit souvent à vivre ensemble.
C’est pas dans mon intention de dresser un tableau sombre de notre pays, mais la réalité n’a pas besoin de se démonter elle s’impose.
Les politiques discriminatoires inaugurées par les différents systèmes, ont conduit le pays dans une spirale de violence d’injustice, qui se manifeste dans tous les rouages de l’administration.
Il est grand temps que les autorités en place prennent leurs responsabilités.
Le pouvoir en place doit impérativement tirer des enseignements des systèmes politiques précédents afin de pouvoir prendre des mesures concrètes et précises allant dans le sens de l’unité nationale et la consolidation de la démocratie dans notre pays..
Ces actes une fois posés et entrepris militerons a coup sur à l’affirmation de notre unité nationale
Les efforts timides menés pour le règlement du passif humanitaire sont insuffisant, car la stratégie suivie n’est pas la meilleure.
A mon sens on peut pas soigner une plaie sans au préalable, la nettoyer et la désinfecter.
Les politiques menées pour venir au bout de cette question sont décevantes et ne prenant pas en compte les questions d ‘ordre juridictionnelles dans tous ses aspects civils et pénales
Cependant, je porte un grand espoir au présidant Mohamed Ould Abdel Aziz, parcequ'il est animé d' une sincère volonté de bien faire.
Les efforts qui il mène contre la gabegie la corruption et les réalisations dans le domaine socioéconomique, ces mêmes efforts doivent être à juste tire fournis pour le résolution définitive du passif humanitaire et de la question de l’esclavage.
La volonté du président à lever tout obstacle sur les chances du dialogue politique, constitue un geste significatif pour la décrispation de la scène politique mauritanienne .
cette main tendue doit aussi associer toutes les forces démocratiques aussi bien en Mauritanie que celles basées à l’étranger.
Cette disposition au dialogue comme il l’a bien mentionné dans son discours à l’occasion de la célébration du cinquantenaire de l’indépendance reste je cite « le meilleur moyen de préservation de sécurité, de la paix sociale, de garantie de progrès et la prospérité pour notre peuple.
Orléans, le 16 Déc 2010
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