Les travaux du symposium international sur le réchauffement climatique de Nouakchott ont été clôturés jeudi soir au plais des congrès, après deux jours d’échanges et de travaux ayant abouti aux recommandations destinées aux négociateurs et au décideurs des pays du sud devant prendre part à la conférence des Nations Unies sur les changements climatiques du 7 au 18 décembre à Copenhague.
Les organisateurs de ce symposium, auquel ont pris part des journalistes environnementalistes venu d’Amérique Latine, d’Afrique et d’Asie, se sont adressés aux décideurs afin de leur donner « les outils nécessaires pour renforcer leur position face aux représentants des pays du nord », afin qu’ils puissent obtenir des engagements plus concrets de la part de ces pays industrialisés dans le sens de la réduction des émissions des gaz à effet de serre. Les négociateurs du sud, devront, selon les journalistes, réparer les manquements enregistrés chez ces pays, par rapport au protocole de Kyoto. Ils devront, également, amener les pays classés comme « grands pollueurs » à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre à des proportions importantes allant jusqu’à 40 %. Ils recommandent à ce que des pays, comme la Chine, les USA ou le Brésil prennent l’engagement de ratifier les grandes conventions relatives à la limitation des émissions de gaz à effet de serre.
Selon M. Matoumona Bonne Année, journaliste écologiste du Congo Brazzaville, membre du directoire de ce symposium, « l’idéal est que tus les pays prennent conscience du caractère vital et universel des enjeux environnementaux, pour que chacun puisse prendre les engagements nécessaires afin que le globe terrestre ne subisse pas l’impacte néfaste de l’émission des gaz à effet de serre ».
Source: ANI
Les organisateurs de ce symposium, auquel ont pris part des journalistes environnementalistes venu d’Amérique Latine, d’Afrique et d’Asie, se sont adressés aux décideurs afin de leur donner « les outils nécessaires pour renforcer leur position face aux représentants des pays du nord », afin qu’ils puissent obtenir des engagements plus concrets de la part de ces pays industrialisés dans le sens de la réduction des émissions des gaz à effet de serre. Les négociateurs du sud, devront, selon les journalistes, réparer les manquements enregistrés chez ces pays, par rapport au protocole de Kyoto. Ils devront, également, amener les pays classés comme « grands pollueurs » à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre à des proportions importantes allant jusqu’à 40 %. Ils recommandent à ce que des pays, comme la Chine, les USA ou le Brésil prennent l’engagement de ratifier les grandes conventions relatives à la limitation des émissions de gaz à effet de serre.
Selon M. Matoumona Bonne Année, journaliste écologiste du Congo Brazzaville, membre du directoire de ce symposium, « l’idéal est que tus les pays prennent conscience du caractère vital et universel des enjeux environnementaux, pour que chacun puisse prendre les engagements nécessaires afin que le globe terrestre ne subisse pas l’impacte néfaste de l’émission des gaz à effet de serre ».
Source: ANI
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