Lors de l’avènement du changement rectificatif du 06 août 2008, des personnalités politiques ont occupé la scène nationale et internationale. Elles se sont regroupées au sein du Front dénommé FNDD. Elles ont fait un tapage médiatique sans précèdent.
Arrive alors l’heure des compromis et les accords de Dakar où les trois pôles politiques ont convenu d’aller vers la présidentielle du 18 juillet et de créer ensemble un gouvernement d’union national pour la transition. 18 juillet le candidat Aziz remporte haut la main l’élection présidentielle avec un score de 52.53 % passant au premier tour. Levée de boucliers au sein de l’opposition qui parle alors d’OVNI et de produits chimique en plus de nombreuses accusations de fraude sans en apporter la moindre preuve. Passée cet épisode l’opposition se range et se mure dans un silence de mort. Arrive ensuite la saison des pluies et de nombreuses villes mauritaniennes et quartiers précaires sont englouties par les eaux. L’opposition ou plutôt quelques leaders de celle ci apparaissent le temps de parler d’une incapacité du gouvernement. Pas plus. Elle disparaît une fois encore et tombe dans les oubliettes.
Tous les mauritaniens se demandent aujourd’hui où est passée cette opposition qui a tympanisé les mauritaniens avec des marches, des meetings et des déclarations intempestives. Pour nombre de nos concitoyens l’opposition ne pense qu’au fauteuil présidentiel. Une fois que ce fauteuil lui échappe elle se casse. Plus de déclaration, plus de manifestation et encore moins d’activités. Est-ce ça le rôle d’une opposition sérieuse soucieuse de l’intérêt de son peuple.
Au moment ou des commerçants jouent avec les prix des légumes et des denrées de première nécessité, au moment où le citoyen est confronté aux difficultés de la vie de tous les jours les leaders de l’opposition passent le plus clair de son temps en voyage à l’extérieur sans se soucier de ce qui peut arriver à ceux qu’ils sollicite et courtisent au cours de consultations électorales.
L’opposition doit jouer son rôle de contre pouvoir et aider le pays à aller de l’avant et assumant ses responsabilités aux yeux de la nation et devant l’histoire.
Source: le veridique
Arrive alors l’heure des compromis et les accords de Dakar où les trois pôles politiques ont convenu d’aller vers la présidentielle du 18 juillet et de créer ensemble un gouvernement d’union national pour la transition. 18 juillet le candidat Aziz remporte haut la main l’élection présidentielle avec un score de 52.53 % passant au premier tour. Levée de boucliers au sein de l’opposition qui parle alors d’OVNI et de produits chimique en plus de nombreuses accusations de fraude sans en apporter la moindre preuve. Passée cet épisode l’opposition se range et se mure dans un silence de mort. Arrive ensuite la saison des pluies et de nombreuses villes mauritaniennes et quartiers précaires sont englouties par les eaux. L’opposition ou plutôt quelques leaders de celle ci apparaissent le temps de parler d’une incapacité du gouvernement. Pas plus. Elle disparaît une fois encore et tombe dans les oubliettes.
Tous les mauritaniens se demandent aujourd’hui où est passée cette opposition qui a tympanisé les mauritaniens avec des marches, des meetings et des déclarations intempestives. Pour nombre de nos concitoyens l’opposition ne pense qu’au fauteuil présidentiel. Une fois que ce fauteuil lui échappe elle se casse. Plus de déclaration, plus de manifestation et encore moins d’activités. Est-ce ça le rôle d’une opposition sérieuse soucieuse de l’intérêt de son peuple.
Au moment ou des commerçants jouent avec les prix des légumes et des denrées de première nécessité, au moment où le citoyen est confronté aux difficultés de la vie de tous les jours les leaders de l’opposition passent le plus clair de son temps en voyage à l’extérieur sans se soucier de ce qui peut arriver à ceux qu’ils sollicite et courtisent au cours de consultations électorales.
L’opposition doit jouer son rôle de contre pouvoir et aider le pays à aller de l’avant et assumant ses responsabilités aux yeux de la nation et devant l’histoire.
Source: le veridique
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