AOD, Messoud et tous les anciens peuvent dormir tranquilles, la relève est assurée. Un jeune homme incarne désormais l’opposition aussi nouvelle que le beaujolais ! Fraîche, marre d’être pressée et oppressée, cette opposition nouvelle ne craint rien ! Partout on ne parle que de lui. Cheikh Ould Jiddou sur 20minutes.fr, Cheikh Ould Jiddou sur la TSR, Cheikh Ould Jiddou sur France24, Cheikh Ould Jiddou à la une du prestigieux Calame.
Ce juriste de son état, brave consultant mais victime de l’acharnement à couper l’herbe sous les pieds ou à enlever la leugme de la bouche par un pouvoir sans pitié ! Cheikh Ould Jiddou parle comme il pense et pense comme un militant courageux qui n’a plus rien à perdre. De la place des blocs à la toute place des chocs, il mène sa bonne mine de bourgeois proche du peuple.
Le regard flottant, la voix forte mais sans excès, Cheikh Ould Jiddou gravit petit à petit les marches de la notoriété. Quand on le regarde attentivement et qu’on l’écoute, on se demande toujours ce qu’il ferait si Aziz le convoquait pour négocier ; là on se dit qu’un homme comme Cheikh Ould Jiddou est du genre à faire poireauter Aziz et lui dire « fi donc ! dégage wo khlass ! »
On souhaite bonne route et surtout bon vent à la nouvelle génération des militants. De même que c’est en forgeant qu’on devient forgeron, c’est en prenant des coups de matraque qu’on teste ses convictions. Puisse dieu le faire matraquer avec justesse sans dommage afin que le dur métier de militant en fasse un espoir qui plie mais ne rompt pas !
Une pensée aussi à tous ces jeunes qui ont fait un cortège à deux fourgons de police transportant leurs amis et ce avec force klaxon, c’est une vidéo surréaliste sous un régime militaire. Du jamais vu ! Une chose est sûre, c’est Ben Ali qui a permis aux tunisiens d’être des révolutionnaires quand Taya, lui, a détruit les mauritaniens et cultivé un système qui a corrompu leur âme et vidé leurs bourses.
Puisse Aziz à la fin de son règne voir face à lui un peuple debout et fier !
En attendant : circulez !
vlane
Ce juriste de son état, brave consultant mais victime de l’acharnement à couper l’herbe sous les pieds ou à enlever la leugme de la bouche par un pouvoir sans pitié ! Cheikh Ould Jiddou parle comme il pense et pense comme un militant courageux qui n’a plus rien à perdre. De la place des blocs à la toute place des chocs, il mène sa bonne mine de bourgeois proche du peuple.
Le regard flottant, la voix forte mais sans excès, Cheikh Ould Jiddou gravit petit à petit les marches de la notoriété. Quand on le regarde attentivement et qu’on l’écoute, on se demande toujours ce qu’il ferait si Aziz le convoquait pour négocier ; là on se dit qu’un homme comme Cheikh Ould Jiddou est du genre à faire poireauter Aziz et lui dire « fi donc ! dégage wo khlass ! »
On souhaite bonne route et surtout bon vent à la nouvelle génération des militants. De même que c’est en forgeant qu’on devient forgeron, c’est en prenant des coups de matraque qu’on teste ses convictions. Puisse dieu le faire matraquer avec justesse sans dommage afin que le dur métier de militant en fasse un espoir qui plie mais ne rompt pas !
Une pensée aussi à tous ces jeunes qui ont fait un cortège à deux fourgons de police transportant leurs amis et ce avec force klaxon, c’est une vidéo surréaliste sous un régime militaire. Du jamais vu ! Une chose est sûre, c’est Ben Ali qui a permis aux tunisiens d’être des révolutionnaires quand Taya, lui, a détruit les mauritaniens et cultivé un système qui a corrompu leur âme et vidé leurs bourses.
Puisse Aziz à la fin de son règne voir face à lui un peuple debout et fier !
En attendant : circulez !
vlane
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