L’adoption mercredi 30 juillet du nouveau règlement intérieur de l’Assemblée nationale a provoqué une levée de boucliers dans les rangs de l’opposition. Plusieurs députés dénoncent un texte aux relents autoritaires, qu’ils accusent de restreindre la liberté d’expression et d’amoindrir le rôle même du Parlement.
Pour les élus contestataires, ce nouveau cadre réglementaire s’apparente à une tentative de bâillonner les voix dissidentes. Ils affirment qu’aucune intimidation ne les empêchera de dénoncer les abus ou dérives du pouvoir exécutif, estimant que la défense des citoyens – notamment les plus vulnérables – est au cœur de leur mission parlementaire.
D’autres élus vont plus loin, jugeant que ce règlement vient conclure un processus d’affaiblissement institutionnel. Selon eux, les ministres, de plus en plus indifférents aux interpellations, désertent leurs responsabilités face aux attentes légitimes des représentants du peuple.
Réunie en séance publique ce mercredi sous la présidence de M. Mohamed Bamba Meguett, l’Assemblée nationale a approuvé la recommandation soumise par la commission chargée de la révision de son règlement intérieur.
Cette réforme vise "à renforcer l’indépendance de l’Assemblée en tant qu’institution législative, à consolider les principes démocratiques en son sein, et à moderniser ses mécanismes de fonctionnement’’. Elle prévoit notamment, selon ses initiateurs,"la simplification des procédures internes, l’amélioration de l’efficacité des organes parlementaires, ainsi qu’un examen plus rigoureux des textes qui lui sont soumis".
Ce nouveau règlement s’inscrit, estime-t-on, ‘’dans une volonté de dynamisation et de rationalisation du travail parlementaire, conformément aux exigences d’une gouvernance moderne et transparente".
Source: https://lecalame.info
Pour les élus contestataires, ce nouveau cadre réglementaire s’apparente à une tentative de bâillonner les voix dissidentes. Ils affirment qu’aucune intimidation ne les empêchera de dénoncer les abus ou dérives du pouvoir exécutif, estimant que la défense des citoyens – notamment les plus vulnérables – est au cœur de leur mission parlementaire.
D’autres élus vont plus loin, jugeant que ce règlement vient conclure un processus d’affaiblissement institutionnel. Selon eux, les ministres, de plus en plus indifférents aux interpellations, désertent leurs responsabilités face aux attentes légitimes des représentants du peuple.
Réunie en séance publique ce mercredi sous la présidence de M. Mohamed Bamba Meguett, l’Assemblée nationale a approuvé la recommandation soumise par la commission chargée de la révision de son règlement intérieur.
Cette réforme vise "à renforcer l’indépendance de l’Assemblée en tant qu’institution législative, à consolider les principes démocratiques en son sein, et à moderniser ses mécanismes de fonctionnement’’. Elle prévoit notamment, selon ses initiateurs,"la simplification des procédures internes, l’amélioration de l’efficacité des organes parlementaires, ainsi qu’un examen plus rigoureux des textes qui lui sont soumis".
Ce nouveau règlement s’inscrit, estime-t-on, ‘’dans une volonté de dynamisation et de rationalisation du travail parlementaire, conformément aux exigences d’une gouvernance moderne et transparente".
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