L’institution militaire n’est pas à envier du fait de la marginalisation des officiers supérieurs par une poignée d’autres officiers, moins gradés, mais alliés à Ould Abdel Aziz», a estimé Ould Sidi Mahmoud, député du Tawassoul.
«Certains de ces officiers supérieurs ont été éloignés sous prétexte de les faire des attachés militaires à l’étranger. En réalité, il sont écartés parce qu’ils refusent de cautionner les plaisanteries du Président qui, se sentant menacé, ne veut plus les laisser dans casernes. Il a ainsi privé l’armée de leur savoir faire», a déploré le dépuité.
Il a ajuté que «les promotions et primes injustes qui ont fini par démoraliser ces officiers supérieurs, sommés encore à obéir à de jeunes officiers qui les empêchent même de commander leur unités.»
«Malheureusement, pour Ould Sidi Mahmoud, la situation des forces de sécurité n’est pas loin de celle de l’armée. Les nouvelles dispositions approuvées et adoptées par le gouvernement et l’Assemblée nationale ne sont qu’en partie appliquées. Ce, pendant que le volet ‘’distinguions et primes» reste oublié, malgré plus de 4 milliards d’ouguiyas injectés dans le secteur. L’herbe d’ailleurs a été sous les pieds des forces de sécurité qui sont dénues de leurs prérogatives.»
«Certains de ces officiers supérieurs ont été éloignés sous prétexte de les faire des attachés militaires à l’étranger. En réalité, il sont écartés parce qu’ils refusent de cautionner les plaisanteries du Président qui, se sentant menacé, ne veut plus les laisser dans casernes. Il a ainsi privé l’armée de leur savoir faire», a déploré le dépuité.
Il a ajuté que «les promotions et primes injustes qui ont fini par démoraliser ces officiers supérieurs, sommés encore à obéir à de jeunes officiers qui les empêchent même de commander leur unités.»
«Malheureusement, pour Ould Sidi Mahmoud, la situation des forces de sécurité n’est pas loin de celle de l’armée. Les nouvelles dispositions approuvées et adoptées par le gouvernement et l’Assemblée nationale ne sont qu’en partie appliquées. Ce, pendant que le volet ‘’distinguions et primes» reste oublié, malgré plus de 4 milliards d’ouguiyas injectés dans le secteur. L’herbe d’ailleurs a été sous les pieds des forces de sécurité qui sont dénues de leurs prérogatives.»
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