« La Mauritanie connaît une situation complexe et dangereuse aux multiples facettes », a déclaré Le président du RFD, Ahmed Daddah, dans une conférence de presse ce mercredi, au siège de son parti.
Ahmed Ould Daddah, a confirmé également que les prix connaissent des hausses vertigineuses et cela a entrainé la faiblesse du pouvoir d’achat du citoyen. Il a précisé par que la situation économique actuelle est l’une des principales causes du chômage de la jeunesse qui représente plus de 75%.
Le leader de l’opposition a souligné que nos soldats sont braves, mais notre armée manque de matériel et nos soldats ne sont pas mis de bonnes conditions ainsi que leur prise en charge n’est pas meilleure.
Ahmed a profité de l’occasion pour demander à l’armée de ne pas s’ingérer dans la politique, du fait que son rôle est de défendre le territoire national.
A propos du dialogue politique, Ould Daddah, a affirmé que la condition préalable est de respecter les cinq points de la COD dont l’accord de Dakar, la liberté de manifester pacifiquement, la libération des médias publics. "Le dialogue nécessite de savoir écouter les autres, ce qui n’est pas le cas chez le chef de l’Etat », a-t-il précisé
Ahmed Daddah a répondu à une question concernant les trois partis membres de la COD (APP, El Wiam et Hammam) qui ont décidé seuls d’aller au dialogue. Il a précisé que l’union fait la force et la désunion conduit à la faiblesse. Il a cependant insisté sur le fait que la COD est un ensemble de partis dont chacun a son projet et sa position.
Dans la foulée, Ould Daddah, dira à propos d’une « déclaration sous forme de tract »qu’à relater un confrère sur le compte du président d’El Wiam, Bodiel Ould Houmeid, qu’il n’attaquera jamais un leader d’opposition ni un parti d’opposition.
A la question pourquoi vous n’avez pas demandé à Aziz de quitter le pouvoir, comme vous l’avez fait à Sidi Mohamed ? Il a répondu que : « Sidi est homme d’expérience. Il est pieux, franc et doté d’une parfaite connaissance des dossiers économiques et politiques. Je peux donc lui demander ce que je ne peux pas demander aux autres ».
Source: Calame
Ahmed Ould Daddah, a confirmé également que les prix connaissent des hausses vertigineuses et cela a entrainé la faiblesse du pouvoir d’achat du citoyen. Il a précisé par que la situation économique actuelle est l’une des principales causes du chômage de la jeunesse qui représente plus de 75%.
Le leader de l’opposition a souligné que nos soldats sont braves, mais notre armée manque de matériel et nos soldats ne sont pas mis de bonnes conditions ainsi que leur prise en charge n’est pas meilleure.
Ahmed a profité de l’occasion pour demander à l’armée de ne pas s’ingérer dans la politique, du fait que son rôle est de défendre le territoire national.
A propos du dialogue politique, Ould Daddah, a affirmé que la condition préalable est de respecter les cinq points de la COD dont l’accord de Dakar, la liberté de manifester pacifiquement, la libération des médias publics. "Le dialogue nécessite de savoir écouter les autres, ce qui n’est pas le cas chez le chef de l’Etat », a-t-il précisé
Ahmed Daddah a répondu à une question concernant les trois partis membres de la COD (APP, El Wiam et Hammam) qui ont décidé seuls d’aller au dialogue. Il a précisé que l’union fait la force et la désunion conduit à la faiblesse. Il a cependant insisté sur le fait que la COD est un ensemble de partis dont chacun a son projet et sa position.
Dans la foulée, Ould Daddah, dira à propos d’une « déclaration sous forme de tract »qu’à relater un confrère sur le compte du président d’El Wiam, Bodiel Ould Houmeid, qu’il n’attaquera jamais un leader d’opposition ni un parti d’opposition.
A la question pourquoi vous n’avez pas demandé à Aziz de quitter le pouvoir, comme vous l’avez fait à Sidi Mohamed ? Il a répondu que : « Sidi est homme d’expérience. Il est pieux, franc et doté d’une parfaite connaissance des dossiers économiques et politiques. Je peux donc lui demander ce que je ne peux pas demander aux autres ».
Source: Calame
Actualités
