Le secteur de l’Education nationale en Mauritanie fait face à une agitation sans précédent depuis bientôt deux années et les crises se succèdent : sit-in interminables des instituteurs, grèves des profs de l’enseignement secondaire, affrontements inter-ethniques sur le campus de l’université de Nouakchott.
Et tout ce tableau sombre se dresse à la veille des examens de fin d’année.
Pourtant, le département de l’Education nationale a été érigé en un ministère d’Etat dont le titulaire coiffe, dans l’ordre de préséance, tous les membres du gouvernement. L’enseignement fondamental, secondaire et professionnel est confié, chacun, à un département.
L’Etat a même joué avec la distribution de terrains à Tevragh Zeina aux profs du supérieur, vieille parade qui au finish ne donnera rien, puisqu’ils seront revendus dans les jours à venir.
Que faire alors ? Fermer nos écoles, collèges, lycées et facultés ? Ils sont déjà fermés.
canalrim.info
Et tout ce tableau sombre se dresse à la veille des examens de fin d’année.
Pourtant, le département de l’Education nationale a été érigé en un ministère d’Etat dont le titulaire coiffe, dans l’ordre de préséance, tous les membres du gouvernement. L’enseignement fondamental, secondaire et professionnel est confié, chacun, à un département.
L’Etat a même joué avec la distribution de terrains à Tevragh Zeina aux profs du supérieur, vieille parade qui au finish ne donnera rien, puisqu’ils seront revendus dans les jours à venir.
Que faire alors ? Fermer nos écoles, collèges, lycées et facultés ? Ils sont déjà fermés.
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