La 2e conférence des présidents d'Assemblée de la région Afrique de l'Assemblée parlementaire francophone (APF) a recommandé, vendredi dans la soirée à Ouagadougou, à la mise en place de commission de droits de l'homme dans les pays africains francophones.
Sur la gouvernance démocratique liée aux droits de l'Homme, la conférence a invité les différents parlements à faire en sorte que dans chaque pays africain, il soit créé une commission nationale des droits de l'Homme.
Les présidents des parlements ont adressé un message de condoléances au président malien, Amadou Toumani Touré suite à la bousculade de Tombouctou qui a fait une vingtaine de victimes.
Le président d'honneur de l'APF région Afrique, Guy Nzouba Ndama, également président de l'Assemblée nationale du Gabon a indiqué que la rencontre s'est préoccupée du déficit démocratique qui persiste encore dans un certain nombre de pays et qui conduit aux situations malheureuses présentes.
La 2e conférence a préconisé qu'à l'avenir les différentes sections s'intéressent un peu plus aux problèmes de bonne gouvernance à travers le continent de façon à ce que personne ne se considère comme étranger à ce qui se passe dans un autre pays parce que l'Afrique est maintenant un village planétaire.
« C'est ce qui nous amené à nous féliciter des efforts consentis par le président du Faso, Blaise Compaoré dans les différentes médiations », a fait remarquer M. Ndama.
Source:Xinhua
Sur la gouvernance démocratique liée aux droits de l'Homme, la conférence a invité les différents parlements à faire en sorte que dans chaque pays africain, il soit créé une commission nationale des droits de l'Homme.
Les présidents des parlements ont adressé un message de condoléances au président malien, Amadou Toumani Touré suite à la bousculade de Tombouctou qui a fait une vingtaine de victimes.
Le président d'honneur de l'APF région Afrique, Guy Nzouba Ndama, également président de l'Assemblée nationale du Gabon a indiqué que la rencontre s'est préoccupée du déficit démocratique qui persiste encore dans un certain nombre de pays et qui conduit aux situations malheureuses présentes.
La 2e conférence a préconisé qu'à l'avenir les différentes sections s'intéressent un peu plus aux problèmes de bonne gouvernance à travers le continent de façon à ce que personne ne se considère comme étranger à ce qui se passe dans un autre pays parce que l'Afrique est maintenant un village planétaire.
« C'est ce qui nous amené à nous féliciter des efforts consentis par le président du Faso, Blaise Compaoré dans les différentes médiations », a fait remarquer M. Ndama.
Source:Xinhua
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