Nous voulons un dialogue sérieux et ce dialogue qui vient de commencer ne l’est pas, a affirmé Moussa Fall, président du Mouvement pour le Changement Démocratique (MCD) et vice-président du Forum National pour la Démocratie et l’Unité (FNDU) qui a boycotté le dialogue national inclusif lancé jeudi 29 septembre, par le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz.
Par "dialogue sérieux", M. Fall entend "des solutions sérieuses et des réformes politiques sérieuses permettant de faire avancer le pays vers plus de démocratie", avant de justifier leur boycott par l’"absence de convergences fortes" entre le pouvoir et le FNDU.
"Nous avons posé deux conditions simples et que tout le monde doit comprendre. La première condition, c’est qu’on soit associé à la préparation du dialogue. La deuxième condition, c’est de mettre en place les instruments permettant de neutraliser l’Etat et de le déconnecter par rapport aux compétitions politiques. Nous n’avons pas été satisfaits sur ces deux conditions", a expliqué M. Fall à l’émission "Politis" sur la télévision privée mauritanienne Alwatanya.
Source : Rédaction Cridem
Par "dialogue sérieux", M. Fall entend "des solutions sérieuses et des réformes politiques sérieuses permettant de faire avancer le pays vers plus de démocratie", avant de justifier leur boycott par l’"absence de convergences fortes" entre le pouvoir et le FNDU.
"Nous avons posé deux conditions simples et que tout le monde doit comprendre. La première condition, c’est qu’on soit associé à la préparation du dialogue. La deuxième condition, c’est de mettre en place les instruments permettant de neutraliser l’Etat et de le déconnecter par rapport aux compétitions politiques. Nous n’avons pas été satisfaits sur ces deux conditions", a expliqué M. Fall à l’émission "Politis" sur la télévision privée mauritanienne Alwatanya.
Source : Rédaction Cridem