Aziz dans l’embarras et son laghdaf en perte de vitesse.

Les courtisaneries, les flatteries, l’optimiste ou le jeu mesquin des intérêts ne peuvent changer la direction du veut. Le monde est régi par des lois inconnues, des règles complexes et une toute autre volonté que la notre. Mais la sagesse dans la réflexion, la prudence dans l’action et le pouvoir de l’anticipation auront toujours le mérite d’aider à faire face à tout événement.



Aziz dans l’embarras et son laghdaf en perte de vitesse.
Il n’existe pas d’événement malheureux ou chaotique mais juste des épreuves inévitables pour l’accomplissement d’autres. Rien ne relève du hasard. Rien. Les plus belles lignes de l’histoire resteront à jamais la volonté des peuples à accepter ce qu’ils sont ou leur détermination à devenir ce qu’ils veulent être.

Les courtisaneries, les flatteries, l’optimiste ou le jeu mesquin des intérêts ne peuvent changer la direction du veut. Le monde est régi par des lois inconnues, des règles complexes et une toute autre volonté que la notre. Mais la sagesse dans la réflexion, la prudence dans l’action et le pouvoir de l’anticipation auront toujours le mérite d’aider à faire face à tout événement.

Lorsque les paramètres d’un pouvoir se dérèglent ipso facto un nouveau jour profile à l’horizon. Le temps et le climat qu’il fera révèle du Ghayib (l’absent).



Mais le jour qui l’annonce se reconnait par un lot d’événements : Celui qui doit vous protéger vous agresse, celui qui doit vous parler vous écoute, celui qui doit vous entendre vous parle ou celui qui doit arbitrer joue. Alors, si cela vous il ne vous reste qu’une chose : combattre pour votre conviction.

Aujourd’hui, face aux événements actuels, peu importe qui à tort ou raison. Inutile de chercher les coupables car quoiqu’on dira ou prouvera l’Etat restera responsable. Cette démonstration nous laisse une seule question : comment un pouvoir peut agir de la sorte contre son propre peuple ?

La violence n’est pas un moyen mais un ultime recours. Le fait de n’avoir rien tenté pour régler et non étouffer les réclamations légitimes de votre peuple par la raison vous rend plus coupable et rapproche davantage de Khadafi, de Ben Ali et compagnons. Pourtant, Ce peuple ne demande rien d’autre que le pourquoi pour lequel vous occupez les manettes de notre Etat.

Alors messieurs reprenez-vous et regarder la Kaaba avant qu’il ne soit trop tard ou avant que le mal ne s’attaque au bébé que nous tentons de protéger à tout prix. Pour ceux qui vous disent vous êtes ou que vous pouvez, dites leur que seul Dieu est et peut. Cela vous aidera à faire ce que vous devez faire pour pouvoir faire ce que vous voulez faire.

Le pouvoir, le vouloir et l’avoir valent t-ils le savoir et le bien être de votre peuple ? L’histoire s’écrit au présent mais se raconte toujours au passé

Cisse Housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseiller
cisse_housseynou@yahoo.fr


Lundi 14 Mars 2011
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