En ce jour sacré qui symbolise l’obéissance du Prophète Ibrahim et le sens du sacrifice, en Mauritanie comme dans nombre de pays Musulmans, c’est un jour de fête et de solidarité, même si le partage n’est presque pas au rendez-vous.
Dans les familles et les rues, la joie est très palpable malgré la tristesse et le regard orphelin des milliers de personnes, qui pour une raison ou une autre n’ont pas pu participer à l’événement. Parmi elle se trouve les malades, les familles pauvres, les prisonniers, les morts et surtout notre chère Mauritanie divisée, malmenée, pillée et mise au chao par ses propres fils.
Pour les milliers de millions d’ouguiya détournés, pour les milliers de promesses qui tardent à se réaliser, pour les milliers de personnes qui subissent encore une quelconque injustice de fait ou de droit, pour les millions d’opportunistes, pour millions d’incompétence qui se servent au lieu de servir, pour les dizaines d’années de retard et pour les milliers de fautes commises par les gouvernants ou les gouvernés, le détenteur de notre souveraineté doit demander pardon au peuple et pour le peuple.
Pardon pour les incompréhensions politiques, pardon pour les erreurs stratégiques, pardon pour le verbiage politique
En ce jour de sacrifice, d’amour et de respect, nous demandons pardon et pardonnons tout le peuple Mauritanie. Une pensée spéciale va aux milliers de lecteurs de Cridem qui de manière volontaire ou non voulue se sont pris à la Mauritanie, a mon peuple et à ma modeste personne.
Cissé Housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseille
source:www.cridem.org
Dans les familles et les rues, la joie est très palpable malgré la tristesse et le regard orphelin des milliers de personnes, qui pour une raison ou une autre n’ont pas pu participer à l’événement. Parmi elle se trouve les malades, les familles pauvres, les prisonniers, les morts et surtout notre chère Mauritanie divisée, malmenée, pillée et mise au chao par ses propres fils.
Pour les milliers de millions d’ouguiya détournés, pour les milliers de promesses qui tardent à se réaliser, pour les milliers de personnes qui subissent encore une quelconque injustice de fait ou de droit, pour les millions d’opportunistes, pour millions d’incompétence qui se servent au lieu de servir, pour les dizaines d’années de retard et pour les milliers de fautes commises par les gouvernants ou les gouvernés, le détenteur de notre souveraineté doit demander pardon au peuple et pour le peuple.
Pardon pour les incompréhensions politiques, pardon pour les erreurs stratégiques, pardon pour le verbiage politique
En ce jour de sacrifice, d’amour et de respect, nous demandons pardon et pardonnons tout le peuple Mauritanie. Une pensée spéciale va aux milliers de lecteurs de Cridem qui de manière volontaire ou non voulue se sont pris à la Mauritanie, a mon peuple et à ma modeste personne.
Cissé Housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseille
source:www.cridem.org
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